L’information a secoué les réseaux sociaux comme une déflagration. Ce mardi, un bruit venu d’Argentine a fait le tour de la planète football : Neymar Jr serait dans le viseur de l’Olympique de Marseille. Une hypothèse qui, si elle s’était avérée vraie, aurait provoqué un véritable séisme. Voir l’ancien prodige du PSG revêtir la tunique phocéenne ? Impensable pour beaucoup. Et pour cause : la rumeur a rapidement été démentie, notamment par Walid Acherchour dans L’After Foot sur RMC.
«J’étais surpris en l’apprenant car pour moi c’est inimaginable de voir Neymar à l’OM. Pour plusieurs raisons, son passé au PSG, il a laissé une trace dans ce club, mais aussi la faisabilité sportive, les volontés des dirigeants marseillais d’installer un vrai cadre économique, un cadre sportif, un projet très sérieux. Surtout qu’ils viennent de mettre 35M€ sur Paixao.», a lancé le chroniqueur.
L’onde de choc n’a duré qu’un court instant. Le média argentin TyC Sports, pourtant réputé fiable, a été à l’origine de cette annonce inattendue. Un point qui a d’abord semé le doute dans l’esprit d’Acherchour, avant qu’il ne vérifie rapidement les faits.
«J’étais très surpris et ce qui m’étonnait c’est que TyC Sports est un média jugé sérieux. C’est surtout ça qui m’a un peu interpellé. Après je me suis renseigné très rapidement sur l’information et j’ai tout de suite été rassuré sur cette fausse rumeur.», a-t-il ajouté.
Revenu récemment à Santos après son passage contrasté en Arabie saoudite, Neymar n’en aurait donc pas terminé avec le football européen, selon certains. Mais le Brésilien de 32 ans ne devrait pas poser ses valises sur la Canebière.
«Ça a duré 10, 15, 20 minutes. Maintenant, quand j’ai vu ça, je suis tombé des nu, je n’y ai pas cru une seconde déjà quand j’ai regardé l’information. (…) Quand je dis rassuré, c’est par rapport à la véracité de la rumeur. La rumeur est fausse dont je ne sais pas pourquoi on en parle. Mais si on doit en parler, c’est vrai que ça aurait fait séisme. Un séisme de magnitude 7 sur la planète football», a conclu Walid Acherchour.