L’actrice Eugenia «China» Suarez, désormais en couple avec Mauro Icardi, est au cœur d’un grave épisode de cyberharcèlement. Depuis plusieurs jours, la comédienne argentine reçoit des menaces inquiétantes sur Instagram et X, allant jusqu’à évoquer le recours à un tueur à gages.
Face à l’escalade de la violence, son avocat Agustín Rodriguez a pris la parole dans l’émission Puro Show, dressant un tableau alarmant de la situation.
«C’est une situation sans précédent pour elle. Recevoir des menaces de mort sur Instagram et X ne lui était jamais arrivé. Tant de violence la met dans une position de vulnérabilité extrême. Elle est effrayée et angoissée», a confié Me Rodriguez.
Une plainte déposée, l’enquête est ouverte
Une plainte officielle a été déposée auprès du parquet de la ville de Buenos Aires, et une enquête pour cybercriminalité a été ouverte. L’objectif : identifier les auteurs de ces menaces qui ont plongé l’actrice dans une profonde insécurité.
«Nous avons demandé des mesures de protection immédiates, dont la surveillance policière et un bouton d’alerte. China a peur de sortir. Elle ne se sent plus en sécurité, même avec ses enfants. J’espère qu’il ne s’agit que de quelques déséquilibrés, mais il faut agir vite», a insisté son avocat.
Wanda Nara indirectement visée
Dans cette affaire, le nom de Wanda Nara — ex-femme de Mauro Icardi — refait surface. Selon Me Rodriguez, certaines déclarations publiques de Wanda auraient pu alimenter la haine contre China.
«Nous évaluons la possibilité de prendre des mesures juridiques contre Mme Nara. Ses récentes déclarations, bien qu’ambiguës, semblaient cibler directement China. Nous voulons rester prudents, mais rien n’est exclu à ce stade», a précisé l’avocat.
Une défense ferme et sans provocation
Enfin, Me Rodriguez a tenu à clarifier une chose : China Suarez n’a jamais tenu de propos hostiles à l’encontre de Wanda Nara.
«Il n’y a aucun acte de violence venant d’Eugenia Suárez. Mon rôle est juridique, je ne commente ni les rumeurs ni les sentiments personnels. Je suis ici pour la loi, pas pour alimenter les ragots», a-t-il conclu avec fermeté.