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Daniel Riolo balance : «Luis Enrique va épuiser le PSG à terme»

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Le Paris Saint-Germain a subi une nouvelle défaite en Ligue des champions, cette fois contre le Bayern Munich (1-0), avec une prestation décevante de Matvey Safonov, titularisé en remplacement de Gianluigi Donnarumma. L’international russe a commis une erreur sur le but de Kim Min-Jae, ce qui a ajouté de l’huile sur le feu autour de la décision de Luis Enrique de faire jouer Safonov au lieu du portier italien. Cette décision n’a pas tardé à susciter des critiques, notamment de la part de Daniel Riolo, éditorialiste sur RMC.

Riolo n’a pas mâché ses mots : «Les arrêts qu’il fait, Donnarumma les fait aussi tous les jours. Le problème, ce n’est pas la bourde, c’est pourquoi se mettre dans l’embarras dans ce jeu avec les gardiens ?» a-t-il lancé, remettant en question le choix de l’entraîneur espagnol.

Il poursuit en soulignant que cette décision a eu des conséquences immédiates : «Je te mets toi, je te mets toi’. Maintenant, il a perdu Donnarumma. C’est fini, il ne le verra plus. Mais pourquoi tu avais besoin de faire ça ? Ce n’est pas comme si tu avais fait rentrer Sepp Maier ou Lev Yachine. Tu as fait entrer Safonov, l’ex-gardien de Krasnodar ! On en parle du but ? Il a été ridicule.»

L’éditorialiste va plus loin en critiquant l’approche globale de Luis Enrique au PSG. «Ce gars-là (Luis Enrique) va t’épuiser, il va finir par essorer le club parce qu’il aura une fracture avec les supporters à cause de lui. Il fait partie des entraîneurs qui épuisent et essorent un club. Mourinho fait aussi partie de ce type d’entraîneurs. Est-ce que son idée est de toujours vouloir jouer de la même manière ou de vouloir créer quelque chose de nouveau qui va surprendre l’adversaire ? Ce gars déstabilise ses joueurs. Il se prend pour un grand intellectuel. Les joueurs adorent ce genre d’entraîneurs dans un premier temps parce qu’ils se sentent valorisés. Les joueurs adhèrent à ces nouveautés, aux changements de postes… Quand ça marche, comme en Ligue 1, les mecs adhèrent. Mais dès que tu joues une équipe un peu carrée, c’est fini, tu te fracasses. Surtout que cette réflexion est toujours accompagnée de ‘je n’ai pas besoin d’avoir des stars parce que mon collectif sera meilleur que les individualités», a ajouté Riolo

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