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Zidane, elle tire la sonnette d’alarme

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Pour la première fois depuis l’annonce officielle du départ programmé de Didier Deschamps après la Coupe du monde 2026, Zinédine Zidane a publiquement exprimé son envie profonde de prendre les rênes de l’équipe de France. Une déclaration attendue, presque inévitable, tant le nom de «Zizou» est depuis des années associé au destin des Bleus. Mais ce premier pas du champion du monde 1998 a suscité plus qu’un simple enthousiasme : il a aussi provoqué une mise en garde claire de la part de l’ancienne internationale Charlotte Lorgeré, inquiète de voir la Fédération française de football laisser passer une opportunité unique.

Zidane prêt à renouer le fil de l’histoire

Présent lors d’un événement organisé par Adidas, l’icône tricolore a parlé avec émotion et franchise de son rapport à la sélection nationale.

«Je me sens légitime en équipe de France, où j’ai joué et passé pratiquement 12, 13 ou 14 ans comme joueur. Bien sûr, c’est un rêve, j’ai hâte», a-t-il lancé avec le calme qui le caractérise.

Mais fidèle à son éthique, il n’oublie pas l’homme actuellement en poste : «Il y a un entraîneur aux commandes, il y a une équipe, et il faut respecter tout ça, et c’est ce qu’on fait. J’ai toujours respecté le football et les gens, donc ce n’est pas vraiment le bon moment. Mais le moment venu, ce sera un grand plaisir si l’occasion se présente»

Pourtant, le message est clair : lorsque le siège se libérera, Zidane sera prêt. Et dans le monde du football, une telle déclaration vaut bien plus qu’une simple prise de position : c’est une candidature officielle, une main tendue à la FFF.

Charlotte Lorgeré : «Il faut acter avant qu’il ne soit trop tard»

Sur le plateau de L’Équipe de Greg, Charlotte Lorgeré n’a pas masqué son inquiétude face à l’attentisme de la Fédération. Pour elle, le risque est réel : voir Zidane partir ailleurs, séduit par un autre projet ambitieux.

«Je pense que si on attend encore des mois, ça va encore parler. Oui, c’est le successeur qui est idéal, il en a envie, il attend depuis des années. Mais il est quand même convoité de partout», a-t-elle prévenu, avec un ton mêlant lucidité et frustration.

Elle poursuit : «Tu ne vas pas me dire qu’il n’est pas demandé. À un moment, il faut acter pour l’avenir, que ce soit lui, que ce soit dit, que lui puisse aussi anticiper les choses et qu’il ne soit pas pris ailleurs. C’est surtout ça ma crainte.»

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