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PSG furieux après les blessures de Doué et Dembélé, Deschamps répond

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La trêve internationale a laissé des traces profondes au Paris Saint-Germain. Alors que le calendrier du club va s’intensifier avec le retour de la Ligue des champions, le PSG devra composer sans Désiré Doué et Ousmane Dembélé, tous deux blessés avec l’équipe de France. Une situation qui a suscité la colère du club parisien, notamment dans le cas de Dembélé, déjà fragilisé avant son arrivée en sélection.

Deux coups durs pour Paris

Victime d’une lésion au mollet droit, le jeune milieu Désiré Doué sera indisponible pour les quatre prochaines semaines. De son côté, Ousmane Dembélé souffre d’une lésion sévère de l’ischio-jambier droit et manquera au moins six semaines de compétition.

Une véritable catastrophe pour le PSG, qui redoutait particulièrement le cas de son ailier de 28 ans. Le club avait d’ailleurs alerté la Fédération française de football (FFF) avant le match contre l’Ukraine, en raison d’une première alerte à la cuisse gauche. Un avertissement qui n’a pas suffi à éviter la rechute.

Deschamps calme le jeu

Invité de l’émission Téléfoot ce dimanche, Didier Deschamps a été interrogé sur la polémique. S’il a reconnu le mécontentement du PSG, le sélectionneur a défendu la gestion de son staff médical.

«Ce rapport là, on l’a toujours eu avec tous les clubs. Evidemment qu’on a conscience de la situation des joueurs quand nous recevons les informations parce que certains clubs les donnent plus ou moins. On a toujours fait les choses avec beaucoup de sérieux et de professionnalisme. Je comprends la colère du PSG, à leur place si j’étais en club j’aurais le même ressenti. Je ne suis pas là pour prendre des risques», a-t-il confié.

Deschamps a tenu à souligner le sérieux du protocole suivi par l’équipe de France : «Si vous laissez des joueurs sur le banc vous ne prenez pas de risques. À partir du moment où les joueurs sont sur le terrain, le risque zéro n’existe pas, poursuit Deschamps. Mais entre les protocoles établis, je prends l’exemple de ce rassemblement, j’ai Rayan Cherki et William Saliba qui sont blessés, c’est acté, ils ne peuvent pas jouer, je ne les fais pas venir. Le protocole prévoit qu’ils doivent venir faire constater leur blessure le lundi matin. Quand il y a une possibilité, sauf si le joueur dit « non je ne peux pas » on constate et on voit comment ça évolue. Dans la semaine qui a précédé, on a fait ça avec beaucoup de sérieux, en demandant le ressenti du joueur sur chaque séance. Je fonctionne comme ça, le ressenti du joueur est très important.»

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