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NBA : LeBron James dévoile la vérité sur sa relation avec Stephen Curry

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LeBron James

Aujourd’hui considérés comme de grands amis et coéquipiers avec Team USA, LeBron James et Stephen Curry n’ont pas toujours été aussi proches. En effet, leurs relations étaient bien différentes dans les années 2010, période marquée par des confrontations épiques en finales NBA, notamment entre les Cleveland Cavaliers et les Golden State Warriors.

Dans une interview récente pour ESPN, LeBron James a confirmé que l’amitié avec Curry n’était pas du tout à l’ordre du jour à l’époque.

«Je veux dire… bordel, on est dans un gros combat et il y a ce type qui t’empêche d’atteindre tes objectifs. Alors évidemment que tu vas détester cette personne. Il ne m’aimait pas, et je ne l’aimais pas parce qu’on se battait pour remporter le trophée Larry O’Brien. On le voulait tous les deux», a expliqué LeBron.

À l’époque, les deux superstars se battaient ardemment pour décrocher le précieux trophée Larry O’Brien, chacun cherchant à surpasser l’autre.

En effet, les deux hommes se sont affrontés quatre fois de suite en finales NBA, intensifiant la rivalité entre eux. Cependant, avec le temps, cette animosité a laissé place au respect mutuel.

Curry, de son côté, ne considérait pas la situation de manière personnelle. «Tu penses forcément à gagner et uniquement à ça. Donc ouais, c’était assez mesquin à certains moments. C’était de la compétition, du trash-talking et tout le reste. Mais il y a toujours eu du respect.», a déclaré Curry.

Il ajouta : «Je n’aimais pas le joueur, mais la personne a toujours été géniale. Tu le détestais seulement quand il avait un maillot avec le numéro 23 sur le dos.»

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Jérôme Rothen s’en prend violemment à Habib Beye

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La victoire du PSG en Ligue des champions n’a pas calmé les tensions entre Jérôme Rothen et Habib Beye. Ce vendredi, l’ancien joueur parisien a de nouveau attaqué le coach rennais, l’accusant d’hypocrisie concernant son soutien affiché au club de la capitale. Une prise de position tranchée, nourrie par un vieux contentieux remontant à 2022.

À l’époque, lors d’un match crucial face au Real Madrid, Beye avait salué le but de Karim Benzema qui avait éliminé le PSG, en lançant : «C’est pour ça qu’on aime le foot».

Un commentaire encore en travers de la gorge de Rothen. «Franchement, j’avais envie de péter la télé», a-t-il lâché récemment sur RMC.

Ce jeudi, Beye avait pourtant tenté de réaffirmer son attachement au PSG : «Tout le football français aurait déjà dû être derrière le PSG pendant leur parcours. La Ligue 1 a besoin d’une vitrine très importante, ils en sont les dignes représentants».

Des mots qui ont provoqué l’explosion de colère de Rothen en direct : «J’arrête l’émission», a-t-il déclaré, avant de dénoncer ce qu’il considère comme un manque total de sincérité.

«Je peux comprendre qu’il ne dise pas la vérité, mais mentir comme ça, il faut arrêter de déconner. Tu peux rester juste comme certains, mais stop arrête toi là. Il n’est pas sincère. Tu l’as vu lorsqu’il a commenté les rencontres du PSG avec Canal ? Le Real-PSG je l’ai encore en travers de la gorge. .J’ai eu la chance de commenter des gros matches de Ligue des champions, j’ai vibré, mais l’OM je n’aurais pas pu le commenter. Quand tu commentes les matches, tu dois envoyer des émotions. Et je ne leur souhaite pas de marquer l’histoire, c’est comme ça», a conclu l’ancien milieu parisien sur RMC.

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Les terribles confessions d’Arda Güler sur sa mère

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Arda Güler, la pépite turque récemment transférée au Real Madrid, a partagé un témoignage poignant dans une lettre adressée au Players Tribune, où il revient sur son parcours, marqué par des épreuves personnelles déchirantes. Parmi les moments les plus marquants, il évoque l’opération cardiaque urgente de sa mère, un événement qui a bouleversé sa vie.

En août 2022, alors qu’il se préparait pour un match important, il reçoit un appel qui bouleverse sa vie.

«Je n’oublierai jamais l’appel que j’ai reçu en août 2022. ‘Arda… Ta mère a un problème cardiaque. Elle vient d’être opérée d’urgence.’ Quand on entend ça, le football disparaît de notre esprit. Notre monde se met à tourner. On a l’estomac noué. Les médecins ont dû remplacer une valve cardiaque. Pendant qu’elle se préparait pour l’opération, elle m’a regardé marquer deux buts contre Kasimpasa depuis son lit. Un membre de la famille m’a envoyé une vidéo d’elle me regardant célébrer les buts en pleurant. J’ai ouvert la vidéo en rentrant au vestiaire et j’ai eu peur. C’était le genre de pleurs qu’on peut avoir quand n’importe quel moment pourrait être le dernier. J’ai pleuré aussi. J’ai vraiment cru qu’elle allait mourir. Le lendemain, j’ai annoncé au club que je ne jouerais pas le prochain match. Pour la première fois de ma vie, je ne voulais même pas toucher un ballon. Heureusement, Fenerbahçe a été incroyable avec moi. Ils m’ont organisé une fête et le président Ali Koç a veillé à ce que nous ayons les meilleurs médecins. L’opération s’est bien passée et maman s’est rétablie. Un peu plus de deux mois après son opération, j’ai marqué une volée contre le Dynamo Kiev et j’ai soulevé mon maillot pour révéler un message : «Maman, je t’aime tellement». beaucoup!’»», confie-t-il, visiblement marqué par cette expérience.

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Real Madrid : les révélations de David Beckham sur le FC Barcelone

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À l’approche d’un nouveau Clasico, les souvenirs ressurgissent. Pour David Beckham, l’histoire aurait pu prendre une tournure radicalement différente. Avant de devenir une icône du Real Madrid de 2003 à 2007, l’Anglais aurait pu enfiler le maillot du FC Barcelone. Une décision qu’il n’a jamais regrettée, tant son amour pour le club merengue était profond.

Invité à s’exprimer sur CBS Sports aux côtés de ses collègues consultants, l’ancien milieu de terrain est revenu sur ce moment clé de sa carrière où tout aurait pu basculer.

«Mon équipe a toujours été le Real Madrid. Et c’est drôle de voir que j’ai été vendu de Manchester United à Barcelone. J’étais en vacances et Peter Kenyon (directeur de United, puis de Chelsea et de l’Atlético Madrid) m’a appelé pour m’annoncer qu’ils avaient accepté une offre de Barcelone. Je lui ai dit : « Si vous me vendez, le seul club où je suis prêt à partir, c’est le Real Madrid . » «J’ai toujours rêvé de jouer pour Madrid, depuis tout petit. Je ne pensais pas quitter Manchester United, mais si je devais le faire, je voulais aller à Madrid. Et si Manchester United voulait que je parte, ce serait à Madrid. Ils ont dû tout abandonner. En un jour et demi, c’était fait et défait», affirme-t-il sans hésitation.

En 2003, le Real Madrid des Galactiques, après avoir enrôlé Zidane, Figo et Ronaldo, visait deux autres stars : David Beckham et Ronaldinho.

Mais les finances et les stratégies ne permettaient pas de recruter les deux. Tandis que Barcelone, fraîchement passé sous la direction de Joan Laporta, misait gros sur l’Anglais.

À tel point que le candidat à la présidence annonçait même, à tort, que Beckham avait signé avant l’élection. Un coup de communication qui s’avéra être un mirage.

Finalement, Beckham déclina l’offre catalane pour rejoindre la Maison Blanche. Le Barça, recalé, se tourna alors vers Ronaldinho, que le Real souhaitait aussi… mais en différé.

Florentino Pérez voulait attendre 2004 pour l’intégrer à son effectif. Une attente que le Brésilien ne souhaitait pas. Il choisit Barcelone, séduit par l’idée de devenir le pilier d’un nouveau projet sportif.

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Real Madrid : l’énorme confidence d’Arda Güler sur le vestiaire

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À seulement 20 ans, Arda Güler vit un rêve éveillé. Après avoir gravi les échelons à Fenerbahçe, où il a coché ses premiers objectifs de carrière – jouer avec l’équipe première, marquer un coup franc, porter le numéro 10 –, le prodige turc a réalisé son quatrième souhait en rejoignant le Real Madrid. Mais pour ce milieu de terrain réservé, le rêve ne s’arrête pas là.

Dans une lettre émouvante adressée à The Players’ Tribune, Güler s’est confié sur son ambition et sa montée en puissance au sein de la Maison Blanche.

«Je sais que les Turcs veulent que je joue tous les matches du Real Madrid. Moi aussi. Mais je dois être patient. Quand Ancelotti affirme que je peux devenir l’un des meilleurs milieux de terrain du monde, cela montre que le club a un plan pour moi», explique-t-il.

Soutenu par Carlo Ancelotti, qui voit en lui un futur grand, Arda veut mériter ses succès.

«Quand nous avons gagné la Ligue des champions, je n’avais pas vraiment envie de soulever le trophée, car je n’avais pas vraiment contribué sur le terrain. Je suis comme ça. Gagner un titre ne suffit pas. Il faut que je me sente récompensé», a-t-il poursuivi.

Avec 5 buts et 9 passes décisives en 38 matches (1471 minutes), le joueur progresse et s’intègre. Mais tout n’a pas été simple.

«Jouer pour Madrid, c’est facile. Le plus dur, c’est d’apprendre l’espagnol, de s’adapter à la culture et de garder les pieds sur terre. C’est donc une bonne chose que ma famille me rende visite une fois par mois et que maman me dise encore de ranger ma chambre. Elle dit toujours que si je n’étais pas footballeur, on aurait de gros problèmes. Peu importe qui vous êtes, vous ne pouvez pas y arriver seul», sourit-il.

Son intégration

L’histoire la plus savoureuse ? Son surnom dans le vestiaire : «À mon arrivée, j’ai découvert qu’Alaba et Rüdiger parlaient un peu turc. Ils ont grandi avec des immigrés turcs à Berlin et à Vienne, et Alaba est un grand supporter de Galatasaray. Courtois a joué avec Arda Turan, donc il connaît aussi quelques mots… enfin, des gros mots. Mais c’était bizarre parce que, comme vous le savez, en Turquie, on s’adresse à ses aînés avec respect. On dit «Abi», ce qui signifie littéralement «grand frère». C’est ancré dans notre culture. Je ne pouvais pas simplement appeler Modric «Luka». Il pourrait être mon père, tu sais. Alors j’ai dit : «Bonjour Luka Abi.» Alors… Alaba et Rüdiger pensaient que «Abi» s’appliquait à tout le monde. Même à moi. Ils ont commencé à me saluer par «Bonjour, Abi». Le nom est resté, et maintenant il est trop tard pour changer. Je suis donc officiellement «Arda Abi», le plus jeune frère aîné du vestiaire.»»

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