Elba Marcovecchio, l’avocate de Mauro Icardi, a pris la parole concernant les tensions juridiques croissantes entre son client et Wanda Nara, notamment en ce qui concerne leur divorce, l’expulsion de Mauro de la maison familiale et les procédures liées à sa réhabilitation après une opération. Marcovecchio a exprimé son inquiétude face à l’aspect médiatique de la situation, appelant à un traitement plus sérieux et respectueux du processus, en tenant compte des enfants impliqués et des enjeux juridiques.
L’avocate a commencée par dissiper certaines rumeurs qui circulaient concernant Icardi, comme celle de son arrivée à une rencontre ivre.
Elle a confirmé que «des professionnels, dont un psychologue et un psychiatre, étaient présents et qu’aucun signe d’alcoolisme n’avait été noté lors de l’entretien.»
Elle a ajouté que son client avait suivi le processus de manière correcte et qu’aucune irrégularité n’avait été constatée.
L’affaire s’est ensuite intensifiée lorsqu’Icardi est revenu à la maison de Santa Barbara et a trouvé la porte ouverte, avec Wanda Nara présente, accompagnée de son avocat et d’autres personnes.
Marcovecchio a expliqué que Wanda avait demandé à Icardi de quitter la maison, après avoir déposé une plainte pour menaces auprès du parquet de la femme. Cela a conduit à une décision judiciaire rapide pour expulser Icardi de la propriété.
L’avocate a également révélé que «certains objets personnels d’Icardi, comme le passeport des chiens, une montre et de l’argent, manquaient après l’expulsion, et a confirmé qu’une plainte civile avait été déposée pour cet incident.»
Plus préoccupant pour Marcovecchio, c’est l’utilisation de la législation sur la violence de genre dans ce cas particulier, qu’il considère comme fausse et abusée.
Selon lui, cela nuit à la cause des vraies victimes de violence de genre, en banalisant la situation et en faussant le système judiciaire destiné à protéger les femmes qui en ont réellement besoin.
Il a exprimé sa crainte que des accusations sans fondement puissent rendre la protection des femmes vulnérables moins effective.
En ce qui concerne les déclarations de Wanda Nara dans son interview avec Susana Giménez, Marcovecchio a vivement critiqué l’animatrice et Wanda pour avoir alimenté inutilement le scandale autour de leur séparation, en particulier avec les accusations à l’encontre de China Suárez.
L’avocat a souligné que Icardi et Nara étaient déjà séparés au moment où les rumeurs sur Suarez ont émergé et a jugé inapproprié d’accuser l’actrice pour des événements qui n’avaient pas eu lieu.
Pour lui, ces déclarations étaient non seulement malheureuses, mais aussi irrespectueuses envers d’autres femmes.
