Bien connu comme l’un des plus grands basketteurs de tous les temps, Tony Parker n’est pas seulement une icône de la NBA ; il est également un passionné de football. Ce côté moins connu de sa personnalité se révèle à travers ses expériences marquantes, ses amitiés dans le milieu et son engagement dans le sport roi.
L’amour de Tony Parker pour le football n’est pas surprenant, surtout lorsqu’on sait qu’il compte parmi ses amis proches Thierry Henry, considéré comme l’un des meilleurs joueurs de l’histoire de la Premier League.
Cette amitié lui permet de s’immerger encore plus dans le monde du football, où il échange des idées et des expériences avec un véritable maître du jeu.
Henry, devenu consultant reconnu, et Parker partagent souvent leur passion pour le ballon rond, et il est évident que leur complicité va bien au-delà du simple sport.
Loin de se limiter à sa passion personnelle, Parker a également cherché à faire partie du monde du football professionnel en s’impliquant dans les affaires de l’Olympique Lyonnais.
Annoncé un temps comme le futur président du club, il a finalement choisi de s’investir dans les coulisses, dialoguant régulièrement avec certains joueurs et membres du staff.
Un souvenir inoubliable : la finale de 2006
Parmi ses nombreuses expériences liées au football, l’un des souvenirs les plus marquants pour Parker reste sa présence à Berlin en juillet 2006 lors de la finale de la Coupe du Monde entre la France et l’Italie.
Dans son émission sur la chaîne 100% basket, «Skweek», il s’est exprimé sur ce moment emblématique, notamment l’expulsion de Zinédine Zidane après son fameux coup de tête sur Marco Materazzi.
«En 2006, j’étais à Berlin, j’étais au stade pour la finale contre l’Italie. Quand t’es au stade et que tu regardes le match, tu ne vois pas ce qu’il se passe sur la droite du terrain. L’action se déroule à gauche, donc tu regardes à gauche. Et d’un coup, on voit que ça s’énerve sur le terrain. Tu ne vois même pas le replay, il n’y avait pas le ralenti sur les écrans», a-t-il expliqué.
La tension dans le stade était palpable, et Parker raconte que tous les spectateurs ont rapidement pris leurs téléphones pour essayer de comprendre ce qui se passait.
«À ce moment, on a tous pris nos téléphones pour demander ce qui venait de se passer sur le terrain. Au début, quand on m’a répondu qu’il avait mis un coup de tête, je pensais que c’était n’importe quoi. Quand le carton rouge sort, tu te demandes encore ce qu’il se passe. En live, c’est perturbant», a-t-il ajouté.
Bien qu’il n’ait pas vu le coup de tête de Zidane en direct, Tony Parker a vécu un moment inoubliable de l’histoire du football français.