Auteur d’une saison exceptionnelle avec le FC Barcelone, Raphinha s’est confié ce samedi à Movistar+ sur son ascension fulgurante sous le maillot blaugrana. L’ailier brésilien de 28 ans, ancien joueur du Sporting, a avoué avoir lui-même été surpris par l’ampleur de son rôle au Camp Nou.

«Penser atteindre le sommet du football sans Barcelone est illogique. Honnêtement, je prends vraiment du plaisir en ce moment. Je ne m’y attendais pas, même pas en rêve», a-t-il déclaré, en évoquant une saison impressionnante marquée par 32 buts et 23 passes décisives en 53 matchs officiels.

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Interrogé sur la suite, Raphinha n’a pas hésité une seconde : «Mon renouvellement.» Bien qu’il soit lié au club jusqu’en juin 2027, des discussions sont déjà engagées pour prolonger son contrat, preuve de sa place désormais incontournable dans l’effectif.

Avec émotion et détermination, l’international brésilien a conclu : «Je ne peux pas imaginer un Barcelone sans Raphinha. Je travaille dur pour donner le meilleur de moi-même. Je pense que j’ai bien joué et j’espère continuer comme ça.»

Titulaire à la pointe de l’attaque du PSG lors de la victoire 4-1 à Montpellier ce samedi, Gonçalo Ramos a livré une prestation exceptionnelle en inscrivant un triplé. Après la rencontre, l’attaquant portugais a exprimé sa satisfaction, soulignant l’importance de saisir chaque opportunité.

«Ça fait du bien de profiter du moment, de marquer le plus de buts possible. C’est toujours bien de marquer un triplé», a-t-il déclaré au micro de DAZN.

Cependant, Ramos a également évoqué son temps de jeu plus limité cette saison, rappelant que malgré la forte concurrence au sein de l’équipe, chaque minute sur le terrain est précieuse.

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«(…) On peut faire la différence sur une, cinq ou cinquante minutes. On est ici pour ça. On a beaucoup de qualités dans l’équipe. Mais il ne peut y avoir que onze joueurs au départ, tout le monde ne peut pas jouer. (…) Je suis très content de jouer aujourd’hui, que ce soit une minute, cinq minutes. Je suis ici pour profiter du football», a conclu l’avant-centre parisien.

En dominant l’Olympique Lyonnais (2-0) ce samedi lors de la 33e journée de Ligue 1, l’AS Monaco a officiellement validé sa qualification pour la prochaine Ligue des Champions. Troisièmes du championnat, les Monégasques ont assuré leur place sur le podium grâce à une prestation solide, à l’image de leur coach Adi Hütter, visiblement ému après la rencontre.

«On ressent vraiment de très bons sentiments. On l’a fait, on avait besoin de cette victoire», a-t-il déclaré au micro de DAZN.

«On a contrôlé ce match donc on méritait cette victoire. Les autres résultats ont été favorables pour nous dans la course à la Ligue des Champions. On y croyait. On avait confiance en nous. Cela a été une belle fête dans le vestiaire. Je suis très fier que Monaco retourne en Ligue des Champions. Le club a beaucoup investi. C’est un grand succès.», a-t-il ajouté.

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Malgré cette belle performance, Monaco garde un œil sur la deuxième place du classement, encore accessible.

Pour y parvenir, le club de la Principauté devra s’imposer à Lens la semaine prochaine et espérer un faux pas de l’OM contre Rennes.

L’Olympique Lyonnais semble avoir définitivement dit adieu à ses ambitions de Ligue des Champions après sa défaite 0-2 contre l’AS Monaco ce samedi, lors de la 33e journée de Ligue 1. Une rencontre qui a parfaitement résumé la saison des Gones : des moments de lucidité entrecoupés d’erreurs fatales. Après la rencontre, Alexandre Lacazette n’a pas caché sa frustration et son dépit en zone mixte.

«Il y a beaucoup de regrets, d’énervement, de déception. On se sent désolés pour tous les supporters qui croyaient en nous. Ce soir est à l’image de la saison : on était bien et finalement on fait des erreurs», a-t-il confié.

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Le buteur lyonnais a ajouté : «On doit assumer en équipe. C’est ça qui fait mal ce soir : être présent dans un gros match, contre une grosse équipe, et leur donner deux buts, sachant qu’ils n’ont pas besoin de ça. Toujours pas de C1, ça fait mal alors qu’on avait les moyens, on s’est tués nous-mêmes, ça fait mal. Ce qu’il a manqué ce soir ? Marquer un but de plus que l’adversaire.»