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L’accord historique Zidane-Real Madrid raconté comme jamais auparavant

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L’été 2001 restera à jamais gravé dans l’histoire du football. Cette année-là, Zinedine Zidane, alors au sommet de son art sous le maillot de la Juventus Turin, décide de tourner une page majeure de sa carrière. Direction le Real Madrid, dans un transfert estimé à près de 80 millions d’euros, un record absolu pour l’époque. Mais derrière ce deal historique se cache une anecdote aussi savoureuse qu’improbable : un accord scellé… sur une simple serviette en papier.

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À 29 ans, Zidane est déjà une légende vivante. Champion du monde 1998, champion d’Europe 2000, maître à jouer de la Juventus, le numéro 10 français attire toutes les convoitises. Florentino Pérez, fraîchement élu président du Real Madrid, rêve alors de bâtir une équipe de Galactiques autour des plus grandes stars de la planète.

Un rendez-vous, pas un de plus
En 2022, dans un entretien accordé à L’Équipe, Zinedine Zidane est revenu sur les coulisses de ce transfert hors normes. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les négociations ont été expéditives.

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«Le premier rendez-vous avec Pérez ? Bien sûr. C’était à Monaco. La première fois où on s’est vus, tout s’est fait là. Il n’y a pas eu de deuxième ou troisième rendez-vous pour que les choses se fassent. La première a été la bonne. On s’est dit OK. Florentino Pérez est un homme qui ne plaisante pas. Quand il dit  : “On va le faire”, il le fait. J’ai même une anecdote qui me fait rire encore aujourd’hui», révèle Zinedine Zidane.

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La serviette qui a changé l’histoire

Le moment clé de cette rencontre se déroule lors d’un dîner de gala à Monaco. Zidane est invité pour recevoir un prix. Pérez est présent. Les deux hommes ne sont même pas assis côte à côte. Et pourtant, l’histoire va s’écrire là, en toute discrétion.

«On était à une grande table à Monaco pour un dîner de gala. On n’était pas l’un à côté de l’autre. J’étais invité pour recevoir un prix. Là, il me fait passer une serviette. C’était écrit à l’intérieur : “Tu veux venir ?” Et je lui ai répondu sur un bout de serviette en papier : “Yes”. Je me demande encore pourquoi je lui ai répondu en anglais ! J’aurais pu mettre “oui”, puisqu’il parle français, ou “si” en espagnol, mais j’ai mis “yes”… C’est parti de là. J’ai fait cinq ans. C’est mon chiffre. Il me suit», précise l’ancienne star de l’équipe de France.

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