Carlo Ancelotti : «J’ai eu la chance d’entraîner de grands clubs, mais…»

Ce mardi, le Real Madrid affronte Alavés lors de la septième journée de Liga, un match particulièrement symbolique pour Carlo Ancelotti, puisqu’il s’agira de sa 300ème rencontre à la tête de l’équipe première des Merengues.

Lors de la conférence de presse d’avant-match, l’entraîneur italien a exprimé sa fierté et son attachement indéfectible au club madrilène, qu’il considère comme le meilleur du monde.

«J’ai eu la chance d’entraîner de grands clubs, comme l’AC Milan, mais ici, c’est le meilleur du monde, il n’y a pas de doute. Atteindre les 300 matchs sur ce banc… Je ne dis pas que c’est un miracle, mais presque», a confié Ancelotti, soulignant l’importance de cet accomplissement personnel et professionnel.

À 65 ans, l’entraîneur italien ne montre aucun signe de lassitude et refuse de fixer une date de fin à sa carrière sur le banc du Real Madrid.

«Je n’ai pas de date de péremption, comme personne d’autre. J’aime faire ce métier et ma fatigue n’est pas comparable à celle des joueurs. Je pourrais avoir de la fatigue mentale, c’est vrai, mais je n’en ai pas», a-t-il déclaré, faisant preuve d’un enthousiasme intact.

Ancelotti a également évoqué la pression et la responsabilité qui accompagnent son rôle, des aspects qu’il semble apprécier malgré leur intensité.

«C’est vrai qu’il y a de la pression et de la responsabilité… mais j’adore ça. Les joueurs ont plusieurs autres problèmes, comme l’épuisement physique, qui est un vrai problème. Pour le moment, je n’ai pas de date d’expiration. J’aimerais continuer ici pendant de nombreuses années», a-t-il ajouté