Suivez-nous

Célébrités

Les lourdes accusations des avocats de Mauro Icardi contre Wanda Nara

Publié

le

L’affaire explosive opposant Mauro Icardi à son ex-compagne Wanda Nara dans le cadre de la garde de leurs deux filles connaît un nouveau rebondissement. Un document judiciaire déposé récemment par l’équipe juridique du footballeur accuse frontalement l’animatrice et femme d’affaires argentine d’avoir violé une décision de justice et causé un préjudice émotionnel majeur à leurs enfants.

Signé par les avocates Elba Marcovecchio et Lara Piro, le document décrit avec précision les événements du 27 juin 2025, date à laquelle la remise des mineures à leur père devait avoir lieu conformément à une résolution judiciaire.

Selon le dossier, «Wanda Nara aurait volontairement entravé cette procédure, provoquant une situation qualifiée de «prise d’otages» par la défense.»

«La résolution de la SS était claire quant à la méthodologie de remise des filles à leur père […] mais Mme Nara ne voulait pas abandonner ses filles», indique le texte.

Ce refus d’obtempérer aurait entraîné une intervention prolongée des professionnels présents — parmi eux, la déléguée Mme Mattera et le travailleur social Dr Francisco Zaldueño — ainsi que des forces de police et du service SAME.

La défense souligne que «cette opération d’urgence, mobilisant des ressources publiques considérables, doit désormais être assumée financièrement par Wanda Nara elle-même».

Une mise en scène médiatique dénoncée

Le document pointe également la médiatisation orchestrée de l’événement par la mère des enfants. Alors que la situation impliquait des mineures, Wanda Nara aurait communiqué en direct avec des journalistes, livrant une version biaisée des faits.

«Mme Nara diffusait en direct aux journalistes qui publiaient son récit minute par minute, mais à ce moment-là, alors que la priorité était les filles, Mme Nara inventait chacun des épisodes, démontrant une capacité inépuisable de mensonge rarement vue», dénonce le texte.

Pire encore, des images des deux filles, en pleurs, auraient été diffusées sciemment par l’entourage de Wanda, ce que la défense qualifie de «revictimisation» inacceptable, avec des séquelles psychologiques potentiellement durables.

Une mère jugée «non qualifiée» pour exercer la garde

Le document judiciaire est sans concession. Il évoque «une mère désorientée» qui aurait tenté de faire obstacle à une décision judiciaire en exposant ses enfants à une crise émotionnelle profonde.

La demande de l’équipe d’Icardi est claire : «elle réclame l’arrêt immédiat de la garde maternelle à titre conservatoire, l’ouverture d’une procédure pour restitution internationale des mineures, ainsi qu’une amende de 100 millions de pesos pour la diffusion non autorisée des images des filles.» «Une mère qui viole, maltraite et porte préjudice comme Nara l’a fait […] n’est pas qualifiée pour exercer son rôle maternel», résume la défense.

Une affaire qui dépasse le cadre familial

Les derniers paragraphes du document sont empreints de gravité. Les avocats d’Icardi évoquent une blessure irréversible infligée à l’enfance des deux filles, I. et F., qu’ils estiment «marquées au fer rouge» par cet épisode.

«Nara a abusé de ses filles, en toute impunité, de manière flagrante, et au vu et au su d’un pays qui a diffusé un tel spectacle à la télévision nationale. […] Elle a une fois de plus détruit l’innocence de deux filles.»

Commenter

Repondre

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Trending