Le Real Madrid a chuté ce dimanche dans un Clasico spectaculaire, battu 4-3 par le FC Barcelone en Liga. Si l’attaque merengue a répondu présente, Carlo Ancelotti n’a pas mâché ses mots sur les errements défensifs de son équipe.

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«Nous avions des idées claires en attaque, mais je ne pense pas que nous ayons bien défendu. Il ne faut pas oublier qu’il manquait cinq défenseurs, il ne faut pas oublier ça. La chose à retenir ? Que nous devions mieux défendre. La situation actuelle est assez évidente. Nous avons mal défendu, non pas parce que nous avions un bloc bas, nous avons mal défendu, point final», a reconnu l’entraîneur italien.

Privé de Carvajal, Militão, Alaba, Rüdiger et Mendy, le Real a souffert face à la vivacité du Barça.

Ce dimanche à Anfield, l’émotion était palpable. Alors que Liverpool concédait un nul face à Arsenal (2-2), une partie du public a sifflé Trent Alexander-Arnold, fraîchement annoncé sur le départ. Un geste qui n’a pas laissé Andrew Robertson indifférent.

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«Tout d’abord, je suis déçu de perdre mon meilleur ami. Dans ce sport, nous avons tout fait ensemble. C’est un joueur et une personne extraordinaires. Il m’a rendu meilleur, et ça vient du fond du coeur. Il m’a poussé à atteindre des niveaux que je ne pensais pas possibles. Il m’a porté pendant les belles années. Il a fait un choix. Son héritage dans ce club est évident. Les trophées qu’il a gagnés, les moments qu’il a vécus, resteront à jamais. Ce n’est jamais agréable de voir un ami se faire siffler. Mais on ne peut pas dire aux gens comment se comporter», a confié l’Écossais au micro de Sky Sports.

La pression monte à Manchester United. Après une nouvelle désillusion à Old Trafford face à West Ham (0-2), l’entraîneur portugais Ruben Amorim a tenu des propos forts, laissant même entendre qu’un départ n’était pas à exclure en fin de saison.

«Je ne veux pas parler des joueurs. Je parle de moi, de la culture du club et de l’équipe. J’ai ce sentiment. Nous devons changer cela, et nous devons être très forts et courageux cet été, car nous ne pouvons pas revivre une saison comme celle-ci», a-t-il lancé, amer, en conférence de presse.

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«Si ce sentiment persiste, nous devons laisser la place aux autres. C’est un problème majeur que nous rencontrons ici au club. C’est un moment décisif dans l’histoire du club. Nous devons y faire face. Nous perdons le sentiment d’être un grand club», a-t-il poursuivi.

«Nous avons le sentiment que perdre à domicile n’est plus une grande préoccupation. Nous n’avons plus cette peur, et c’est le danger le plus grand dans un grand club. Je pense que c’est une préoccupation. Ce n’est pas la faute des joueurs. C’est ma faute, j’en suis responsable», a-t-il conclu.

Quatre jours après sa douloureuse élimination en demi-finales de la Ligue des Champions face au PSG, Arsenal a laissé filer deux précieux points contre Liverpool (2-2), dimanche, en Premier League. Menés 2-0 à la pause, les Gunners ont arraché l’égalisation, mais cette réaction n’a pas suffi à calmer la colère de Mikel Arteta.

«Beaucoup de choses étaient inacceptables, surtout les standards de défense qu’on a eus et les zones où on a perdu le ballon, ce qui est totalement interdit contre cette équipe. On est donc très loin du compte, très énervés. Oui, on a réagi. Je déteste les réactions, j’aime l’action, surtout si on veut gagner des trophées. Vous voulez être dans un moment où vous gagnez ou non. Et quand vous ne gagnez pas, vous devez jouer un autre trophée sur lequel vous avez travaillé pendant neuf mois. Et si vous ne pouvez pas gagner la Premier League, vous devez être meilleur que les autres. J’étais vraiment, vraiment contrarié», a-t-il martelé.

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Toujours deuxièmes au classement, Ødegaard et ses coéquipiers joueront gros lors des deux dernières journées contre Newcastle et Southampton. Leur rêve de titre est encore possible, mais il ne tolérera plus aucun faux pas.