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Même retraité, Ronaldinho continue de faire rêver tous

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Ronaldinho

Avant l’ère QSI, un autre génie brésilien illuminait le Parc des Princes : Ronaldinho. Son sourire et son talent unique ont marqué l’histoire du Paris Saint-Germain. Dans une interview accordée à L’Équipe, l’ancien Ballon d’Or 2005 a une nouvelle fois fait preuve de son charisme légendaire.

À propos de l’actuelle saison d’Ousmane Dembélé, il n’a pas manqué de partager son enthousiasme.

«J’aime beaucoup. (Il rigole) Il a un style un peu brésilien ! Il est déroutant, il invente, il provoque. Il est souvent illisible et, en plus, il marque beaucoup de buts.», déclare-t-il.

Mais au-delà du football, Ronaldinho vit pleinement sa nouvelle vie. Entre voyages et projets, il reste fidèle à ses passions.

«Je voyage beaucoup. Je fais ce que je n’ai pas toujours pu faire avant. Je veux profiter de tout. J’ai monté des écoles de foot pour les enfants à travers le monde. J’ai beaucoup de projets dans le vin avec mon ami Fabio Cordella en Italie et dans le monde. Le vin nous rassemble. C’est une autre passion», confie-t-il, une étincelle de sincérité dans la voix.

Dans ses projets viticoles, il trouve une nouvelle façon de partager sa joie de vivre. «Je suis content car les gens aiment bien notre production. Le vin, c’est la vie. Et j’ai toujours aimé la vie !», lâche-t-il avec cette même passion qui a fait de lui une légende sur le terrain.

Même loin des stades, Ronaldinho continue d’inspirer et de faire rêver.

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Les confessions de Mohamed Salah sur sa relation avec Sadio Mané

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Mohamed Salah, meilleur joueur de Premier League cette saison, a propulsé Liverpool vers un titre de champion tant attendu, leur premier depuis 2020. Une victoire obtenue sans Sadio Mané, son ancien complice d’attaque, avec qui la relation n’a pas toujours été simple.

Dans une interview pour L’Équipe, Salah a évoqué les tensions qui existaient entre lui et Mané.

«Oui, il y avait de la tension avec Sadio. Attention, on a été professionnels jusqu’au bout, je ne pense pas que cela a affecté l’équipe. C’est humain de vouloir davantage, je le comprends, c’est un compétiteur. Hors des terrains, nous n’étions pas très proches mais on s’est toujours respectés.», a-t-il déclaré.

L’attaquant égyptien a aussi répondu aux accusations d’égoïsme : «Moi égoïste ? Je m’en fous. Les gens peuvent penser ce qu’ils veulent, c’est leur droit. Mais j’invite tout le monde à constater que celui qui a donné le plus de passes décisives à Mané, c’est moi. On peut regarder les faits mais, visiblement, il est plus simple de balancer des phrases comme cela, ça fait les gros titres, je sais comment ça marche. Tant que ça reste dans les limites du respect, ça me va. Mais ça ne veut pas dire que cette opinion est vraie. À la fin de la journée, je sais ce que j’ai fait, et j’ai la conscience tranquille», a-t-il ajouté.

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Les révélations chocs d’Arda Güler sur son père et sa famille

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Arda Güler, le talentueux milieu de terrain turc, a récemment ouvert son cœur dans une longue lettre adressée au Players Tribune, revenant sur son parcours et les défis qu’il a surmontés, notamment son arrivée au Real Madrid. Dans cette confession intime, il raconte comment la passion du football a pris une place centrale dans sa vie, mais aussi les sacrifices et les sacrifices financiers de sa famille.

««Arda, on est ruinés» : «J’avais un professeur d’éducation physique qui s’appelait Mahmut. Un jour, quand j’avais neuf ans, il a dit à mon père de m’inscrire à l’académie de Gençlerbirliği. Au début, mon père a refusé parce que l’académie était à plus d’une heure de route, mais Mahmut a vu quelque chose en moi et l’a convaincu. Puis mon père a commencé à me conduire, et pendant son absence, sa compagne s’est occupée du magasin. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais un jour, papa m’a dit : “Fils… On doit fermer le magasin.” On est fauchés.” C’était notre seule source de revenus. On était fauchés. Du coup, j’étais toujours “trop fatigué” ou “je ne pouvais pas y aller”. Heureusement, nous avions toujours de quoi manger. Je sais que beaucoup d’enfants n’ont même pas de toit. Au fond de moi, je savais que nous avions de la chance. Au bout d’un moment, mes parents ont ouvert un nouveau magasin. Ça nous a aidés, mais quelques années plus tard, quand Fenerbahçe a voulu me recruter, je ne peux pas dire que nous ne pensions qu’au football. Nous avions besoin d’argent.», a-t-il avoué.

Pression financière familiale : «Il nous a fallu trois mois pour décider si nous allions signer à Fenerbahçe, car une telle décision change complètement une vie. J’avais 13 ans à l’époque et mes parents ne voulaient pas que je quitte la maison. Mon rêve était de jouer là-bas, mais nous savions aussi que c’était une décision très importante et risquée. Personne ne pouvait garantir que je deviendrais un jour footballeur professionnel. Finalement, mon père m’a dit : « Si tu veux faire quelque chose, fais-le en grand. Si tu réussis au bout de six mois, nous vendrons tout et nous viendrons avec toi. »» Le jour de notre départ d’Ankara, papa a réuni tous nos proches, une trentaine de personnes. C’était aussi mon anniversaire, alors on l’a fêté avec un gros gâteau, mais maman n’arrêtait pas de pleurer. Je n’avais jamais vu un anniversaire aussi rempli de larmes. Je lui ai promis de la rendre fière et que nous serions bientôt ensemble à Istanbul, mais la conversation dont je me souviens le plus, c’était avec ma sœur, qui a huit ans de plus que moi. Juste avant de monter dans la voiture pour partir, elle m’a regardé dans les yeux et m’a dit : «Arda, il faut que tu remplisses le frigo.» «Remplis le frigo.» C’étaient ses mots exacts. «Arda, il faut que tu le prennes.», a-t-il poursuivi.

Soutien familial à Istanbul : «Ma famille me manquait. Un jour, je suis partie. Je n’en pouvais plus. Je n’osais pas le dire à mon père. J’étais trop fière. Ça aurait été trop douloureux. Mais je savais que ma famille envisageait de déménager, alors j’ai dit à ma colocataire : «Envoie un message à mon père pour lui dire que ça ne va pas bien pour moi.» Il m’a dit : «Vraiment ?» J’ai dit : «Oui, dis-lui simplement que j’ai besoin d’aide.» Ça a marché. Après ce message, ils sont partis vivre à Istanbul avec moi. Ils ont vendu la maison. Ils ont fermé le magasin. Ils ont quitté leurs amis. Ils ont misé leur avenir sur leur jeune fils. Si j’échouais, nous étions finis…», a-t-il conclu.

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Barça : l’aveu de David Beckham sur Lamine Yamal

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Alors que Lamine Yamal s’apprête à défier le Real Madrid dans un duel décisif de la Liga, la légende britannique David Beckham a exprimé son admiration pour le jeune talent du FC Barcelone. En évoquant le prodige de 17 ans, Beckham n’a pas hésité à le comparer à l’un des plus grands joueurs de l’histoire du football : Lionel Messi.

Dans une intervention sur CBS, Beckham, désormais propriétaire de l’Inter Miami, a loué les qualités exceptionnelles de Yamal, allant même jusqu’à le qualifier de « plus proche » de Messi qu’il ait jamais vu.

«C’est le premier joueur que vous voyez et que vous pouvez… Je veux dire, on ne peut comparer personne à Messi, à mon avis… mais c’est la chose la plus proche que j’aie jamais vue», a déclaré Beckham, visiblement impressionné par le talent brut de Lamine.

Le jeune attaquant, qui brille depuis deux saisons avec le Barça, ne cherche pas à se montrer excessivement flamboyant malgré ses capacités athlétiques exceptionnelles.

Contrairement à d’autres jeunes talents, Yamal préfère se concentrer sur l’efficacité, délivrant des passes décisives et réalisant des performances décisives, comme ce match mémorable face à l’Inter Milan en demi-finale de Ligue des champions.

Beckham, qui connaît bien le football de haut niveau, a également tempéré sa comparaison, précisant que Yamal n’a pas encore atteint le niveau de Messi, mais qu’il pourrait y arriver un jour.

«Un jour, je pense qu’il pourrait être aussi bon que Lionel Messi. Ce n’est que tous les 20 ou 30 ans qu’un tel joueur apparaît», a-t-il ajouté.

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Betis Séville : les révélations  touchantes d’Isco

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Disparu des radars après son départ du Real Madrid, Isco vit aujourd’hui une véritable renaissance au Betis Séville. À 33 ans, le meneur de jeu andalou, ancien pilier du milieu madrilène, a retrouvé sa magie, son sourire, et même le brassard de capitaine. Un retour au sommet qu’il raconte avec sincérité dans un entretien accordé à So Foot, entre introspection, passion retrouvée et rêves toujours vivants.

«Faire la victime ou se battre comme un champion»

La carrière d’Isco, qui semblait sur le point de s’éteindre après une expérience ratée au FC Séville et six mois d’absence des terrains, a pris un virage inattendu grâce à une introspection salutaire.

«Quand j’étais dans le dur, j’essayais de me trouver des excuses et des coupables. Puis j’ai réfléchi, j’ai fait une introspection. Dans la vie, tu as deux options : faire la victime ou te battre comme un champion», confie-t-il. Un tournant qui a permis à l’ancien prodige de Malaga de retrouver le goût du jeu, à travers un retour aux sources.

Le retour avec Manuel Pellegrini

C’est en retrouvant son ancien mentor, Manuel Pellegrini, qu’Isco a ravivé sa carrière. Le Chilien, qui l’avait façonné à Malaga, a de nouveau placé sa confiance en lui, et ce retour aux affaires n’a pas tardé à porter ses fruits.

«Je n’avais aucune expérience, mais il [Pellegrini] a tout de suite compté sur moi. C’est pour ça que je suis très content que nos chemins se soient de nouveau croisés. Il a déjà remporté un titre avec le Betis, et j’espère bien qu’il en soulèvera d’autres avec moi. J’ai envie d’entrer dans l’histoire du club avec lui», explique-t-il avec une humilité touchante.

Et cette relation fructueuse a mené le Betis Séville en finale de la Ligue Conférence, prouvant que, malgré les doutes du passé, Isco n’a rien perdu de son talent.

Son but aujourd’hui : écrire un nouveau chapitre glorieux de sa carrière, en savourant chaque instant passé sur le terrain.

Retour en Roja : un rêve à ne pas abandonner

Écarté de la sélection espagnole depuis 2019, Isco n’a pourtant jamais renoncé à l’idée d’un retour en Roja. Bien que la fracture de son péroné l’ait privé de l’Euro 2024, il n’a pas perdu l’espoir de revêtir à nouveau le maillot national.

«Je ne vais pas le nier, dans ma tête, je me suis toujours dit que mon histoire avec la sélection n’était pas terminée. Je ne sais pas si je vais avoir l’honneur de recevoir une convocation, mais aujourd’hui je me laisse guider par mes rêves», avoue-t-il avec une sincérité émouvante.

À 33 ans, et après une carrière marquée par des hauts et des bas, Isco ne perd pas de vue l’essentiel : le plaisir de jouer.

«Ce serait super de prolonger ma carrière comme celle de Joaquin au Betis ou comme Modric au Real. Tout ce que je désire, c’est que le feu intérieur qui m’anime ne s’éteigne jamais. Aujourd’hui, je savoure encore chaque toucher de balle, chaque seconde passée sur la pelouse. Le football a énormément changé et j’ai dû évoluer avec lui. Mais au fond, je reste un joueur de rue», confie-t-il, résumant à lui seul l’essence même de sa passion.

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