Suivez-nous

Célébrités

Les confidences touchantes de Lamine Yamal sur sa mère et sa famille

Publié

le

À seulement 18 ans, Lamine Yamal n’est pas seulement la grande promesse du FC Barcelone et de la Roja. Derrière le phénomène précoce, il y a une histoire de famille touchante, marquée par les sacrifices, l’immigration et une profonde reconnaissance. Dans une longue interview accordée ce jeudi à José Ramón de la Morena, dans le podcast Resonancia de Corazón, le jeune crack a ouvert son cœur comme rarement.

Une maison pour sa mère

L’un des passages les plus émouvants de l’entretien concerne l’achat de la première maison pour sa mère, un geste fort de gratitude. «J’ai demandé à ma mère où était la maison et je lui ai dit : “Lequel veux-tu ?” Elle avait tout ce qu’elle désirait. C’est ma reine, la personne la plus précieuse pour moi, et je veux juste son bonheur. Je vois mon petit frère profiter de l’enfance que j’ai toujours rêvé d’avoir, et cela me rend plus heureux que tout. Je vois mon père en paix chez lui, et ma grand-mère sereine chez elle. C’est tout ce qu’un enfant peut souhaiter.», a-t-il déclaré.

Le parcours d’une famille courageuse

Le prodige catalan est également revenu sur l’histoire de ses origines, marquées par l’immigration et les sacrifices de ses aînés.

«L’arrivée de ma famille en Espagne ? La première à arriver a été ma grand-mère, qui s’est faufilée dans un bus depuis le Maroc et est arrivée à Mataró. Elle a commencé à travailler trois fois par jour pour que mon père puisse venir, car il était resté au Maroc. Quand ma grand-mère a gagné un peu d’argent, elle a payé une femme pour qu’elle amène mon père et sa sœur, qui avaient trois ans. Ma mère est venue de Guinée avec ma grand-mère et est arrivée à Barcelone. Mes parents se sont rencontrés ici, alors nous avons commencé à vivre dans une résidence pour jeunes parents, qui était comme un lieu communautaire, et c’était bien. Ensuite, nous avons toujours vécu… Histoire typique : un ami a une maison et te donne une chambre jusqu’à ce que mes parents se séparent. Puis il est allé vivre chez ma grand-mère et ma mère avec moi à Granollers. J’allais à l’école, je revenais, j’allais à l’entraînement et je voyais ma mère le soir quand elle rentrait du travail.», raconte-t-il avec émotion.

Continuer à lire
Cliquer pour commenter

Repondre

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *