Rafael Van der Vaart, l’ancien milieu de terrain du Real Madrid, n’a jamais été du genre à mâcher ses mots, mais ses récentes déclarations à propos de Cristiano Ronaldo ont franchi une nouvelle limite. L’international néerlandais a lancé une série de remarques, d’abord jugées comme une simple plaisanterie, mais qui ont rapidement pris une tournure bien plus provocante.
Dans une interview accordée il y a quelques semaines, Van der Vaart s’était amusé à faire une «fixette» sur la discipline de Ronaldo à l’entraînement.
«Je dis toujours en plaisantant que Ronaldo est le seul joueur dont je n’ai jamais vu le sexe ! Il était le premier sur le terrain d’entraînement et le dernier à le quitter», avait-il raconté, laissant sous-entendre l’obsession du Portugais pour la perfection physique.
Mais le ton a vite changé lorsque le Néerlandais a ajouté une réflexion plus acerbe concernant l’attitude de Ronaldo en match :
«Il était incroyablement égoïste, si nous gagnions 6-0 et qu’il ne marquait pas, il n’était pas content. Quand nous perdions, mais qu’il marquait deux fois, ça allait bien !», a-t-il ajouté.
Des propos qui n’ont pas manqué de provoquer la réaction immédiate de Ronaldo. Sur ses réseaux sociaux, l’attaquant portugais a répondu : «Qui est-ce type ?», marquant ainsi son mécontentement face à ces remarques.
La tension n’a pas mis longtemps à monter. Van der Vaart, visiblement irrité par la réaction de Ronaldo, a de nouveau pris la parole sur la chaîne néerlandaise NOS, expliquant son intention première et se défendant de toute attaque malveillante.
«Je voulais juste dire d’une manière gentille qu’il était le premier là et le dernier à partir», a-t-il clarifié. Mais c’est là que la situation a pris un tournant inattendu.
Pour appuyer ses propos, Van der Vaart a ajouté un commentaire choquant : «Mais il m’a envoyé une photo de sa bite, donc je sais à quoi elle ressemble maintenant […] Je l’ai dit d’une manière amusante, mais là-bas (au Portugal), ils n’ont pas d’humour», a-t-il lâché, dans un élan de provocation qui a laissé de nombreux observateurs sans voix.