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PSG : Luis Enrique exulte après la qualification face à Liverpool

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Luis Enrique

L’émotion était palpable au coup de sifflet final. Luis Enrique, souvent mesuré, n’a pas pu contenir sa joie après la qualification du Paris Saint-Germain pour les quarts de finale de la Ligue des Champions face à Liverpool (1-0, 0-1, 4-1 t.a.b.). L’entraîneur espagnol, s’exprimant dans un français impeccable au micro de Canal+, a salué la performance collective de son équipe.

«Je ne sais pas quoi dire ! Je suis très content parce qu’on a montré qu’on est une vraie équipe, comme depuis quelques temps, mais aujourd’hui, avec les supporters, c’était un très bon match et on est fier de cette grande équipe.», a-t-il déclaré.

Interrogé sur le niveau de jeu atteint par ses joueurs, Luis Enrique a tenu à tempérer les éloges.

«À notre maximum ? Non, c’est vous qui le dites ! Notre mentalité, c’est d’être meilleur. Aujourd’hui c’était un match très difficile contre une très bonne équipe qui pressait beaucoup, et c’était difficile de garder le ballon», a-t-il poursuivi.

L’ancien coach du Barça a également mis en avant le rôle clé de Gianluigi Donnarumma, auteur d’une prestation décisive lors de la séance de tirs au but.

«Avec la mentalité, la personnalité et surtout Gigio (Donnarumma), on a pu gagner le match. On doit rester groupés et faire la fête !», a-t-il ajouté.

Pour Luis Enrique, cette victoire n’est pas seulement une étape dans la compétition, mais une démonstration de l’identité de jeu et de la force collective du PSG.

«Liverpool a fini premier de la phase de ligue, c’est une très bonne équipe, et aujourd’hui on a montré qu’on aime jouer au football, quel que soit le stade, quelle que soit l’ambiance. C’est très beau d’avoir cette équipe, c’était un match pour tous nos supporters.», a-t-il conclu.

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David Villa sur Lamine Yamal : «C’est un futur crack du Barça»

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David Villa, légende du football espagnol et ancien attaquant du FC Barcelone, a récemment exprimé son admiration pour Lamine Yamal, jeune prodige du Barça. À 17 ans, Yamal ne cesse de surprendre, tant par son jeu que par son impact sur ses coéquipiers.

Dans une interview, Villa a souligné l’importance de l’attaquant catalan dans le collectif barcelonais, notamment lors du match contre l’Inter Milan.

«Lamine Yamal ? Essentiel. Il suffit de regarder un match du Barça : on ne voit pas seulement ce qu’il apporte balle au pied, mais aussi tout ce que ses coéquipiers osent tenter grâce à lui. Il ne cessera jamais de nous surprendre, mais dans les dernières minutes contre l’Inter, j’ai eu le sentiment que presque tous les joueurs le cherchaient.», a déclaré l’ex-international espagnol.

Villa a particulièrement observé l’impact de Yamal dans les moments décisifs, comme lors du match contre l’Inter Milan.

«Dans les dernières minutes, j’ai eu le sentiment que presque tous les joueurs le cherchaient. Quand l’équipe est menée ou à égalité, on sentait que les joueurs du Barça le sollicitaient beaucoup plus que d’habitude, conscients que c’était lui qui pouvait débloquer la situation», a-t-il ajouté.

À seulement 17 ans, Yamal a déjà marqué de son empreinte la scène européenne. Villa n’a pas manqué de souligner que le joueur aura 18 ans bientôt, un âge où les jeunes talents commencent souvent à se faire une place sur la scène mondiale.

«Et il n’a que 17 ans. Il a encore 17 ans, non ? Il va avoir 18 ans, et c’est vraiment quelque chose d’extraordinaire surtout dans un club comme le Barça. Avec tout le respect que je dois aux autres clubs, la difficulté de jouer ici est d’un tout autre niveau. Cette aura, ou appelez-la comme vous voulez, est quelque chose de rare et il l’a. Parce qu’au final, il reçoit le ballon et il se passe quelque chose. Je trouve ça fantastique», a déclaré l’ancien attaquant.

En effet, jouer au Barça, avec ses exigences et sa pression constante, est un défi de taille, et Yamal semble le relever avec brio.

Cependant, Villa a aussi exprimé un certain réalisme concernant les défis à venir pour le jeune joueur.

«Je pense qu’on doit tous le protéger, le soutenir et être patients avec lui quand les moments difficiles viendront, parce qu’ils viendront, c’est certain. Après tout, ce n’est encore qu’un gamin, un garçon, avec un talent incroyable et un immense avenir devant lui», a-t-il conclu.

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Célébrités

Raphinha : «Le Ballon d’Or viendra si je…»

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Raphinha, l’ailier brésilien du FC Barcelone, s’est récemment livré avec sincérité sur plusieurs aspects de sa carrière et de sa vision du football. Il a notamment abordé son rôle de leader, sa fidélité au club, l’impact de son entraîneur Hansi Flick, ainsi que ses influences footballistiques et ses ambitions futures.

Le joueur de 27 ans a tout d’abord exposé sa conception du leadership, un aspect fondamental de son jeu. Pour lui, être un leader ne se limite pas à porter le brassard de capitaine.

«S’il faut être un peu fort ou violent dans le jeu pour gagner, je le ferai. Je dis toujours qu’être un leader ne se résume pas à porter le brassard. Être choisi comme capitaine m’a rendu très heureux, car c’était mon rêve de jouer ici, de porter ce maillot, et porter le brassard de capitaine rendait ce moment encore plus spécial», a-t-il déclaré avec conviction.

Il a ensuite parlé de son engagement avec le FC Barcelone et de son lien avec son entraîneur Hansi Flick. Raphinha a souligné que c’était principalement grâce à Flick qu’il est resté au Barça.

«Je suis resté à Barcelone à cause de Hansi Flick. Il m’a dit que j’allais jouer un rôle important dans ses projets. On a beaucoup parlé du retour de Neymar au Barça. Je lui ai dit : « Allez, tu sais que le club t’aime, les supporters t’aiment, et tout le monde serait ravi de te revoir. » Mais au final, ce n’était ni moi ni lui qui décidaient.», a-t-il révélé.

En plus de cela, Raphinha a partagé son admiration pour Hansi Flick, qu’il décrit comme un coach profondément humain et attentif au bien-être de ses joueurs.

«Hansi Flick est quelqu’un qui se soucie des joueurs. Ceux qui ne jouent pas sont contrariés, mais il ne veut laisser personne de côté. Il veut construire un excellent groupe de travail. Son côté humain, son implication, son impartialité… Il veut gagner en toute confiance.», a-t-il poursuivi.

En ce qui concerne ses influences footballistiques, Raphinha a cité plusieurs légendes du sport, telles que Neymar, Arjen Robben, Cristiano Ronaldo et Lionel Messi, comme des figures qui ont façonné son jeu.

«Quand j’ai commencé à regarder le football, j’aimais Neymar, Robben, Cristiano Ronaldo et Messi. Je voyais des choses différentes chez chaque joueur. Ils m’ont inspiré. Enfant, je voulais ressembler à un seul joueur : Ronaldinho. J’allais à l’école et je l’imitais, je mettais son bandeau et son maillot. C’était mon modèle.», a-t-il ajouté.

Quant à ses ambitions personnelles, Raphinha est clair : «Je ne pense pas au Ballon d’Or. Mais si je le gagne, ce sera le fruit de mon travail pour le club et mon pays. Mon objectif est de remporter des titres avec l’équipe. Les récompenses individuelles viendront plus tard, et si ce n’est pas le cas, ce n’est pas grave.», a-t-il conclu.

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Kroos loue le Barça : «Ils jouent sans peur, même…»

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Ce dimanche, le FC Barcelone a fait un grand pas vers un nouveau titre de champion d’Espagne en s’imposant 4-3 face au Real Madrid dans un Clasico haletant. Après avoir été menés 2-0, les hommes d’Hansi Flick ont fait preuve de caractère pour renverser la vapeur et confirmer leur domination en Liga, quelques jours après leur désillusion européenne contre l’Inter Milan.

Toni Kroos, en analysant la rencontre sur son podcast, a souligné la mentalité impressionnante des Catalans.

«Honnêtement, je n’étais même pas sûr que le Real Madrid gagnerait le match, même avec une avance de 2-0. Je dois parler franchement. Parce que le contenu du match ne reflétait pas cet avantage. C’était comme un cadeau du ciel de mener 2-0. Mais ce qui est vraiment impressionnant chez ce Barça, c’est qu’ils ont simplement continué à jouer comme si de rien n’était. Ils continuent de la même manière et prennent des risques comme si le résultat ne signifiait rien, même s’il conduit à une défaite 7-0. Ils n’ont pas peur de la perte. Ils jouent à leur manière parce qu’ils y croient. Ils jouent avec beaucoup d’agilité et de confiance, malgré un retard de 0-2, et ils continuent de créer des occasions contre n’importe quelle équipe du monde. Nous l’avons clairement vu en deuxième mi-temps contre l’Inter, une équipe très solide en défense, mais Barcelone a continué à jouer et à créer des occasions avec une facilité remarquable. Je pense que c’est une chose rare de nos jours. Bien sûr, ils ont la qualité, mais le facteur principal ici est la mentalité : être mené 0-2 et dire simplement : « c’est bon, nous allons continuer à jouer »», a-t-il confié.

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Federico Valverde sur la défaite du Real Madrid : «Barcelone renaît, encore et encore»

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Le FC Barcelone a surmonté un retard de 2-0 pour s’imposer 4-3 face au Real Madrid dans un Clasico mémorable. Les hommes d’Hansi Flick ont confirmé leur supériorité en Liga, tout en offrant un spectacle fascinant qui a mis à mal le moral des Madrilènes, quelques jours après leur déception européenne contre l’Inter.

Après cette nouvelle défaite dans le Clasico, Federico Valverde a exprimé son sentiment de frustration et d’impuissance, revenant sur la difficulté du Real à prendre le dessus sur leur éternel rival.

«Je ne me souviens plus de la dernière fois où nous avons affronté Barcelone en étant les meilleurs. À chaque fois, on se dit : ‘Cette fois, c’est la bonne, on va se venger.’ Mais à chaque fois, on ressort avec le même sentiment… d’impuissance. Je regardais les yeux de mes coéquipiers au moment du troisième but, et personne ne comprenait comment cette équipe est devenue si forte. Lamine Yamal… je le suivais comme un talent prometteur, aujourd’hui je le crains comme un cauchemar. Barcelone, cette saison, ne joue pas seulement au football… ils envoient un message à toute l’Europe : ‘Même dans nos pires moments… nous sommes invincibles. Nous, à Madrid, nous rêvons de titres… et Barcelone vient tout gâcher : chaque compétition, chaque Clásico, chaque moment de joie. Peut-être que ce que disait Leo Messi était vrai… Barcelone ne s’effondre jamais. Il renaît, encore et encore.», a-t-il déclaré.

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