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Julian Alvarez avoue la vérité : «Griezmann m’a…»

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L’été dernier, Julian Alvarez a tourné la page Manchester City pour s’engager avec l’Atlético Madrid, à la recherche de davantage de temps de jeu. Ce mardi, dans un entretien accordé au journal AS, l’attaquant argentin est revenu sur les coulisses de son transfert, révélant un rôle inattendu joué par Antoine Griezmann.

«C’est lui qui m’a écrit… Peut-être missionné par Cholo (Diego Simeone, l’entraîneur, ndlr). Recevoir des messages d’une des légendes du club, l’une des personnes les plus importantes, est évidemment une affaire sérieuse pour un joueur. Il disait : ‘Viens, viens avec nous. Ils vont bien te traiter. Tu vas passer un bon moment. Tu vas tomber amoureux des fans…’ Et toutes ces sortes de choses s’additionnaient pour que tout se rapproche», a raconté Alvarez.

Séduit par cet appel du cœur, le champion du monde 2022 n’a pas hésité longtemps avant de dire oui. Il a paraphé un contrat de six ans avec l’Atlético, où il a déjà signé une première saison prometteuse.

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Florent Manaudou brise le silence sur la dépression

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Florent Manaudou, icône de la natation française, a livré un témoignage bouleversant dans le documentaire «Santé mentale, briser le tabou», diffusé mardi sur M6. Le champion olympique y révèle avoir sombré dans une dépression après les Jeux de Paris, malgré les honneurs et les médailles.

«J’ai eu la chance d’être le premier porteur de la flamme, d’être porte-drapeau, j’ai eu des médailles donc beaucoup d’émotions, beaucoup d’intensité et d’un coup, plus rien. J’ai eu l’impression d’être lâché dans le vide, sans repères. Je n’avais pas du but, en fait. J’accepte d’en parler et ça me fait même du bien d’en parler. C’est un peu comme une thérapie d’ailleurs, parce que je me sens mieux qu’il y a quelques semaines et quelques mois. Mais oui, je suis en dépression. Les gens me parlent des jeux olympiques, qui étaient une parenthèse enchantée, dorée, joyeuse. Mais ça a eu une fin et la fin a engendré une dépression. Du coup quand maintenant on m’en reparle, ça me rappelle surtout que ça m’a mis mal après, donc je m’isole. Je n’aime pas trop qu’on me voit quand je ne suis pas bien», confie-t-il, évoquant une perte de sens brutale après une période d’intense émotion.

Touchée par ce témoignage, sa sœur Laure Manaudou a partagé un message de soutien sur Instagram.

«Quel beau reportage hier soir sur M6 sur la santé mentale. Prenez soin de vous, que ça soit psychologue, préparateur mental, coach en développement personnel, soyez accompagné même si tout va bien. Ça nous aide à évoluer» a-t-elle lâché.

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PSG : Jérôme Rothen vole au secours de Kylian Mbappé

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C’est un cruel scénario pour Kylian Mbappé. Pour sa première saison sous les couleurs du Real Madrid, l’attaquant tricolore ne disputera pas la finale de la Ligue des Champions. Éliminé en quarts de finale par Arsenal, le Bondynois a assisté, impuissant, à l’exploit de son ancien club : le PSG a renversé ces mêmes Gunners (2-1) pour s’offrir une place en finale.

Sur les réseaux sociaux, les supporters parisiens n’ont pas manqué l’occasion de troller leur ancienne idole. Certains ont même ressorti une déclaration de mars 2023, dans laquelle Mbappé affirmait : «Si je liais mon avenir à la Ligue des champions, et je ne manque pas de respect au club, je serais parti très loin !» Une petite phrase devenue virale, détournée à l’envi depuis la qualification parisienne.

Mais tout le monde ne partage pas cet humour grinçant. Jérôme Rothen, ancien joueur du PSG et consultant sur RMC, est monté au créneau pour défendre le meilleur buteur de l’histoire du club.

«Je suis très critique sur Mbappé sur d’autres choses, mais il ne faut pas oublier ce qu’il a donné à Paris pendant sept ans, c’est beaucoup sur une carrière. C’est quasiment un tiers, il a marqué l’histoire du club, il est le meilleur buteur de l’histoire du club. Alors oui, il a fauté en termes de communication et même en termes de comportement surtout l’année dernière, je pense qu’il a trahi beaucoup de Parisiens, qui aimaient voir Kylian Mbappé jouer au PSG. Mais après, se réjouir du fait qu’il est parti et que le PSG gagne, moi je n’y crois pas. Kylian reste un grand joueur, et que vu comment ça s’est passé collectivement pour Paris avec un Luis Enrique qui connaît parfaitement ses joueurs, si vous lui rajoutez un Kylian Mbappé dans l’effectif, je suis sûr que le PSG serait aussi fort, voire plus fort», a martelé Rothen dans Les Grandes Gueules du Sport.

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Antonio Cassano avoue : «J’ai été le premier à attaquer Sérgio Conceição, mais maintenant…»

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L’ancienne grande gueule du football italien, Antonio Cassano, connu pour ses déclarations à l’emporte-pièce et ses critiques virulentes, a surpris cette semaine en prenant la défense de l’entraîneur portugais Sérgio Conceição, actuellement à la tête de l’AC Milan. Une volte-face inattendue, révélée dans le dernier épisode du podcast Viva el Futbol, diffusé mardi soir.

Cassano, qui n’avait jusqu’ici jamais mâché ses mots à l’égard de l’ex-coach du FC Porto, a avoué avoir radicalement changé d’avis sur le technicien lusitanien.

«Je l’apprécie beaucoup depuis qu’il a changé le système de jeu. Même si ce système est une perte de temps, il a eu le courage de prendre des décisions difficiles», a-t-il déclaré.

L’Italien a notamment salué la fermeté de Conceição face aux critiques médiatiques : «J’apprécie qu’il s’adresse directement aux journalistes qui pointent souvent du doigt son remplaçant. Étrangement, le nom d’Allegri revient sans cesse. Ils n’ont aucun respect pour Conceição», a-t-il fustigé.

Ce soutien inattendu intervient dans un contexte délicat pour le coach portugais. Arrivé dans un AC Milan en crise, Sergio Conceição a pourtant réussi à remporter la Supercoupe dès ses premiers mois et à atteindre la finale de la Coupe d’Italie.

Des résultats qui, selon Cassano, devraient suffire à lui accorder plus de temps et de crédit.

«Celui qui travaille devrait être libre de travailler. J’ai été le premier à l’attaquer, mais maintenant il a gagné sa place en finale de la Coupe d’Italie et commence à redresser l’équipe. Pourquoi ne lui laisserait-on pas le temps de repartir de zéro ? Il est arrivé à un moment difficile pour le club, il a gagné d’emblée [en remportant la Supercoupe], puis s’est retrouvé en difficulté», a-t-il insisté.

Plus surprenant encore, Cassano a reconnu les mérites de Conceição dans la gestion individuelle de certains joueur :

«Il a fait preuve de courage et de qualités pour renverser la situation. Il a ensuite réussi à retrouver Jovic, qui est l’attaquant le plus fort du Milan d’un point de vue technique», avant de pointer du doigt les limites de l’effectif milanais :

«Les Rossoneri n’ont pas une équipe de joueurs phénoménaux. Il y a Pulisic, Reijnders et Maignan, et les autres sont en difficulté. Certains ont réalisé de grandes choses, comme Leão, qui a réalisé un bon match sur cinq, et Theo, qui a été très mauvais cette année.», a-t-il ajouté.

En guise de conclusion, l’ancien international italien, passé par l’AC Milan, la Roma et le Real Madrid, a tenu à marteler son nouveau point de vue

«J’ai été le premier à critiquer Conceição, mais je pense maintenant qu’il mérite une nouvelle chance de repartir de zéro», a-t-il conclu.

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Thierry Henry : «Le mieux, c’est que le Real Madrid arrive maintenant…»

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Le match opposant l’Inter Milan au FC Barcelone hier soir au stade Giuseppe Meazza n’était pas un simple quart de finale de Ligue des champions. Il s’agissait d’un choc palpitant, riche en intensité, émotions et rebondissements. De nombreux grands noms du ballon rond ont salué la prestation des deux équipes, et parmi eux, un certain Thierry Henry n’a pas manqué de partager son ressenti avec passion.

Présent en plateau pour l’émission «Sport Golazo» diffusée sur CBS, l’ancien attaquant international français s’est exprimé avec une sincérité rare.

Il a tout d’abord tenu à remercier les deux clubs pour leur prestation : «Ces deux dernières années, je m’ennuie à regarder du football. Pour être honnête, c’est ce que je ressens. Merci à l’Inter et merci à Barcelone d’avoir ramené ce spectacle.», a-t-il déclaré.

Des mots forts, presque déroutants venant d’un homme qui a tout connu dans ce sport : gloire, drames, titres, désillusions. Mais hier soir, quelque chose s’est ravivé. Une flamme, une émotion.

Henry a retrouvé ce frisson que seul le très haut niveau peut offrir. Pourtant, Barcelone est tombé. Battu par une Inter Milan implacable, le club catalan a vu son parcours européen prendre fin brutalement.

Mais pour l’ancien Blaugrana, cette défaite ne doit pas s’éterniser. Il voit dans le Clásico à venir une chance unique pour les hommes de Hansi Flick de rebondir.

«La meilleure chose que le Barça puisse faire en ce moment, c’est de jouer contre Madrid. C’est le match qu’on a toujours envie de jouer, et ça permet de ne pas rester bloqué dans ce sentiment trop longtemps. C’est jouer contre le Real Madrid. C’est le match qu’on veut, parce que la ville nous remet dans le bain, la situation en Liga nous remet dans le bain. C’est le Clásico.», a-t-il poursuivi.

Il insiste sur l’importance de cette rencontre, non seulement pour l’aspect sportif, mais aussi pour l’orgueil et le mental des joueurs.

«On verra tout de suite s’ils sont bons ou non. Ce sont quatre points. On peut presque y parvenir en gagnant là-bas, surtout contre son rival de toujours, et oublier l’élimination en Ligue des champions. On se réveille et on se demande si c’est vraiment arrivé. Vous savez, quand on se réveille et qu’on perd un match comme ça – je le sais, car j’ai vécu cette situation plusieurs fois – on se dit : « Est-ce que c’est vraiment arrivé ? Est-ce que j’en ai rêvé ? Ou plutôt, ce n’était pas un rêve, c’était un cauchemar. » C’est très difficile.», a-t-il ajouté.

Mais derrière l’analyse du commentateur se cache aussi l’homme blessé, le compétiteur marqué par des cicatrices profondes. Henry évoque avec pudeur ces défaites qui hantent encore ses nuits.

«On ne dort pas. Je ne sais pas s’ils dormiront ce soir. Même quand on gagne, on ne dort pas, parce qu’on est trop excité. Mais quand on perd… Je n’ai plus jamais revu la finale de la Ligue des champions que j’ai perdue contre Barcelone (avec Arsenal en 2006), ni la finale de la Coupe du monde que j’ai perdue contre l’Italie . Ce sont des épreuves difficiles qui finissent par vous rattraper, mais il faut savoir y faire face», a-t-il conclu.

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