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PSG : l’incroyable anecdote de Zoumana Camara sur Zlatan Ibrahimovic

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Zlatan Ibrahimovic

Zlatan Ibrahimovic n’a jamais été un joueur comme les autres. Son caractère bien trempé et son professionnalisme hors pair lui ont permis de prolonger sa carrière jusqu’à 41 ans. Une anecdote racontée par Zoumana Camara dans le podcast Kampo illustre parfaitement cet engagement sans faille.

Lors de son arrivée au PSG, certains coéquipiers ont tenté de l’intégrer en l’invitant à une session de chicha en pleine pré-saison. Mais Zlatan a immédiatement décliné l’invitation.

«Je vais te donner une anecdote sans te donner de noms. Les mecs voulaient l’intégrer (lors de son arrivée au PSG). Ils lui disent : «viens dans la chambre, on va fumer la chicha». On était en pré-saison, les mecs de temps en temps fument et se font plaisir, pas de problèmes. Ils sont dans la chambre et chichent et lui disent : «Tu veux ?». Il dit «non». En me regardant, il me dit : «dis-leur, le jour où je fumerai la chicha, ce sera le jour où j’arrêterai le football. Je fumerai la chicha et je prendrai même de la cocaïne. Mais pour le moment, je continue de vivre comme un professionnel.», aurait-il répondu avec son franc-parler légendaire.

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Un ancien joueur de Chelsea devient prêtre

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Ancien milieu de terrain de Chelsea et Newcastle, Gavin Peacock, 57 ans, a troqué les crampons pour la soutane. Désormais prêtre dans le comté du Kent, il s’est livré dans une interview poignante au Daily Mail, évoquant la manière dont sa foi chrétienne a transformé sa vision du football… et de la vie.

«Je suis devenu chrétien à 18 ans, alors que j’étais à QPR [Queens’ Park Rangers]. Je vivais mon rêve, en tant que footballeur, avec un peu d’argent en poche et l’adoration des supporters», raconte-t-il.

Mais cette vie rêvée cachait un vide intérieur : «Le football était mon dieu. Si je jouais bien, je me sentais bien. Si je jouais mal, j’étais déprimé.»

La rencontre avec la foi s’est faite presque par hasard. «Un soir, ma mère m’a dit qu’elle allait à l’église du coin. J’y suis allé pour lui tenir compagnie.»

Puis, une réunion de jeunes a bouleversé son existence : «Puis je suis allé à une réunion de jeunes. Je suis arrivé dans ma Ford XR3i et j’avais la coupe mulet avec moi. J’y suis allé en pensant faire partie de la foule, mais les autres avaient quelque chose que je n’avais pas. Quand ils parlaient de Jésus-Christ et priaient, il y avait de la joie, et en vérité, je n’avais pas ça.»

Ce moment a marqué un tournant : «À ce moment-là, j’ai été sauvé et tout s’est mis en place. Mon plus grand problème n’était plus d’être adoré par le public, mais d’avoir une bonne relation avec Dieu. Cela a aidé ma carrière. Mes peurs et mes angoisses ont disparu. Mon bonheur ne dépendait plus entièrement du football.»

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Arteta se confie après l’élimination d’Arsenal par le PSG

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Au lendemain de l’élimination d’Arsenal en demi-finale de la Ligue des champions face au Paris Saint-Germain, Mikel Arteta s’est exprimé avec émotion sur Sky Sports.

Le manager espagnol a désigné Gianluigi Donnarumma comme l’un des grands artisans de la qualification parisienne, saluant la performance exceptionnelle du gardien italien.

«Nous voulions gagner la Ligue des champions et nous en étions convaincus. C’est l’esprit. Si quelqu’un dit : « Oh, mais on y arrive »… Je ne veux pas que quiconque en parle», a affirmé Arteta.

Malgré la défaite, il s’est dit fier de son équipe : «Mercredi, j’ai vécu l’une des soirées les plus tristes, mais aussi les plus fières de ma vie en tant qu’entraîneur d’Arsenal.»

Le technicien a reconnu que son équipe avait manqué d’efficacité : «Je veux d’abord parler des raisons pour lesquelles nous n’avons pas gagné et, ensuite, de ce que nous devons faire pour gagner. C’est ce qui doit motiver ce club et tous ceux qui y participent. Beaucoup de choses doivent tourner en notre faveur», a-t-il poursuivi.

Il a conclu sur une note d’autocritique et de projection : «Nous avons gâché trop d’occasions. Il faut leur rendre hommage, ils avaient le meilleur gardien du monde à ce moment-là. Je comprends le raisonnement [qui sous-tend le recrutement d’un nouvel attaquant]. Quand on se crée cinq buts attendus et qu’on n’en marque qu’un, c’est inévitable. C’est normal», a-t-il conclu

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Real Madrid : Arda Güler passe aux aveux

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Dans une lettre poignante publiée par The Players’ Tribune, Arda Güler, le jeune prodige turc du Real Madrid, s’est livré sans détour sur ses combats personnels, son adaptation à Madrid et son désir de se prouver au plus haut niveau. À seulement 19 ans, l’ancien joyau de Fenerbahçe déclare que la gloire n’a de saveur que si elle est méritée.

Un trophée, mais à quel prix ?

La victoire en Ligue des champions de la saison dernière a été marquée par une amertume inattendue pour Güler. Bien qu’heureux pour l’équipe, il confesse avoir ressenti un malaise face à sa contribution limitée.

«Être sur le banc n’est pas une situation facile. Quand nous avons gagné la Ligue des champions, je n’avais pas envie de soulever le trophée car je n’avais pas beaucoup contribué sur le terrain. C’est pourquoi j’étais si gêné quand Ancelotti m’a tendu le micro au stade Cibeles. Je n’avais pas du tout pensé à monter sur le toit du bus tellement j’étais fatigué, et je me souviens que deux amis m’ont envoyé un SMS : « Où es-tu ? » «On ne te voit pas.» J’étais en bas en train de discuter avec Kroos et Modric, et Modric m’a demandé si Mourinho allait entraîner Fenerbahçe. Mes amis m’ont dit : «T’es fou ?» Tu viens de gagner la Ligue des champions ! «Viens fêter ça !» Mais c’est ce que je suis. Gagner un titre ne me suffit pas. Je dois avoir le sentiment de l’avoir mérité.», avoue-t-il.

Un tempérament de feu, forgé très tôt

Derrière ce tempérament de guerrier, Arda Güler a forgé sa personnalité dès son adolescence.

«Après notre défaite en huitièmes de finale, je me demandais si les supporters turcs nous critiqueraient, mais ils avaient vu à quel point nous nous étions battus pour notre pays. En Turquie, le caractère est primordial. Rüdiger m’a dit qu’il avait remarqué ma passion et ma colère. Mais quand il parle de colère, il le dit positivement. J’ai toujours donné des instructions à mes coéquipiers, même adolescent à Fenerbahçe. Je n’y peux rien. Sinon, je jouerai mal. Je veux être un leader, je veux tirer les corners et les coups francs à chaque fois. Demandez à M. Sosa. Jorge Jesús m’a laissé hors de l’équipe pendant des semaines à Fenerbahçe. Un jour, il a formé deux équipes pour s’entraîner aux coups francs, et je n’étais dans aucune des deux. Je me suis entraîné seul, à tirer les corners. Il pleuvait à verse, et en rentrant, j’ai beaucoup pleuré. Je me suis promis de ne plus jamais ressentir ça. Les gens me voient comme un joueur créatif, mais Moi aussi, je suis un guerrier. Tu me laisses sur le banc ? Je vais travailler plus dur. Tu dis du mal de moi ? «Je vais t’écraser…», explique-t-il.

S’adapter à Madrid : une autre bataille

Si jouer au Real Madrid est un rêve pour beaucoup, Güler reconnaît que l’adaptation à cette nouvelle vie n’est pas simple.

«Jouer pour le Real Madrid, c’est facile. Tu sais que Modric verra ta course. Vinicius fera passer même une mauvaise passe en beauté. Le plus dur, c’est d’apprendre l’espagnol, de s’adapter à la culture et de garder les pieds sur terre. C’est donc une bonne chose que ma famille me rende visite une fois par mois et que maman me dise encore de ranger ma chambre. Elle dit toujours que si je n’étais pas footballeur, on aurait des problèmes. Heureusement, le frigo est plein.», confie-t-il.

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Real Madrid : l’incroyable sortie de Toni Kroos sur Francesco Acerbi

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Francesco Acerbi est devenu l’homme que le Barça ne voulait surtout pas voir surgir. En égalisant de façon totalement inattendue en toute fin de match retour face aux Catalans, le défenseur de l’Inter Milan a envoyé son équipe en prolongations… et vers une qualification renversante pour la finale de la Ligue des Champions contre le PSG. Une performance qui a fait bondir les tifosi… mais aussi un certain Toni Kroos.

Si l’ancien milieu du Real Madrid a pris sa retraite, son regard affûté sur le football n’a pas changé. Et face à cette demi-finale épique, il n’a pas caché sa jubilation.

«Je ne veux pas dire que je suis un fan de l’Inter, mais peut-être que les dix dernières années ont fait quelque chose en moi, que je suis un peu plus contre le Barça, mais d’une certaine manière, j’étais un peu excité pour l’Inter, heureux quand le score était de 3-3.», a-t-il déclaré.

Mais c’est en parlant de Francesco Acerbi que Kroos s’est offert une sortie mémorable.

«Si je devais choisir entre un système d’alarme, un berger allemand et un Acerbi devant la maison, je choisirais Acerbi. C’est de la pure mentalité. Mais aussi Dumfires ou Bastoni, ce sont des machines, ils ont fait basculer le match deux fois, tout simplement Chapeau. Et aussi au Barça, une grande publicité pour le football, parce qu’on avait l’impression que tout pouvait changer à chaque minute», a-t-il ajouté.

Même en tant qu’ancien du Real Madrid, il a tenu à féliciter le Barça pour le jeu produit.

«Mais la façon dont ils jouent au football, il faut vraiment féliciter Hansi, c’est juste un spectacle. Mais lequel est le meilleur ? L’Inter a terriblement bien défendu, mais a marqué sept buts», a-t-il conclu.

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