Dans le cadre de son divorce houleux avec Mauro Icardi, Wanda Nara a exprimé son mécontentement envers deux journalistes argentins, Analía Franchín et Pía Shaw, après que ces dernières aient évoqué, lors de l’émission A la Barbarossa, de possibles amendes auxquelles elle pourrait être confrontée. La discussion portait sur un prétendu non-respect d’une décision judiciaire en lien avec ses filles, Francesca et Isabella, au milieu de son conflit avec l’attaquant du Galatasaray.
Pía Shaw a révélé que Mauro Icardi avait récemment obtenu gain de cause au tribunal concernant ses visites avec ses filles, soulignant qu’il avait déposé une plainte après avoir constaté qu’il n’avait pas pu respecter l’ordonnance du tribunal.
«Il y a eu une demande du tribunal qui n’a pas été satisfaite, alors il est allé au tribunal et a dit ‘c’était à mon tour d’être avec eux et cela ne s’est pas produit’, et il a déposé la plainte», a partagé Shaw
Dans la même veine, Analía Franchín a abordé la question des amendes qui pourraient être infligées à Wanda Nara pour son refus d’obéir aux décisions judiciaires.
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Loin de se limiter à une simple analyse, elle a prévenu que cette situation pourrait même dégénérer en une affaire pénale si des manquements répétés étaient observés, exacerbant ainsi les tensions entre Wanda et Mauro Icardi.
Franchín a également évoqué un autre sujet sensible : le retour de Silvia, l’ancienne nourrice des filles Icardi, qui avait été renvoyée après une plainte pour abus.
Selon le journaliste, Silvia avait travaillé pour Mauro pendant deux ans, s’occupant des enfants pendant que Wanda poursuivait sa carrière en Argentine.
Ces déclarations ont provoqué une réaction virulente de la part de Wanda Nara, qui n’a pas hésité à s’exprimer sur X (anciennement Twitter).
«Pour ces deux grands menteurs et méchants, il n’y a pas de muselière ? Est-ce seulement pour certains ? Je suis surprise que les mères parlent si mal d’une femme avec 5 enfants», a-t-elle écrit, citant un tweet de Telefe qui relayait les propos des journalistes. Le tweet a depuis été supprimé.
Dans un autre message, Wanda Nara a mis en lumière sa situation économique et personnelle : «J’ai déjà montré les preuves des fois où nous vous avons écrit, mais bien sûr, j’étais occupée à dépenser 50 000 $ pour des maisons et la dame japonaise dépensait l’argent qu’elle n’avait pas. Je ne paie pas à ses filles. Il n’y a jamais eu d’obstacle, je soutiens seule mes enfants, je travaille et je ne dérange PERSONNE», a-t-elle affirmé, répondant ainsi aux insinuations concernant sa gestion financière.
Enfin, la star argentine n’a pas manqué de se tourner vers son ex-mari. «Je demande à Icardi de vendre une montre qu’elle m’avait achetée et payée si elle est vraiment aussi ‘cassée’ qu’elle le prétend», a-t-elle conclu.
