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«Ils m’ont enfoncé une aiguille…», les confessions bouleversantes de Juan Martin del Potro

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Dans une vidéo poignante publiée ce mardi sur les réseaux sociaux, Juan Martin del Potro a ouvert son cœur et sa douleur face aux blessures qui ont marqué sa carrière et qui, en fin de compte, l’ont contraint à mettre fin à sa carrière en 2022 à l’âge de 33 ans.

L’ancien tennisman argentin a dévoilé l’ampleur de la souffrance qu’il endure depuis des années, en particulier depuis une opération en 2019 qui devait être le début de son retour sur les courts.

«Quand on m’a opéré pour la première fois, le médecin m’a dit ‘Dans trois mois, tu rejoueras’. C’était en juin 2019», a révélé le joueur argentin, mais il déplore que depuis cette date, les choses ne se soient jamais améliorées.

«Je n’ai plus jamais pu monter les escaliers sans douleur. Cela me fait souvent mal quand je dors», a-t-il expliqué, décrivant les effets constants de ses blessures.

Del Potro a également détaillé l’impact physique et mental de sa situation, notamment la douleur qui l’empêche de passer une nuit tranquille.

«Quand je me tourne de côté, je me réveille, car je ressens des piqûres très fortes. Cela a été un cauchemar sans fin, je continue de le ressentir, tous les jours. J’insiste pour chercher des solutions, des médecins et des alternatives, mais je continue je ne les trouve pas», a-t-il confié.

L’ancien champion de l’US Open 2009, qui a écrit l’histoire du tennis avec sa victoire à New York à seulement 20 ans, a révélé le nombre impressionnant de traitements qu’il a subis pour tenter de soulager ses douleurs :

«J’ai dû avoir plus de 100 injections, entre la jambe, la hanche et le dos. Ils m’ont infiltré, m’ont enlevé, analysé, brûlé mes nerfs, bloqué mes tendons… (…). Je souffre quotidiennement, je me lève et prenez entre six et huit comprimés, dont un protecteur gastrique, un anti-inflammatoire, un analgésique, un contre l’inflammation et un contre l’anxiété…», a-t-il détaillé.

«J’ai l’impression que mon genou a pris le dessus sur moi. J’ai été opéré huit fois, avec des médecins du monde entier, dépensant une fortune. Chaque fois qu’ils m’ont mis sous anesthésie, j’avais l’impression d’avoir été bien opéré et ça ça ne faisait plus mal. Au bout de deux ou trois mois, j’ai appelé le médecin pour lui dire que ça ne marchait pas», a-t-il poursuivi.

Del Potro a aussi évoqué les multiples opérations subies, dont huit au total, ainsi que l’extrême douleur de certaines procédures.

«Ils ont mis une aiguille de 30 ou 40 centimètres au milieu de mon fémur, en essayant de bloquer les nerfs sans anesthésie, parce que le médecin devait savoir si cela avait été bien fait ou non, selon ce que je ressentais», a-t-il raconté, la douleur évidente dans ses mots.

«Je criais, je sautais sur le lit, je souffrais de douleur, pour qu’il me dise ‘Tiens, ça a marché’», a-t-il ajouté, une expérience dévastatrice qui témoigne de l’ampleur de la souffrance.

Face à cette situation, del Potro se dit désormais impuissant : «Je n’essaye plus de courir, de jouer au tennis ou quoi que ce soit d’autre, même avec mes amis».

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