Wanda Nara est de nouveau au centre de l’attention médiatique. La femme d’affaires et épouse de l’attaquant Mauro Icardi avait affirmé avoir été victime de violences conjugales, de coups et même d’un enlèvement présumé. Pourtant, il apparaît aujourd’hui que sa plainte pour «violences conjugales» contre le père de ses filles a été rejetée par le Tribunal des affaires familiales.
Selon un document exclusif présenté par Martín Candalaft sur DDM, le tribunal a décidé de classer l’affaire sans suite. Cette décision fait suite à des incidents signalés au Château Libertador, mais le tribunal a précisé que, faute de pouvoir appliquer des mesures de précaution telles qu’un bouton panique ou une ordonnance restrictive — Icardi résidant actuellement en Turquie —, il était impossible de poursuivre l’affaire dans le cadre familial.
«Le tribunal de la famille dispose d’une marge de manœuvre limitée. Si Wanda Nara souhaite poursuivre l’affaire, elle doit transférer sa plainte au tribunal pénal», a expliqué Candalaft.
Le défenseur des enfants impliqué a également conseillé à la femme d’affaires que la justice pénale constituait la voie la plus appropriée, le milieu familial ne disposant pas des outils nécessaires pour traiter ce type de plainte. «Ils ne nient pas la plainte, mais expliquent plutôt qu’ils ne peuvent rien faire», résume le journaliste.
Par ailleurs, le journaliste Guido Záffora a apporté des précisions sur les incidents signalés par Wanda Nara. Trois épisodes auraient été rapportés : «le 14 novembre au Château Libertador, en présence de son avocate Ana Rosenfeld, impliquant une résistance à l’arrestation ; un autre, confirmée par Maxi López, relatif à des violences présumées envers les enfants partagés avec Icardi ; et enfin une plainte publique concernant un «enlèvement» présumé, pour lequel Wanda affirme disposer de preuves supplémentaires.»
Le document du tribunal souligne que «les parties doivent se présenter par les moyens et de la manière appropriés concernant les réclamations qui dépassent le cadre prévu pour les procédures de violence domestique», encourageant ainsi Wanda Nara à porter ses accusations devant le tribunal pénal.