L’avenir de l’équipe de France après le Mondial 2026 semble déjà écrit. Si Didier Deschamps a officialisé son départ après la compétition, un nom revient avec insistance pour lui succéder : Zinédine Zidane. Et selon le journaliste Nabil Djellit, il ne fait plus aucun doute que l’ancien entraîneur du Real Madrid prendra les rênes des Bleus.
«C’est un train qui va arriver à l’heure. Je veux dire que si on met un concurrent, éventuellement. Reprenons les choses dans l’ordre, le sélectionneur en place a dit qu’il partait donc il n’y a pas de pression particulière. C’est factuel, la place est libre. Il y a un seul candidat qui se dégage, adoubé en partie par le sélectionneur en place. je rappelle qu’il a fait une interview dans L’Equipe où il a dit ‘Zidane comme sélectionneur, ce serait une bonne idée’. Donc je ne vois pas où est le sujet en fait. C’est un train qui va arriver à l’heure. Qu’est-ce qu’il va se passer après le départ de Didier Deschamps ? Tout le monde sait ce qu’il va se passer. Quel autre candidat ? Un candidat qui émergeait, qui serait capable de matcher Zidane ? Il est désiré par la fédé, adoubé par le sélectionneur actuel, peu importe l’histoire qu’ils ont ensemble, tout le monde veut que ce soit lui dans le public», a-t-il assuré sur L’Équipe de Greg.
La candidature de Zidane s’est imposée d’autant plus naturellement qu’il a décliné plusieurs offres prestigieuses, notamment celles du Brésil, de l’Arabie saoudite… et de l’Algérie, pays de ses origines.
En février 2024, la Fédération algérienne l’avait approché, mais Zidane n’avait pas donné suite, malgré son attachement personnel.
«Il les a refusées. Il a refusé le Brésil, il a refusé l’Algérie… Il n’y a rien qui se propose à lui. S’il voulait aller quelque part, toutes les portes s’ouvrent. S’il avait voulu aller en Arabie Saoudite il y serait allé, s’il avait voulu aller à Manchester il y serait allé, le Real il pourrait, la Juve il pourrait, le Brésil il peut… Il serait pris n’importe où !», a ajouté Djellit.