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NBA : les révélations surprenantes de  Michael Jordan sur sa retraite

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Michael Jordan

Michael Jordan, l’un des plus grands joueurs de basket de l’histoire, a marqué la NBA de son empreinte avec 15 saisons d’excellence, entrecoupées de trois retraites. Sa carrière, ponctuée de victoires, notamment deux three-peats avec les Chicago Bulls, est également marquée par des départs inattendus des parquets. Parmi ses retraites, c’est celle de 1998 qui intrigue encore aujourd’hui.

Malgré des statistiques impressionnantes (28.7 points de moyenne) et une domination indiscutable, Jordan choisit à 35 ans de se retirer après avoir remporté son sixième titre avec les Bulls. Un choix mûrement réfléchi, dicté par sa vision de la fin de carrière.

«Pourquoi pas ? Je suis censé avoir l’air vieux et grisonnant, pour que vous me chassiez parce que je ne suis plus à la hauteur de ce à quoi je suis habitué ? Je pense qu’il est opportun de partir lorsque les gens peuvent encore vous voir jouer au basket-ball et qu’ils ne voient pas vos compétences s’éroder aussi rapidement. Tant que je subis des prises à deux ou à trois, j’ai toujours l’impression d’être une menace. Maintenant, quand les équipes commencent à me défendre en un contre un, c’est là que je sais que mon heure est venue», expliquait-il.

Ce départ prématuré, alors que sa forme restait excellente, s’inscrivait dans la logique de Jordan : ne jamais laisser la place à la perception qu’il perdait de son niveau.

Il souhaitait partir en laissant une image intacte de sa domination, fidèle à son esprit compétitif.

D’ailleurs, Scottie Pippen, son fidèle coéquipier, expliquait que l’ensemble des joueurs de Chicago savait déjà que la saison 1997-98 serait la dernière de MJ avec eux.

«Il me parle. Je ne sais pas s’il pense qu’il doit ce respect à tous les joueurs de la franchise, mais il a passé pas mal d’années avec moi et il le mentionne de temps en temps. Et il le fait savoir aux gars : «C’est mon dernier tour de piste. Je vais en profiter et c’est tout», avait-il confié à ses coéquipiers, avant de marquer la fin d’une époque.

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