Le conflit entre Mauro Icardi et Wanda Nara semble s’intensifier chaque semaine, alors que de nouveaux épisodes juridiques surgissent et que l’affaire se transforme en une véritable guerre médiatique.
Dans une récente intervention sur l’émission Intrusos, Gonzalo Romero Victorica, l’avocat d’Icardi, a une nouvelle fois vigoureusement réfuté les accusations publiques, les qualifiant de «non authentiques».
L’avocat a aussi abordé la question de Kennys Palacios, coiffeur et ami proche de Wanda, qui a récemment témoigné en faveur de l’ex-épouse du footballeur.
Romero Victorica n’a pas hésité à rappeler que Palacios, en tant que personne proche de Wanda, avait pris parti pour la défendre.
«Il a clairement déclaré qu’il venait la défendre», a-t-il ajouté, soulignant le lien personnel qui lie ce témoin à la partie adverse.
La bataille judiciaire s’étend sur plusieurs fronts. Selon l’avocat, il y a actuellement au moins quatre procédures en cours dans la ville et la province de Buenos Aires.
«Chaque semaine, un nouveau cas apparaît», a précisé Romero Victorica, décrivant une situation en constante évolution, qui complique la tâche de la défense.
Il a ajouté que «le conflit perd sa véritable essence», une référence à la prolifération des accusations qui semblent obscurcir les faits essentiels de l’affaire.
Concernant les accusations de violence portées contre Icardi, l’avocat a formellement rejeté ces allégations, affirmant que son client n’était «pas une personne agressive».
En ce qui concerne l’évolution de l’enquête, il a précisé que jusqu’à présent, seules des mesures conservatoires avaient été prises.
En parallèle, Wanda Nara a accusé Icardi de la menacer de divulguer des informations privées, ce qui a conduit la justice à ordonner une enquête.
Icardi a ainsi été contraint de remettre son téléphone pour que les autorités puissent l’examiner.
Toutefois, l’avocat d’Icardi a révélé que le footballeur n’avait pas encore fourni les mots de passe nécessaires pour accéder à son appareil.
«Les clés des appareils mobiles n’ont pas encore été livrées», a-t-il souligné, marquant une nouvelle étape dans le bras de fer judiciaire.
L’avocat a également réfuté les accusations de violence sexiste formulées par Wanda Nara, affirmant qu’aucune preuve, même sous forme de discussions, n’avait été produite pour étayer ces accusations.
«Ces discussions sont totalement fausses», a insisté Romero Victorica, mettant en doute la véracité des informations circulant dans les médias.
Enfin, l’avocat n’a pas manqué de suggérer que de nouvelles révélations pourraient émerger dans le cadre judiciaire, tout en insistant sur le fait qu’Icardi n’avait «pas fabriqué de témoins» pour défendre sa cause.