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Man United : Jamie Carragher allume Ruben Amorim

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Jamie Carragher

Jamie Carragher n’a pas mâché ses mots à l’égard de Ruben Amorim, vivement critiqué pour ses débuts compliqués à la tête de Manchester United. Dans sa chronique pour The Telegraph, l’ancien capitaine de Liverpool a fustigé les performances des Red Devils sous la direction du technicien portugais.

«C’est la pire équipe de Manchester United que j’ai jamais vue», a lâché Carragher d’entrée. «Le moins qu’on aurait pu espérer après l’arrivée d’Amorim, c’est qu’ils semblent mieux organisés que sous Ten Hag, mais ce n’est même pas le cas. Les joueurs n’ont pas bien réagi à ses méthodes.»

L’ancien défenseur des Reds a poursuivi en pointant l’absence de progrès individuels.

«Y a-t-il un seul joueur qui semble meilleur que sous Ten Hag ? C’est couler ou nager dans l’un des plus grands clubs du monde, et Amorim se noie actuellement dans les tsunamis de la médiocrité.», a-t-il ajouté.

Enfin, Carragher estime que l’ancien coach du Sporting CP doit rapidement prouver sa valeur.

«Pour l’instant, les supporters de Manchester United ne gardent espoir qu’en se basant sur son passé au Portugal. Mais ce sont ces mêmes fans et les dirigeants du club dont Amorim doit vraiment se soucier.», a-t-il conclu..

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«Un but stupide» : De Zerbi agacé par l’erreur de Rulli mais pas critique «sur son fils»

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L’entraîneur de l’OM a défendu son gardien de but, coupable d’une erreur lors du match nul face au LOSC (1-1) dimanche soir lors de la 32e journée de Ligue 1.

Garder le cap malgré les critiques. L’entraîneur de Marseille Roberto De Zerbi a déploré le «but stupide» provoqué par une bévue de son gardien Géronimo Rulli qui a précipité le match nul à Lille (1-1) dimanche soir lors de la 32e journée de Ligue 1. Tout en défendant son portier.

Lille est parvenu à égaliser en profitant d’une relance complètement ratée du portier marseillais, qui a abouti au but de Matias Fernandez-Pardo (74e), près d’un quart d’heure après l’ouverture du score d’Amine Gouiri (57e).

De Zerbi défend Rulli malgré tout

«Ça m’attriste parce que c’est un but bête, a affirmé l’Italien. Geoffrey Kondogbia était libre. Si Géronimo Rulli lui passe le ballon on ne prend pas de risque mais voilà…» Mais il a tenu à défendre son gardien de but malgré tout.

«Je crois qu’on a fait un grand match, on méritait de gagner. Lille n’a pas frappé au but mais on prend un mauvais but comme ça… Mais la responsabilité, ce n’est pas celle de Rulli, qui est l’un de nos joueurs les plus importants. On se bat pour terminer en Ligue des champions et il est très important pour nous cette saison, il faut lui en donner crédit. On est fiers de jouer avec Rulli dans les buts. Rulli c’est mon fils. Aujourd’hui je suis même plus fier que lors d’autres matchs. Cela peut arriver. On a montré beaucoup de personnalité, de la qualité dans le jeu et chez nos joueurs. Si on est deuxièmes plus ou moins depuis le début de la saison, c’est parce qu’on a de la personnalité. Contre Lille, on a joué avec personnalité, courage, attitude.»

Genesio a un autre avis sur l’erreur de Rulli

Cet avis n’était pas partagé par son homologue lillois Bruno Genesio: «Un but chanceux, ça n’existe pas dans le foot. On a fait un bon pressing, on a été récompensés.»

L’entraîneur nordiste s’est félicité de ce match nul obtenu après avoir été mené au score: «C’est même plutôt un bon point de pris en étant capable de revenir face à Marseille même si on aurait aimé faire mieux.»

Seul regret du Lyonnais, la première période un peu trop timide des siens: «On a été très sérieux défensivement, bien en place mais il nous a manqué l’étincelle, la flamme, la folie lorsqu’on a récupéré le ballon. On n’a quasiment pas eu de tirs ni de situations. J’aurais aimé qu’on prenne davantage de risques, c’est peut-être l’enjeu qui nous a inhibés.»

Interrogé sur les bienfaits d’être parti à deux reprises à Rome pour préparer la réception de Brest (27 avril) et ce déplacement à Lille, Roberto De Zerbi a affirmé «qu’avant, le climat était complètement à l’opposé». «L’atmosphère entre nous dans le vestiaire était différente. Cela nous a fait du bien», a-t-il poursuivi.

Il n’a pas voulu préciser si le club allait partir une troisième fois dans la capitale italienne cette semaine: «Je ne sais pas si on retournera à Rome, il faut qu’on le décide avec les joueurs, avec le club.»

Avec AFP

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Manchester United : Solskjae garde le lien avec trois joueurs

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Près de quatre ans après son départ de Manchester United, Ole Gunnar Solskjaer n’a pas totalement coupé les ponts avec le vestiaire mancunien. Dans une interview accordée à la BBC, le technicien norvégien, désormais entraîneur de Besiktas, a confié entretenir une relation régulière avec trois anciens protégés : Harry Maguire, Bruno Fernandes et Victor Lindelof.

«Pour moi, Harry a toujours été un leader et un combattant. Je n’ai jamais douté, lorsque nous l’avons recruté et que nous l’avons vu franchir la porte, qu’il serait notre capitaine», a-t-il affirmé.

«Il y a un autre capitaine, Bruno. Ce sont deux personnes formidables et je suis heureux de ce qui s’est passé hier soir [jeudi, à Bilbao]. Ces deux-là et Victor [Lindelof] sont probablement les seuls joueurs à qui j’ai parlé depuis mon départ du club. Je leur souhaite le meilleur», a-t-il confié, sans vouloir revenir sur les circonstances douloureuses de son éviction du club en 2021.

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Habib Beye furieux après la défaite de Rennes : «Une équipe cliniquement morte»

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Le Stade Rennais a sombré à Toulouse (1-2) lors de la 32e journée de Ligue 1, et Habib Beye n’a pas mâché ses mots. En conférence de presse, l’entraîneur breton a exprimé toute sa colère face à la prestation de son équipe, notamment durant une première mi-temps jugée indigne.

«En première période, on n’a rien produit en termes d’agressivité, de personnalité. On n’est pas rentrés dans le match et on les a laissés nous dominer, alors qu’il y avait un rapport d’un pour un sur le terrain, où l’on aurait dû prendre le dessus par cette intensité. Il n’y a rien eu sur ces 45 premières minutes, c’est ce que j’ai dit à mon équipe. J’ai vu une équipe complètement amorphe, sans réaction», a-t-il lancé, très déçu.

Mais c’est à la mi-temps que le ton est monté d’un cran dans le vestiaire rennais. «Je leur ai dit que j’avais une équipe morte, cliniquement morte», a révélé Beye, visiblement excédé par l’absence d’intensité et d’envie.

L’ancien défenseur a également dénoncé une répétition des mauvais comportements : «C’est un mot fort, mais c’est ça que j’ai eu. Avec aucune intensité, aucune intention, aucune envie d’avancer. Et jusqu’à maintenant, depuis que je suis arrivé, j’ai toujours été très protecteur avec mes joueurs. Et si je dis ça aujourd’hui, c’est parce que ces attitudes-là, je les ai vues contre Lyon et je les vois encore ce (samedi) soir. Si on veut finir le championnat en roue libre, alors on doit continuer avec cet état d’esprit.»

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«Un jour, il m’a dit…», l’anecdote marquante de Matuidi sur Cristiano Ronaldo

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Connu pour son talent hors norme autant que pour sa confiance inébranlable, Cristiano Ronaldo continue de fasciner bien après ses années de gloire. Dans un message publié sur LinkedIn, son ancien coéquipier à la Juventus, Blaise Matuidi, a partagé une anecdote révélatrice sur l’état d’esprit du quintuple Ballon d’Or.

«J’ai joué deux saisons avec Cristiano Ronaldo, et un jour, il m’a dit quelque chose dont je me souviendrai toute ma vie. «Ils ne sont pas à mon niveau.» On sortait d’une période de critiques : la Juve n’était pas encore au niveau des attentes, et on nous comparait à d’autres équipes en Italie. Sa réponse ? On ne peut pas se comparer à lui (et donc à notre équipe). Cette phrase, reprise ensuite par la presse, avait suscité un peu de polémique. Mais elle résume bien la mentalité du plus haut niveau : «Pour atteindre ce que les gens n’ont jamais fait, il faut faire ce qu’ils n’ont jamais fait», raconte Matuidi.

Quelques semaines plus tard, CR7 mettait tout le monde d’accord en inscrivant un triplé retentissant contre l’Atlético Madrid en Ligue des champions.

«Et quelque temps plus tard, il marquait un triplé face à l’Atlético Madrid dans un match décisif. Cela faisait cinq ans que cela n’était pas arrivé à un joueur de la Juve en Ligue des champions. Une performance marquante, qu’il avait ponctuée d’un : «Je suis encore là.» 34 ans, toujours la rage au ventre. Unique en son genre ! Et il a raison. Pour être unique, il faut faire ce que personne n’arrive à faire» conclut Matuidi.

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