L’ex-footballeur brésilien Dani Alves, actuellement en liberté conditionnelle, profite de sa vie après sa sortie de prison. Accompagné de sa femme, Joana Sanz, il a récemment été aperçu à Madrid, où ils ont séjourné dans l’hôtel le plus cher de la ville et flâné dans les quartiers les plus exclusifs, tels que le Golden Mile.
Des images du couple circulent, montrant Alves et Sanz déambulant dans les rues les plus exclusives de la ville, suscitant des commentaires sur leur «style de vie excessivement élevé».
Selon des informations diffusées par l’émission Fiesta, leur séjour semble tout droit sorti d’un conte de fées.
«Ils ont séjourné dans l’hôtel le plus cher de Madrid, et la valise qu’ils transportent provient du magasin le plus cher», ont commenté les présentateurs.
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Mais cette escapade, au luxe indéniable, a alimenté la polémique. De nombreux observateurs s’interrogent sur la manière dont Dani Alves, encore confronté à des problèmes juridiques, choisit d’afficher son bien-être.
Certains experts en droit, interrogés par Fiesta, se demandent si cette image de vie idéale ne fait pas partie d’une stratégie judiciaire.
«Ce qu’il faut considérer, c’est si ces images font partie d’une stratégie pour influencer la justice, en attendant une confirmation de la peine qui pourrait le renvoyer en prison», ont-ils suggéré.
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Des dettes à régler
Un autre aspect préoccupant dans la vie d’Alves est la dette qu’il doit à son ex-femme, Dinorah Santana.
Selon une décision de justice, Dani Alves lui doit 1,5 million d’euros pour des arriérés de pension alimentaire, montant qu’il n’a toujours pas réglé malgré cinq années de non-paiement.
Ce conflit juridique concerne des dettes au Brésil et en Espagne, et une audience est prévue en mars pour tenter de résoudre cette affaire.