Jay-Z et sa femme, Beyoncé, sont confrontés à une vague de menaces de mort après que le rappeur ait été accusé de viol par une jeune fille de 13 ans. Les accusations, portées par une femme anonyme, ont été rejetées la semaine dernière, mais l’impact sur la réputation et la sécurité de la famille Carter reste lourd.
L’affaire remonte à 2000, lors d’une after-party des MTV Video Music Awards à New York, où Jay-Z et Sean «Diddy» Combs ont été accusés d’avoir drogué et violé la jeune victime.
Bien que les poursuites aient été abandonnées récemment, Jay-Z poursuit désormais en justice l’avocat de la plaignante, Tony Buzbee, pour détresse émotionnelle.
Dans une déclaration au tribunal, le fondateur de Roc Nation a dénoncé les déclarations publiques de l’avocat et les accusations qui l’ont profondément affecté.
Il a expliqué que ces accusations avaient provoqué des menaces violentes, détaillant des messages de haine reçus sur les réseaux sociaux.
«Des gens ont dit : ‘J’ai hâte que tu rejoignes (Sean Combs) en prison. Puis plus tard en enfer’. D’autres commentaires m’ont accusé d’être un sataniste, un trafiquant, un terroriste et un monstre, et ont menacé de violence ma femme et moi», a-t-il écrit.