Retraité depuis 2021 en raison de problèmes cardiaques, Sergio Agüero n’en reste pas moins un observateur passionné du football. Passé par l’Atlético de Madrid, Manchester City et le FC Barcelone, le champion de la Copa América 2021 a croisé plusieurs fois la route du Paris Saint-Germain, notamment en Ligue des Champions.

Dans un entretien accordé à L’Équipe, l’ancien buteur argentin a livré un souvenir assez particulier de ses confrontations avec le club parisien.

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«Le PSG était un adversaire bizarre. Quand on les jouait, on devait être très attentifs, parce que lorsque tous leurs joueurs de devant étaient à 100 %, c’était vraiment compliqué. Mais on savait qu’ils souffraient toujours quand on avait le ballon et qu’on jouait dans leur camp.», a-t-il confié.

Malgré l’immense déception de l’élimination en demi-finale retour de la Ligue des Champions face à l’Inter Milan (3-4 après prolongation), le jeune ailier du FC Barcelone, Lamine Yamal, a tenu à s’adresser aux supporters avec des mots empreints de fierté, de détermination… et d’avenir.

Auteur une nouvelle fois de gestes de grande classe et de fulgurances techniques dignes des plus grands, le prodige formé à La Masia s’est imposé comme l’un des visages forts de cette campagne européenne.

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Mais si les larmes n’étaient pas loin après le coup de sifflet final, le joueur de 16 ans a préféré parler au cœur des supporters, à travers un message fort publié sur ses réseaux sociaux.

«Nous avons tout donné. Cette année, cela n’a pas été possible, mais nous reviendrons, n’ayez aucun doute. Nous n’arrêterons pas jusqu’à ce que nous laissions ce club là où il mérite d’être, au sommet. Je tiendrai ma promesse et je l’apporterai à Barcelone, nous ne nous arrêterons pas tant que nous ne l’aurons pas obtenue, cette Ligue des Champions. Mais dimanche, c’est une autre finale et nous devons être tous ensemble», a-t-il déclaré.

Dans une interview exclusive accordée à Marialuisa Jacobelli pour SportMediaset, Aleksander Čeferin, président de l’UEFA, s’est exprimé sur la nouvelle Coupe du Monde des Clubs et la saturation du calendrier footballistique.

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«C’est difficile à dire, car la Coupe du Monde n’a pas encore commencé. D’un côté, il y a les joueurs qui se plaignent de la charge excessive des matchs. D’un autre côté, il y a des clubs – surtout les grands – qui veulent jouer davantage. Je ne sais pas si un tournoi qui se termine cinq semaines après la saison n’aura pas de conséquences sur la santé des joueurs. Nous verrons. Le calendrier est plein. Tellement plein que nous ne pouvons pas ajouter plus de matchs. Je suis d’accord. Mais la situation est paradoxale. D’un côté, les clubs veulent être durables et ont besoin de plus de matchs pour générer des revenus. D’un autre côté, les joueurs jouent trop et se blessent. Mais si les clubs étaient suffisamment solides financièrement pour payer tout, ils n’auraient pas besoin d’autant de matchs. C’est un cercle vicieux», déclare-t-il prudemment.

Le rêve européen du FC Barcelone s’est envolé ce mardi au bout d’un scénario épique, face à une Inter Milan renversante (3-3, 3-4 a.p.), en demi-finale retour de la Ligue des Champions. Une élimination qui laisse un goût amer à l’entraîneur blaugrana Hans-Dieter Flick, frustré par l’arbitrage de Szymon Marciniak.

«Je ne veux pas parler de l’arbitre, mais toutes les décisions 50-50 tournaient en leur faveur. Nous avons tout donné, mais à la fin, c’est comme ça et c’est ce qui m’a rendu un peu triste», a déclaré le technicien allemand, visiblement affecté, au micro de Movistar+.

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Deux décisions majeures ont cristallisé les critiques : le penalty accordé à Lautaro Martínez pour un contact litigieux avec Cubarsí, et l’action sur Lamine Yamal, initialement sanctionnée d’un penalty avant que la VAR ne transforme la faute en simple coup-franc, sans expulsion pour Mkhitaryan.