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Barça : Dani Olmo revient sur l’échec face à l’Inter Milan

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La plaie est encore ouverte en Catalogne. Le FC Barcelone n’a toujours pas digéré sa défaite cruelle en demi-finale retour de Ligue des champions contre l’Inter Milan. Menant 3-2 dans le temps additionnel, les Blaugranas ont finalement été renversés et privés de finale, au profit des Nerazzurri. Mais pour Dani Olmo, pas question de se chercher des excuses.

Dans un entretien accordé à Mundo Deportivo, l’international espagnol a rejeté fermement l’idée d’un «vol», malgré les polémiques sur une possible faute de Dumfries.

«Un vol, pourquoi ? Si on avait marqué un but de plus, rien ne se serait passé. Ce furent deux matchs, de 90 et 120 minutes, très équilibrés jusqu’au bout. Certes, il y a peut-être eu un hors-jeu, une faute mineure, mais au final, ce n’est pas une excuse. On aurait pu faire mieux, on le sait, et c’est ce qu’on garde pour la saison prochaine.», a-t-il déclaré.

Olmo préfère regarder devant, avec en ligne de mire une nouvelle campagne européenne : «Oui, c’est un rêve, c’est sûr. L’année dernière, je pense que nous aurions pu atteindre la finale, mais à cause de petits soucis, nous n’y sommes pas parvenus. Cette année, nous avons une nouvelle chance» a-t-il ainsi confié.

Ambitieux, il s’est fixé un objectif personnel clair : «Jouer beaucoup de matchs, d’abord et avant tout, et ensuite réussir. C’est pourquoi nous sommes ici, en pré-saison en Asie, pour nous préparer à tout ce qui nous attend. Au moins deux chiffres seraient bien (concernant les buts). Oui, ce serait bien. Vingt buts toutes compétitions confondues, ce serait une bonne saison.»

Et sous les ordres d’Hansi Flick, en qui il voit un coach à la philosophie Barça affirmée, l’Espagnol croit en un rebond collectif.

«C’est un entraîneur sympathique et clairvoyant. Il sait ce qu’il veut, comment il veut que nous jouions. Et nous le savons parfaitement. En ce sens, il est ambitieux. C’est un entraîneur qui veut dominer, qui veut avoir le ballon, qui veut attaquer et qui veut gagner. Donc oui, on peut dire qu’il a l’ADN du Barça» a-t-il expliqué avant de conclure sur son exigence : «Oui, ça a toujours été le cas. Tout est un effet cumulatif. Être ponctuel, par exemple, est un signe de respect envers ses collègues et son personnel. Nous en sommes tous conscients, et sur le terrain, cela nous impose des exigences»

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