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Le successeur de Victor Wembanyama affiche ses ambitions en NBA

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Victor Wembanyama

Le basket français brille plus que jamais en NBA. Après Victor Wembanyama en 2023, c’est Zaccharie Risacher qui a été sélectionné en première position de la Draft 2024, confirmant la montée en puissance du basketball tricolore sur la scène internationale. Désormais membre des Atlanta Hawks, le jeune prodige français s’adapte à sa nouvelle vie tout en gardant des ambitions élevées.

Être le premier choix de la Draft entraîne une pression immense, mais Risacher semble parfaitement gérer cette nouvelle dimension.

«Dans le monde du basket, je suis reconnu, j’ai cette image de first pick et tout est décuplé. Mais dans la ville, on me voit plutôt comme un joueur des Hawks à part entière. Il y a plus de proximité. Les gens me voient tous les deux jours à l’Arena, à jouer, à gagner des matches, ça crée un lien et maintenant, j’ai l’impression que cette image de first pick étranger s’est cassée. J’en suis reconnaissant : je suis fier d’avoir été le premier choix de la Draft, mais encore plus fier d’être ici.», a-t-il confié dans L’Équipe.

Un objectif clair : le titre de Rookie de l’année

Malgré son humilité, l’ailier français ne cache pas son ambition de décrocher le trophée de Rookie de l’année, tout en privilégiant les performances collectives des Hawks.

«Toujours. Chaque compétiteur qui se respecte a forcément des objectifs individuels en tête. Ce n’est pas ce à quoi je pense constamment, je suis plus tourné vers ce qu’on peut proposer collectivement chaque soir. Découvrir les play-offs, ce serait aussi incroyable, je joue pour gagner. Mais le rookie de l’année reste dans un coin de ma tête. Si j’avais l’opportunité de remporter un trophée individuel dès ma première saison, ça serait énorme», a-t-il ajouté.

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Gerard Piqué n’exclut pas un avenir présidentiel au Barça

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Trois ans après avoir mis un terme à sa carrière, Gerard Piqué continue de suivre de près l’actualité du FC Barcelone. Issu d’une famille de socios impliquée depuis des générations, l’ancien défenseur central reste profondément attaché au club catalan.

Désormais concentré sur la Kings League, qu’il dirige avec ambition, Piqué reste souvent évoqué comme un potentiel futur président du Barça.

Une perspective qu’il ne rejette pas totalement, tout en soulignant que le moment n’est pas encore venu.

«On me l’a souvent demandé mais la Kings League me demande beaucoup de temps. À court terme, non je n’ai pas en tête d’être président du Barça ou être impliqué d’une quelconque manière. Si un jour je veux me lancer là-dedans, il faut faire ça bien. Dans le futur, je ne sais pas mais je sais que j’ai toujours eu envie d’aider le club d’une manière ou d’une autre. Le club m’a tout donné et j’aimerai lui rendre cela», a-t-il confié à RMC.

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Marcus Thuram se confie : «Mon père me faisait……»

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Chez les Thuram, l’éducation ne s’est jamais faite dans la dentelle. Et si certains auraient pu en sortir meurtris, Marcus Thuram, aujourd’hui attaquant à l’Inter Milan et vice-champion du monde, y voit au contraire une immense chance. Dans un entretien récemment accordé, le fils aîné de Lilian Thuram s’est confié avec émotion et humour sur les méthodes peu conventionnelles de son père.

Lilian Thuram, connu pour son franc-parler et son engagement, a toujours su manier la moquerie et la pression psychologique pour forger le caractère de ses fils, Marcus et Khéphren.

«Quand on était petits et qu’on jouait avec papa, il nous mettait une pression psychologique très forte. Il nous charriait, il nous chambrait, il nous engueulait. C’est marrant, je viens de penser à ce truc, je n’ai jamais parlé de ça, je n’y avais même jamais réfléchi, je m’en rends compte tout juste. Mais le fait de nous faire ça, ça nous a préparés à tout ce qu’on vit maintenant», raconte Marcus.

Ce climat de tension ludique, mais intense, a façonné les deux jeunes garçons, les préparant à la dure réalité du football de haut niveau.

«J’ai la chance d’avoir cette éducation. Mon père a aussi connu cette vie, cette pression. Depuis petit, on nous a inculqué tout ça. Le fait d’être très serein, très calme, ne pas laisser des choses extérieures nous affecter», explique Marcus.

Parmi les souvenirs marquants, il raconte comment son père trichait volontairement pendant leurs jeux, non pas par esprit de compétition, mais pour enseigner une leçon.

«Par exemple, si je loupais une action, il se moquait de moi. Ou sinon, quand je jouais contre lui, il trichait, il faisait des petits trucs pour déstabiliser et pour faire comprendre qu’au final, c’est toi et toi-même. Tout ce qui se passe autour, il ne faut pas y prêter attention. Le plus important, c’est de se concentrer sur soi-même. Tu sais, ces petits trucs qu’il nous faisait, ça m’a marqué. Mon pied tremblait, mon cœur battait fort, j’étais petit», a-t-il ajouté.

Une pédagogie brute, parfois déstabilisante, mais toujours ciblée. «Mon père me chambrait, j’avais des émotions, je paniquais, il y avait tout un truc. Plus il nous faisait ça, plus on s’habituait à vivre avec ça. Quand tu es petit et que ton père te fait la misère, oui, ça te travaille. Cette éducation fait qu’aujourd’hui, Khéphren et moi, quand on entre sur le terrain, on est sereins.», a ajouté Marcus.

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Le témoignage puissant sur Lionel Messi à Miami : «Il a fait de nous…»

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Depuis l’arrivée de Lionel Messi à l’Inter Miami, le club floridien a basculé dans une autre dimension. Un an après ce transfert historique, Josef Martínez, ex-coéquipier de l’Argentin, est revenu sur les coulisses de cette révolution dans le podcast La Vinotinto.

«Lorsque la signature de Messi a été officialisée, nous sommes passés de la pire équipe du Real Madrid en MLS. Avant le premier entraînement de Messi, même les gens sur Instagram ne nous connaissaient pas, même les journalistes du club n’étaient pas présents», a confié l’international vénézuélien.

Martínez se souvient du premier entraînement de Messi : «Dehors, il y avait mille journalistes, alors qu’avant nous n’en avions vu qu’un, et il y avait 50 000 personnes au premier entraînement. La situation a changé du jour au lendemain.»

Mais le moment le plus marquant pour lui reste les débuts de la Pulga : «Le jour qui m’a le plus impressionné, ce sont les débuts, quand Busquets, Messi et moi sommes entrés en jeu, ce fameux but sur coup franc. Derek Jeter était là, Serena Williams, et même LeBron James. Si ces gens sont allés le voir, imaginez à quel point il est fantastique. Même ma mère ne voulait pas aller aux matchs avant, et à l’époque, tout le monde voulait y aller», a-t-il conclu.

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Francesco Totti réagit à la polémique sur son voyage à Moscou

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Francesco Totti, figure emblématique de l’AS Roma et champion du monde 2006, était récemment l’invité de Fabio Fazio dans l’émission Che Tempo Che Fa, diffusée sur la chaîne italienne NOVE. Dans un entretien sans détour, l’ancien attaquant a évoqué plusieurs aspects de sa nouvelle vie, mais aussi une récente polémique qui a fait couler beaucoup d’encre : son voyage à Moscou.

Le 8 avril dernier, Totti était l’invité d’honneur de l’International RB Award, une cérémonie organisée par un important site russe spécialisé dans le sport et les paris.

Cette participation a provoqué de vives réactions en Italie et ailleurs, compte tenu du contexte géopolitique actuel. Face aux critiques, l’ex-capitaine de la Roma a tenu à réaffirmer sa position.

«J’y suis allé parce qu’ils m’y ont invité. C’était un événement sportif et j’y suis allé. Où est le mal ? Pourquoi pas ?», a-t-il répondu, visiblement agacé par l’ampleur de la controverse.

Avec son franc-parler habituel, Totti a rappelé qu’il n’avait rien fait d’exceptionnel.

«Je suis allé ailleurs aussi, pas seulement là-bas. Le football me manque beaucoup, la passion ne s’éteint jamais. Maintenant, je voyage dans le monde, mais je continue à jouer, mais au football à cinq. Maintenant, je voyage à travers le monde. Est-ce que j’aide ma femme à la maison ? Oui, je fais les courses et je range les affaires en rentrant. Bref, soit je voyage à travers le monde, soit je fais les courses, hein. Je suis une personne normale comme tout le monde», a-t-il ajouté.

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