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Mauro Icardi répond encore aux accusations de Wanda Nara

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Le feuilleton Wanda NaraMauro Icardi ne semble pas prêt à se terminer, bien au contraire. Alors que les médias argentins relaient une rupture qui semble désormais définitive entre les deux, de nouvelles accusations et scandales surgissent, impliquant harcèlement et violences présumées à l’encontre de la star du football. Un contexte complexe qui prend encore plus d’ampleur avec les rumeurs d’une romance entre Wanda Nara et le chanteur de cumbia L-Gante.

Au milieu de ces tensions, Icardi, actuellement en Argentine pour soigner une grave blessure, a décidé de prendre les choses en main.

Sur ses réseaux sociaux, il s’est défendu contre les accusations qui l’entourent, publiant des vidéos et des messages qui font déjà le tour de la toile.

Dans une vidéo, il filme Wanda Nara entrant dans sa maison, réagissant vivement à sa présence : «Arrête de me filmer ! Qu’est-ce que tu me filmes ?», peut-on entendre, avant que la vidéo ne soit supprimée, mais pas avant qu’elle ne devienne virale.

Sur son profil Instagram, où il compte plus de 12 millions de followers, Icardi a expliqué : «Malgré le fait que mes avocats me retiennent, je voulais le faire savoir pour me défendre publiquement après tant d’atrocités commises».

Il a détaillé une rencontre tendue avec Wanda, qu’il accuse de l’avoir harcelé pendant deux heures dans sa maison.

«Deux heures installées chez moi à me harceler (…) Quelle couverture ou quel titre met-on là-dessus ? Comme je l’ai dit, ils m’ont expulsé de mon appartement sur un coup de tête… et il s’avère qu’il se présente ici en me harcelant comme le montre la vidéo», a ajouté Icardi, évoquant les événements avec son ex-partenaire.

Non content de cette vidéo, l’attaquant de Galatasaray a également partagé des captures d’écran d’une conversation avec son avocat, dans laquelle il relate les agissements de Wanda dans sa maison.

«On dirait qu’elle est venue bavarde et affamée. On prépare du lait avec des céréales (…) Elle est assise en train de manger des biscuits avec du Coca Cola. Elle est allée prendre une douche, puis un service de coiffure et, comme si cela ne suffisait pas, un service de maquillage…», raconte Icardi à son avocat, avant de conclure : «Finalement, après tout, elle a daigné battre en retraite. 2 heures plus tard, elle est partie».

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Emmanuel Petit sur Zinédine Zidane : «J’ai compris pourquoi il se tait»

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Coéquipiers en équipe de France à 35 reprises, Emmanuel Petit et Zinédine Zidane ont écrit ensemble l’histoire du football français, notamment lors du sacre mondial de 1998. Pourtant, Petit n’a pas toujours été tendre avec Zizou, allant jusqu’à remettre en question son leadership en dehors du terrain.

Dans son autobiographie parue il y a plus de dix ans, l’ancien Monégasque critiquait l’attitude réservée de Zidane en dehors des pelouses.

Une opinion qu’il a assumée… avant de faire son mea culpa sur le plateau des Terriens du Samedi : «Avec le temps, je comprends parfaitement pourquoi il ne s’expose pas. Et sincèrement, c’est moi qui me suis trompé.»

Revenant sur la pression médiatique et les violences verbales sur les réseaux sociaux, Petit admet qu’il a jugé trop hâtivement son ancien coéquipier

«J’ai émis des réserves à ce sujet le concernant il y a plus de dix ans et depuis, je m’en suis expliqué avec lui. Avec le temps, je comprends parfaitement pourquoi il ne s’expose pas. Et sincèrement, c’est moi qui me suis trompé il y a dix ans. Quand on voit aujourd’hui comment les personnes qui s’exposent se font matraquer et insulter en permanence sur les réseaux sociaux, je ne vois pas l’intérêt de donner son avis, ce que je lui ai pourtant reproché à l’époque.»

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«Je ne lui en ai pas voulu, mais…», les regrets d’Ayew sur l’ère Deschamps

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Formé à l’Olympique de Marseille, André Ayew y a franchi des étapes importantes sous les ordres de Didier Deschamps. Pourtant, malgré les succès de l’équipe durant cette période, le Ghanéen garde un goût amer de sa collaboration avec l’actuel sélectionneur des Bleus.

Lors de la saison 2009-2010, l’OM décroche son premier titre de champion de France depuis 1992. Une consécration historique… que le jeune Ayew ne vit qu’à distance. Prêté cette année-là à Arles-Avignon, il manque ce sacre tant espéré.

Interrogé par Kampo, il confie son amertume : «Non, je ne suis pas champion de France. Alors que je ne voulais pas partir de Marseille sans l’être. Mais l’année où l’OM est champion, je suis prêté à Arles-Avignon et on monte en Ligue 1. Ça, ça m’a fait mal.»

Une décision qui n’était pas de son fait. Didier Deschamps, alors fraîchement nommé, l’écarte très tôt de ses plans.

«C’est lui qui m’a fait comprendre que je devais partir. On connaît le personnage : Didier, il veut gagner. Et quand il arrive à l’OM, le club dépense pas mal d’argent sur le marché des transferts. Ça ramène Lucho, Heinze, Stéphane Mbia, Brandao… Et avec moi, il a été cash. Il m’a dit que j’aurais beau bien m’entraîner et faire toute la préparation, ça ne changerait pas son idée. Il m’a dit, «Je sais où je vais, avec qui j’y vais et comment j’y vais. Tout est clair dans mon esprit, donc c’est mieux pour toi de partir.» Sur le coup, c’est dur parce que j’étais formé à Marseille et je voulais réussir à Marseille», a-t-il ajouté.

Si ce passage en Ligue 2 lui a permis de mûrir et de revenir plus fort à Marseille, Ayew regrette toujours de n’avoir même pas pu tenter sa chance pendant la préparation estivale.

«Je ne lui en ai pas voulu, non, mais le fait que je n’ai pas eu l’opportunité de faire la prépa, etc., oui, ça, ça m’a gêné. Ça m’a aussi montré que ça n’allait pas être facile ni donné. Si je voulais réussir là-bas, il allait falloir que je fasse des choses presque extraordinaires», a-t-il conclu.

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Samir Nasri sur Lionel Messi : «C’était le seul joueur qui…»

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Durant sa carrière, Samir Nasri a affronté les plus grands : Cristiano Ronaldo, Xavi, Iniesta, Robben ou encore Ibrahimovic. Pourtant, un seul nom continue de le hanter : Lionel Messi. Dans un entretien accordé à L’Équipe, l’ancien milieu de terrain d’Arsenal a évoqué, sans détour, la terreur que lui inspirait l’Argentin lors de leurs confrontations en Ligue des champions.

«Le joueur le plus fort contre lequel j’ai joué ? Lionel Messi», tranche Nasri. Et pour cause : deux éliminations consécutives d’Arsenal par le Barça de Messi (2009-10 et 2010-11), avec notamment un quadruplé de La Pulga au Camp Nou.

Nasri ne cache pas l’admiration teintée de crainte qu’inspirait La Pulga, même chez les meilleurs professionnels.

«Il nous a mis quatre buts avec Arsenal et on a perdu 4-1 au Camp Nou. J’ai joué contre tous les plus plus gros et c’était le seul à instiguer la peur en face. Je voyais mes défenseurs, les milieux à vocation défensive, le gardien, le coach… Tu fais des plans anti-Messi… Il y a cette crainte-là. À chaque fois qu’il touchait le ballon, il se passait quelque chose. Honnêtement, 2008-09, 2009-10, 2010-11, il était injouable. Vraiment. En plus, on tombait chaque année contre eux.», a-t-il ajouté.

Face à un Barça alors à son apogée, Nasri se souvient d’un Messi injouable, bien aidé par un collectif millimétré.

«Même quand tu faisais tout bien, tu le fermais, tu essayais de l’emmener sur son pied droit… Il avait même les contres favorables. Le système du Barça était fait pour le mettre dans les meilleures conditions. Il y avait Daniel Alves qui montait beaucoup sur le côté droit, qui nous faisait beaucoup défendre, (Andres) Iniesta au milieu… C’était vraiment fort», a-t-il conclu.

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Rio Ferdinand : «Amorim devrait virer…»

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L’ancien international anglais, Rio Ferdinand, a exprimé lundi son avis sur la situation actuelle de Manchester United, affirmant que l’entraîneur portugais Ruben Amorim devrait vouloir se séparer de près de 50 % de l’effectif.

Dans son podcast «Rio Presents», Ferdinand a évoqué les difficultés rencontrées par les Red Devils en Premier League, insistant sur le fait que l’entraîneur aura besoin de temps pour reconstruire l’équipe à son image.

«Je pense qu’il regarde autour de lui dans le vestiaire et se dit : ‘Si j’avais une baguette magique, dans les cinq prochaines années, 50 % de ces joueurs ne seraient plus là’. C’est parce qu’ils ne sont pas assez bons et qu’ils ne sont pas aptes à jouer comme il le souhaite», a déclaré Ferdinand, selon le Daily Mail.

Ferdinand a précisé que Ruben Amorim aura besoin d’au moins deux fenêtres de transfert pour éliminer les éléments qui ne répondent pas aux exigences du club et pour attirer les joueurs capables de répondre à sa vision de jeu

«Je le regarde et je pense qu’il a besoin d’au moins deux fenêtres de transfert pour se débarrasser de ceux qui ne sont pas assez bons, mais aussi pour recruter les joueurs dont il a besoin. (…) United a besoin de joueurs dynamiques. Je ne veux pas de joueurs rebelles ou de joueurs capables de faire des pirouettes. Je veux des joueurs capables de dépasser les adversaires», a conclu Ferdinand.

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