Jelena Djokovic, bien que discrète dans la sphère médiatique pendant de nombreuses années, joue un rôle essentiel dans le succès de son mari, Novak Djokovic. Sa détermination à préserver le cadre familial et le bonheur de son époux est au cœur de son engagement. Récemment, elle s’est exprimée sur leur vie ensemble, révélant l’impact profond qu’elle a sur la carrière de son champion.
Pour Novak, ces derniers mois ont été marqués par des réalisations inégalées, faisant de lui le recordman du nombre de victoires en Grand Chelem et, récemment, le médaillé d’or olympique. Une victoire qui a ému Jelena aux larmes.
«Vous ne me croirez pas si je vous dis ce que j’ai ressenti. J’ai pleuré de bonheur et pensé à ce qui allait suivre. L’or olympique était un objectif très difficile à atteindre, il lui a fallu beaucoup de temps… Je sais qu’il ne s’arrêtera pas là. C’est un géant en termes de capacités mentales et spirituelles. C’est un honneur de vivre avec lui et, d’une certaine manière, d’être inspiré par lui», a-t-elle déclaré.
Novak Djokovic, quant à lui, n’a jamais caché l’importance cruciale de son cocon familial. Sa relation avec Jelena remonte au lycée, se poursuivant par des fiançailles en 2013, un mariage en 2014, et deux enfants.
Au fil des années, Jelena a progressivement pris une place plus visible aux côtés de son mari, tout en demeurant l’épine dorsale de son soutien. Elle a récemment partagé ses sentiments en regardant les matchs de son époux.
«Regarder ses matchs me rend toujours nerveuse. Je suis son épouse, donc je m’occupe aussi de sa nervosité… Quand on rentre à la maison, il vient chercher le carburant dont il a besoin. Et cette nervosité existe pour lui. C’est le lien. J’en ai hérité de lui», a-t-elle avoué avec un sourire gêné.
La complicité entre Novak et Jelena ne se limite pas à leur vie professionnelle. Ils partagent également des valeurs éducatives fortes pour leurs enfants.
Novak a récemment mentionné un sujet de discorde dans leur foyer : l’absence de téléphones portables pour leurs enfants.
«Mes enfants n’ont toujours pas de téléphone portable et avec ma femme, on se dispute souvent à ce propos. Ils se plaignent en disant, ‘Tout le monde en a un à l’école, sauf nous.’ Ce n’est pas facile de dire non, mais ça se répercute à d’autres niveaux», a-t-il expliqué.