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PSG : la réponse cash de Sébastien Deneux à Véronique Rabiot

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Véronique Rabiot

Suite aux insultes proférées à l’encontre d’Adrien Rabiot et de sa famille lors du Classique au Parc des Princes le 16 mars, la commission de discipline de la LFP a pris des sanctions contre le Paris Saint-Germain. Le club a été condamné à une fermeture partielle de la tribune Auteuil pour un match, ainsi qu’à une amende de 20 000 euros. Des mesures jugées insuffisantes par Véronique Rabiot, qui a exprimé sa déception.

En réponse, Sébastien Deneux, président de la commission de discipline, a expliqué sur La chaîne L’Equipe que le principe fondamental guidant les décisions était celui de la «proportionnalité».

« Cette banderole était inadmissible, nauséabonde et absolument dégueulasse», a-t-il reconnu, avant de souligner que l’objectif principal était d’évaluer la responsabilité du PSG.

«J’entends bien l’émotion de madame Rabiot et c’est totalement normal. Cette banderole était inadmissible, nauséabonde et absolument dégueulasse. Mais ce n’est pas notre sujet premier. Notre sujet premier, c’est d’évaluer la responsabilité du PSG», a-t-il déclaré.

Deneux a précisé que le club parisien avait mis en place de nombreuses actions préventives avant le match, notamment en collaborant avec ses groupes de supporters pour éviter des incidents.

«(…) Ce qui nous est apparu, c’est qu’avant le match, le PSG avait fait énormément d’efforts, avait fait énormément de communication, avait travaillé avec ses groupes de supporters pour qu’il y ait le moins d’incidents possibles, a noté le dirigeant. (…) J’entends dire que le PSG le savait et qu’ils n’ont rien fait, mais ce n’est pas vrai. Les banderoles ne sont pas restées longtemps, elles sont restées une ou deux minutes. Si le PSG avait envie de se taper Rabiot et sa famille, je ne vois pas pourquoi ils ont tout fait pour que les banderoles n’apparaissent pas», a ajouté le dirigeant.

Concernant le timing de la décision, qui permet au PSG de célébrer son titre avec son public, Deneux a insisté que le dossier avait été traité de manière classique, comme tous les autres.

La fermeture de la tribune, à purger lors du match contre Le Havre le 19 avril, reste donc en place.

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