Le conflit familial opposant Wanda Nara et Mauro Icardi vient de franchir un nouveau seuil de tension. Cette fois, c’est la présence de China Suarez, actuelle compagne du footballeur, qui cristallise les crispations. Bien que le tribunal ait statué en faveur d’Icardi, lui accordant la garde de ses deux filles du 27 juin au 4 juillet, Wanda aurait tenté, en vain, de restreindre les droits accordés au père, notamment concernant la présence de la comédienne argentine.
Une mesure claire… mais contestée sur le terrain
La décision judiciaire était pourtant sans ambiguïté : Mauro Icardi pouvait passer sept jours complets avec ses filles, en présence éventuelle de sa compagne et des enfants de cette dernière.
Mais à son arrivée au Château Libertador pour récupérer les enfants, l’attaquant a été confronté à une opposition frontale.
Wanda Nara aurait catégoriquement refusé de lui remettre les mineures, déclenchant une longue altercation qui a nécessité l’intervention de la police et attiré une attention médiatique importante.
Ce n’est qu’après plusieurs heures de tension qu’Icardi a pu repartir avec ses filles, vers 21 heures, dans une atmosphère lourde et électrique.
Un accord proposé… sans valeur légale
Selon les révélations d’Angie Balbiani dans l’émission Puro Show, Wanda aurait tenté une dernière manœuvre pour limiter l’influence de China Suarez.
Quelques minutes avant le départ des enfants, elle aurait proposé à Mauro un accord écrit : «Signons un document stipulant qu’Eugenia Suárez ne verra pas les filles de Wanda pendant ces sept jours.»
Mais cette initiative s’est heurtée à un mur juridique. «Cette demande est invalide, car le juge avait déjà statué que Mauro pouvait passer ces sept jours avec ses filles comme il l’entendait», a précisé Balbiani.
En clair, Wanda ne pouvait en aucun cas imposer une restriction sur une tierce personne alors que la garde temporaire était confiée au père.
Une posture risquée pour Wanda Nara
Au-delà du refus légal, cette tentative pourrait porter préjudice à Wanda Nara sur le plan judiciaire. Toujours selon Balbiani, cette démarche a mis en lumière les véritables motivations de l’animatrice.
«En réalité, Wanda s’est vendue. Une fois cette négociation entamée, le parquet et le Défenseur des enfants ont compris que le problème n’était pas que les filles refusaient d’aller avec leur père, mais que Wanda ne voulait pas que China Suárez les voie», a-t-elle expliqué.