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Barça : le père de Lamine Yamal compare son fils à Zinédine Zidane

Lamine Yamal, l’un des plus jeunes talents du football mondial, continue de séduire et d’impressionner à chaque apparition. À tout juste 16 ans, le joyau du FC Barcelone a récemment remporté le Trophée Kopa, récompensant le meilleur jeune joueur de l’année, et semble bien parti pour devenir l’un des prétendants au prestigieux Ballon d’Or dans les années à venir. Son père, Mounir Nasraoui, ne tarit pas d’éloges sur son fils et n’hésite pas à le comparer à des légendes du football, dont Zinédine Zidane.

Dans une interview accordée à France Football, Mounir Nasraoui a partagé son admiration pour le parcours fulgurant de Lamine. Il a raconté que, dès son plus jeune âge, il était évident que son fils n’était pas un enfant comme les autres.

«J’ai rapidement compris que c’était une étoile, que ce n’était pas un être humain comme les autres. Dès son plus jeune âge, il y avait un ballon dans sa poussette. Il a appris à taper dans le ballon en même temps qu’à marcher», a-t-il révélé, soulignant la précocité de Lamine qui n’a cessé de se perfectionner depuis ses premières heures avec le ballon.

«Il s’amusait à dribbler nos deux chiens, à confisquer la balle pour ne pas se la faire piquer. C’est notamment grâce à cela que tout lui a semblé facile lorsqu’il a commencé à jouer en club vers 3 ans et demi puis quand il a rejoint le Barça à 6 ans», a poursuivi son père.

Lamine Yamal, qui a grandi dans la rue en jouant avec des enfants plus âgés, a développé une technique et une mentalité de joueur forgé dans l’ombre, une caractéristique qu’il partage avec des légendes du football telles qu’Alvaro Recoba et Djalminha, selon Mounir Nasraoui.

«À cette époque, il avait déjà la tête levée, contrôlait le ballon et faisait la passe ou dribblait. Il n’a jamais eu peur, même quand il jouait sur la dalle près de chez nous, avec des garçons du quartier qui avait le double de son âge. Il fait partie de ces joueurs forgés dans la rue qui cajolent le ballon, comme Alvaro Recoba (ex-international uruguayen) ou Djalminha (Brésilien passé notamment par La Corogne)», a ajouté le père, insistant sur le courage et la détermination de son fils.

Mais ce qui fait particulièrement rêver Mounir Nasraoui, c’est l’avenir de son fils. Il voit en lui un potentiel qui va bien au-delà des succès immédiats.

«J’ai toujours eu foi en lui, je répétais sans cesse à mes amis qu’il allait devenir le meilleur joueur du monde, que c’était un diamant pur. Il doit rester le même, sur le terrain comme en dehors, et prendre du plaisir. Aujourd’hui, c’est un homme. Je lui ai dit ça l’autre jour et je n’ai pu retenir mes larmes. Je n’ai pas été surpris qu’il soit nommé au Ballon d’Or, vous n’avez vu que 20 % de ce qu’il est capable de faire», a-t-il confié, prédisant un avenir rempli de distinctions individuelles pour son fils.

«Pour moi, c’est un numéro 10, pas un ailier. Il a l’habileté et la mentalité pour évoluer dans l’axe, derrière l’attaquant, à l’instar d’un Zinédine Zidane», a-t-il ajouté, comparant Lamine à la légende du football français.

Son père semble convaincu que son fils, s’il reste fidèle à lui-même, aura une carrière exceptionnelle, ponctuée de Ballons d’Or.

«Je me frotte les mains en pensant aux Ballons d’Or qu’il va gagner…», a-t-il conclu, avec une confiance totale dans le potentiel de Lamine Yamal.

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