L’été prochain, la Coupe du monde 2026 se déroulera en Amérique du Nord, coorganisée par les États-Unis, le Canada et le Mexique. Si plusieurs pays sont déjà qualifiés pour la compétition, dont les États-Unis, le Canada, le Mexique, l’Argentine et la Nouvelle-Zélande, l’Iran pourrait rencontrer un obstacle de taille : l’interdiction d’entrer sur le territoire américain.
Malgré sa qualification acquise sur le terrain, l’Iran pourrait se voir refuser l’accès aux États-Unis en raison des mesures migratoires mises en place sous l’administration Trump.
Selon des informations de The Guardian et Reuters, le gouvernement américain aurait dressé une liste de 41 pays dont les ressortissants pourraient être privés d’entrée aux États-Unis, et l’Iran en fait partie.
Si cette situation se confirme, cela affecterait non seulement les joueurs et le staff iraniens, mais aussi les supporters qui souhaiteraient assister à la compétition sur place.
Une solution pourrait consister à délocaliser les matchs de l’Iran au Canada ou au Mexique jusqu’aux quarts de finale.
Toutefois, cette option soulève une question importante : que se passerait-il si l’Iran parvenait à aller au-delà ? Affaire à suivre…