Amine Gouiri, l’attaquant de l’OM, a marqué un but sensationnel qui lui a valu une distinction aux Trophées UNFP. Après cette réussite mémorable, l’international français s’est confié aux médias, partageant sa satisfaction personnelle et sa reconnaissance envers ses coéquipiers.

«Ce but était un moment spécial, parce que c’est la première fois que j’en marque un comme ça, je pense que c’est le plus beau de ma carrière. En plus, au Vélodrome devant les supporters, c’est un moment magique», a-t-il déclaré.

Un exploit qui s’ajoute à une belle saison pour l’OGC Nice, désormais qualifié pour la prochaine édition de la Ligue des champions.

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Gouiri a également exprimé son enthousiasme pour cette qualification historique, soulignant l’accomplissement collectif qu’elle représente.

«On savait que ça allait être difficile. On était 2e, on avait notre destin entre nos mains. En gagnant les deux derniers matchs, on était assuré d’être en Ligue des Champions. Hier, on a gagné, mais les résultats des concurrents ont facilité notre qualification. On est très contents, mais il reste un match pour finir d’accrocher cette 2e place», a-t-il ajouté, tout en se projetant déjà vers de nouveaux défis au plus haut niveau européen.

Sacré meilleur gardien de Ligue 1 devant des références comme Gianluigi Donnarumma, Lucas Chevalier, portier du LOSC, a tenu à saluer le parcours de son homologue du PSG tout en revenant sur sa propre régularité depuis le début de sa carrière.

Interrogé sur son impressionnante constance, le jeune gardien a déclaré : «C’est vrai que je n’ai pas eu de creux. Je n’ai pas eu de périodes où j’enchaînais les erreurs. Je ne sais pas si c’est une caractéristique d’un gardien en particulier. Il y a des gardiens qui vont avoir plus tendance à faire des erreurs que d’autres. Je ne sais pas si c’est des profils ciblés, mais est-ce qu’il faut se préparer ? Non parce qu’il ne faut pas se préparer à faire des erreurs, mais il faut juste avoir conscience que ça peut arriver. Et ça arrivera aussi surtout aujourd’hui, Donnarumma joue dans un club comme le Paris Saint-Germain qui a beaucoup plus d’impact. Un club où les médias ne font aucun cadeau, peut-être qu’à Lille, vous en faites un peu plus.»

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Chevalier souligne également la pression médiatique qui entoure Donnarumma à Paris.

«Peut-être que si je fais la même (erreur), si je rate mon intervention de la même manière à Lille et Donnarumma à Paris, ça a un peu plus d’impact (pour lui). Je pense que ça aussi ça joue, mais j’ai toujours su garder le cap, cela fait quatre ans que je joue en professionnel, on va dire que je suis sur mes appuis. J’espère que ça n’arrivera pas trop souvent parce que pour un gardien de haut niveau, il ne faut pas que ça arrive trop souvent», a-t-il ajouté.

Fraîchement couronné Meilleur Joueur de la saison aux Trophées UNFP, Ousmane Dembélé a pris la parole en conférence de presse avec une concentration palpable à l’approche de la finale de la Ligue des champions contre l’Inter Milan. S’il s’est montré honoré par la distinction individuelle, l’ailier du Paris Saint-Germain a rapidement mis l’accent sur l’importance du collectif et du défi historique qui attend son équipe.

«C’est une finale. Dans l’effectif du Paris Saint-Germain, il y en a que 2 ou 3 qui ont joué une finale de Ligue des champions, c’est un groupe très jeune, mais on a dit, que l’on avait faim, on a envie d’écrire l’histoire.», a expliqué Dembélé.

Le PSG se prépare à un moment charnière, et l’attaquant français a évoqué l’importance d’un tel défi pour le club, le président et tous ceux qui ont œuvré pour amener le PSG au sommet.

«Je pense que le Paris Saint-Germain, c’est le moment pour gagner la Ligue des champions dans le club, le président, tout ce qu’ils ont fait pour le Paris Saint-Germain, je pense qu’ils méritent. Et c’est 95 minutes pour moi, 120 minutes pour pouvoir amener ce trophée à Paris.», a-t-il ajouté, insistant sur la dimension collective de l’enjeu.

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Dembélé se projette déjà dans cette finale, consciente de l’importance de ces 95, voire 120 minutes cruciales pour décrocher le sacre européen.

«C’est une finale, tout peut se passer, mais comme nous l’a répété le coach, quoi qu’il arrive, peu importe l’adversaire, on ne va pas changer notre façon de jouer. On va faire ce qu’on fait de mieux et puis on va vraiment essayer d’être très agressifs.», a-t-il souligné.

Enfin, il a confié sa grande détermination, prêt à tout donner pour offrir ce trophée à Paris.

«Je ne sais pas s’il y a une équipe qui a plus faim que nous pour amener à ce trophée à Paris, mais on va tout donner le 31», a-t-il conclu, prêt à marquer l’histoire du club avec une performance exceptionnelle.

Amine Gouiri, récompensé du trophée du plus beau but de la saison, a exprimé son émotion en conférence de presse, soulignant le rôle de ses coéquipiers dans la réussite de cette action. L’international algérien est également revenu sur l’officialisation de la qualification de l’OM en Ligue des Champions et a partagé son ressenti sur le stage à Rome.

«Un club comme Marseille, ça va toujours faire parler. Mais non, franchement, on est tous soudés. On est comme une famille. Le stage à Rome, je pense qu’il a encore plus ressoudé les liens. On a beaucoup travaillé, énormément travaillé à l’entraînement. Et je pense que ça, ça se ressent sur le terrain. Mais franchement, on s’entend bien à Marseille, on est là les uns pour les autres. On est comme une famille, comme je dis. Et je pense qu’on peut le voir sur le terrain et au niveau du classement aussi. Le stage à Rome nous a fait du bien. Il nous a sorti de la routine de La Commanderie.» a-t-il confié, mettant en avant la cohésion de l’équipe.

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Avec la qualification pour la Ligue des Champions en poche, l’OM peut maintenant se concentrer sur la fin de saison.

«Les prochaines semaines, on est qualifié en Ligue des Champions déjà. Donc ça, c’est un soulagement. Et il nous reste un mois, je vous le dis, pour accrocher à la deuxième place. On a deux semaines avec nos sélections puis les vacances» a conclu Gouiri, déterminé à poursuivre sur cette dynamique.