Une semaine marquée par des succès pour Joan Laporta, le président du FC Barcelone. Après avoir réussi à enregistrer Dani Olmo et Pau Victor, sous réserve de la décision en appel de LaLiga, Laporta a vu ses joueurs triompher du Real Madrid (5-2) en finale de la Supercoupe d’Espagne dimanche dernier. Mais au-delà de la victoire sportive, le patron blaugrana a profité de l’occasion pour s’attaquer à ses détracteurs, notamment certains groupes de supporters et des opposants politiques à la présidence du club.
«Nous sommes revenus à la règle du 1-1 du fair-play financier (un euro généré, un euro dépensé, ndlr), ce qui nous permet désormais de recruter normalement et d’inscrire des joueurs comme Dani Olmo et Pau Victor. Cela confirme la force du FC Barcelone et démontre à quel point certains discours apocalyptiques étaient erronés», a déclaré Laporta face à la presse.
Loin de se laisser abattre par les critiques, l’ex-président de la Generalitat de Catalogne a également pointé du doigt les médias et les acteurs qui ont tenté de nuire à sa gestion.
«Différents acteurs, avec leurs moyens médiatiques respectifs, se sont unis pour imposer une histoire ignominieuse qui n’a rien à voir avec la réalité. Ils se sont positionnés du côté des ennemis du Barça», a-t-il ajouté, défendant sa vision du club et de son avenir.
Enfin, Laporta a clairement montré qu’il ne céderait pas face à la pression.
«Est-ce que quelqu’un a cru que j’allais démissionner à cause d’une décision de LaLiga ou de la Fédération ? Nous vendrons très cher notre peau, vous pouvez l’imaginer. Je suis très déçu par les gens qui aspirent à devenir président. Il ne s’agissait pas d’être du côté de Laporta, mais du côté du Barça», a-t-il conclu