Cristiano Ronaldo continue d’associer son nom à l’excellence, au prestige et à la démesure. Invité de l’émission de Piers Morgan, le quintuple Ballon d’Or a, une nouvelle fois, capté tous les regards — non pas grâce à un geste technique ou un but venu d’ailleurs, mais grâce à un accessoire aussi rare que scintillant : une montre entièrement sertie de diamants, estimée à 1,1 million de livres sterling.
À 40 ans, la star d’Al Nassr maîtrise toujours l’art de séduire le public, aussi bien par son charisme que par son goût assumé pour le luxe. Pour cette interview exclusive, Ronaldo arborait une Jacob & Co Twin Turbo Furious Baguette en or blanc 18 carats, une véritable œuvre d’art horlogère dont seulement 18 exemplaires existent à travers le monde.
Sertie de plus de 360 diamants baguette, la montre intègre deux tourbillons à trois axes, ainsi qu’une répétition minutes décimale, l’une des complications les plus sophistiquées de l’horlogerie moderne. Une création à la hauteur du personnage : extravagante, rare, techniquement irréprochable.
Les internautes n’ont pas tardé à s’enflammer sur les réseaux sociaux, saluant une «pièce incroyable», «totalement à l’image de CR7 : brillante, audacieuse et intransigeante».
Un quotidien à 488 000 £ par jour en Arabie saoudite
Depuis son arrivée à Al Nassr, Cristiano Ronaldo vit dans une dimension où les chiffres semblent défier toute logique. Le club saoudien le rémunère à hauteur de 488 000 livres sterling par jour, soit un montant vertigineux qui témoigne du statut planétaire du joueur.
S’il décide de prolonger d’une année supplémentaire, son contrat pourrait atteindre 38 millions de livres sterling. Supercars, villas somptueuses, bijoux scintillants, montres rares : le Portugais assume pleinement son goût pour les belles choses. Son passage à Riyad n’a fait qu’amplifier un style de vie déjà luxueux.
«L’argent n’a plus d’importance… mais il est toujours bon d’en avoir»
Face à Piers Morgan, Ronaldo n’a pas évité les questions sur son patrimoine impressionnant. Selon l’indice Bloomberg, il est devenu le premier footballeur milliardaire — un cap symbolique qu’il savoure, mais qu’il aborde avec pragmatisme.
«Ça fait déjà quelques années. À 39 ans, je sais combien d’argent je possède. Pas à 100 %, mais évidemment, il faut une équipe. C’est normal. J’ai des gens qui m’aident à prendre les bonnes décisions dans tous les domaines. Financièrement, je parle quotidiennement avec quelqu’un. Investissements, opportunités… Je suis maître de la situation, car il s’agit de ma vie et de mon argent.», a-t-il déclaré.
L’attaquant reconnaît qu’il s’attendait à atteindre ce statut exceptionnel : «Je savais que ça allait arriver. J’étais prêt. Ce n’était qu’une question de temps. Franchement, j’étais fou de joie. C’est comme gagner un Ballon d’Or. Tout le monde a des objectifs : se construire une maison, avoir une voiture… Mon objectif était d’atteindre ce chiffre. Je n’étais pas obsédé par l’argent, car quand on atteint un certain niveau, l’argent n’a plus d’importance. Mais on n’est jamais satisfait de ce qu’on a. L’argent est important, certes, mais il y a des choses plus importantes. C’était l’un de mes objectifs, en plus du football. J’en suis très fier. Les chiffres sont implacables. Si l’on regarde les records du football, Cristiano est en tête. C’est un record de plus. Je connais mon potentiel. Je savais que j’atteindrais ce nombre. C’était ma stratégie il y a quelques années. Si vous maintenez un haut niveau de performance, les résultats suivront. Tout est lié. Si vous me demandiez si je deviendrais riche aussi vite ? Probablement pas.»
