À quarante ans, Cristiano Ronaldo continue d’impressionner bien au-delà des terrains. L’attaquant d’Al-Nassr, troisième sportif le plus riche de l’histoire derrière Michael Jordan et Tiger Woods, cultive depuis des années une image d’icône planétaire — et son patrimoine automobile en est l’un des symboles les plus spectaculaires. Pourtant, derrière la vitrine luxueuse, CR7 révèle aujourd’hui une relation bien plus complexe avec les voitures.
En 2024, Ronaldo a touché 260 millions d’euros, dont 200 millions grâce à son contrat saoudien et 60 millions issus de ses partenariats. Sa fortune totale est désormais estimée à 1,2 milliard d’euros, selon Forbes. Une réussite financière qui lui a permis d’accumuler l’une des plus impressionnantes collections automobiles du monde.
Dans son garage privé, les modèles les plus rares se côtoient : Ferrari LaFerrari – 3 millions de dollars ; Bugatti Chiron – 2,5 millions d’euros ; Bugatti Veyron – 1,6 million d’euros ; Ferrari F12 TDF – près d’un million ; sans oublier la Lamborghini Aventador, la McLaren Senna, et une Rolls-Royce Cullinan.
Selon GQ et The Sun, la valeur totale de sa collection dépasserait les 20 millions d’euros. Ronaldo posséderait 40 à 41 voitures, même s’il reconnaît avec humour avoir perdu le compte.
«Les voitures ne sont plus une passion» : la confession inattendue
Dans une interview sincère accordée à Piers Morgan, Ronaldo a surpris le monde entier. Celui que beaucoup imaginent guidé par le luxe affirme avoir pris ses distances avec les voitures : «Je pourrais m’acheter tout ce que je veux, mais je n’en ai pas besoin. J’ai acheté une voiture il y a trois jours, mais c’est pour ma collection. Je ne vais pas la conduire. C’est un investissement. C’est une Bugatti Tourbillon, mais c’est un investissement. Combien de voitures ? Je ne sais pas. Je ne les compte pas. Peut-être 40 ou 41. Mais je n’en sais rien, je le jure sur mes enfants.»
Plus étonnant encore, il avoue ne plus avoir l’envie de profiter de ses bolides : «J’adore les Bugatti. Je ne les conduis jamais. Par exemple, j’étais à Madrid pendant une semaine et je ne suis même pas allé au garage pour voir si les voitures étaient là. Elles sont passées au contrôle technique et je me suis contenté de vérifier leur propreté avant de les faire rentrer au garage. Les voitures ne sont plus une passion.»
