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Les confidences touchantes d’un ex-coéquipier sur Cristiano Ronaldo

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À 40 ans passés, Cristiano Ronaldo continue d’écrire l’histoire. Auteur de son 951ᵉ but en carrière lors de la victoire éclatante d’Al-Nassr (5-1) face à Al-Fateh, le Portugais semble défier les lois du temps. Et pour ceux qui ont assisté à ses débuts, comme son ancien coéquipier Danny Simpson, l’évolution du quintuple Ballon d’Or relève presque du surnaturel.

Recruté à l’été 2003 par Sir Alex Ferguson en provenance du Sporting CP pour environ 15 millions d’euros, Cristiano Ronaldo n’était encore qu’un diamant à polir. Simpson, alors jeune espoir du centre de formation mancunien, se souvient d’un adolescent débordant de talent, mais encore loin du monstre d’efficacité qu’il est devenu.

«Non, pour être honnête ! Je ne le croirais pas si on me disait qu’il a plus de 40 ans et qu’il est toujours aussi fort, pas seulement en Arabie saoudite, mais aussi avec l’équipe nationale. Il semble toujours aussi en forme. D’accord, il a changé de jeu, mais aurais-je pu imaginer qu’un jour, à cet âge, il serait aussi rusé ? Non.», confie Simpson à Goal.

Le défenseur anglais se rappelle d’un Ronaldo encore brouillon, souvent repris par les cadres du vestiaire. «À son arrivée, je me souviens de moments où les garçons le criaient dessus sans arrêt. Gary Neville, etc. Il ne savait pas quand lâcher le ballon, il ne savait pas quand centrer… Il n’avait pas tout ça. Il avait toutes ces qualités techniques, mais parfois, il suffisait juste de tout mettre en place et de prendre la bonne décision au bon moment.»

La métamorphose physique et mentale

Le tournant s’est produit un été, lorsque Ronaldo est revenu de vacances… transformé. «Je pense que c’est pour ça qu’être entouré de joueurs comme [Paul] Scholes ou [Ryan] Giggs était si bon. À leurs côtés, il a appris d’eux. Un été, à son retour des vacances, il a été complètement transformé. Il était tout simplement énorme ! Je me suis demandé : « Qu’est-ce que tu as mangé ? » Je pense qu’il a compris, parce que c’est son truc : « Je vais me faire mal, je vais me faire bousculer ». Alors il a travaillé tous les jours à la salle, ses chevilles, son équilibre… Il est revenu plus fort.»

Une hygiène de vie d’exception

Simpson insiste : rien n’a jamais été laissé au hasard. «On ne peut pas le sous-estimer ! Il fait tout bien, à commencer par son alimentation quand il était jeune. Il avait un chef privé, et on s’est dit : « Un chef privé ? Pourquoi un chef privé ? » Il a commencé à faire tout ça pour prendre soin de lui, comme des habitudes de sommeil, des bains de glace pour récupérer… Et il continue de le faire aujourd’hui.»

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