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Roberto Mancini balance : «Quelque chose va arriver…»

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L’ancien sélectionneur de l’équipe nationale italienne, Roberto Mancini, a récemment évoqué son départ controversé pour l’Arabie Saoudite, et a exprimé ses regrets concernant cette décision.

Dans un entretien accordé à Tg1, l’entraîneur italien a réitéré que quitter la Squadra Azzurra avait été une grave erreur, ajoutant que, rétrospectivement, il ne referait pas ce choix.

Mancini, qui a conduit l’Italie à la victoire de l’Euro 2020, est revenu sur sa relation tumultueuse avec le président de la FIGC, Gabriele Gravina, qui a été un des éléments déclencheurs de son départ.

Bien que l’ex-sélectionneur n’ait pas encore été contacté par des clubs, il a affirmé qu’il s’attendait à ce qu’une opportunité se présente bientôt.

«Personne ne m’a contacté, mais quelque chose va arriver, ce n’est qu’une question de temps. Je ne referais pas ce choix.», a-t-il déclaré, insistant sur le fait qu’il ne regrette pas d’avoir pris la direction de l’Arabie Saoudite, tout en précisant qu’entraîner l’équipe nationale italienne reste, selon lui, l’un des plus grands honneurs.

Il a poursuivi en soulignant qu’il ne referait pas ce choix : «Pour des raisons techniques, pour des raisons de football, parce qu’entraîner l’équipe nationale est la meilleure chose. Non, je ne le referais pas encore une fois.»

Mancini a aussi évoqué un manque de communication avec Gravina, qu’il considère comme un facteur ayant mené à sa décision de partir :

«Peut-être que nous ne nous sommes pas compris, peut-être que si nous nous étions parlé un peu plus, cela se serait passé différemment. Mais je n’ai rien contre le président», a-t-il précisé, tentant ainsi d’apaiser les tensions.

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Rio Ferdinand : «Amorim devrait virer…»

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L’ancien international anglais, Rio Ferdinand, a exprimé lundi son avis sur la situation actuelle de Manchester United, affirmant que l’entraîneur portugais Ruben Amorim devrait vouloir se séparer de près de 50 % de l’effectif.

Dans son podcast «Rio Presents», Ferdinand a évoqué les difficultés rencontrées par les Red Devils en Premier League, insistant sur le fait que l’entraîneur aura besoin de temps pour reconstruire l’équipe à son image.

«Je pense qu’il regarde autour de lui dans le vestiaire et se dit : ‘Si j’avais une baguette magique, dans les cinq prochaines années, 50 % de ces joueurs ne seraient plus là’. C’est parce qu’ils ne sont pas assez bons et qu’ils ne sont pas aptes à jouer comme il le souhaite», a déclaré Ferdinand, selon le Daily Mail.

Ferdinand a précisé que Ruben Amorim aura besoin d’au moins deux fenêtres de transfert pour éliminer les éléments qui ne répondent pas aux exigences du club et pour attirer les joueurs capables de répondre à sa vision de jeu

«Je le regarde et je pense qu’il a besoin d’au moins deux fenêtres de transfert pour se débarrasser de ceux qui ne sont pas assez bons, mais aussi pour recruter les joueurs dont il a besoin. (…) United a besoin de joueurs dynamiques. Je ne veux pas de joueurs rebelles ou de joueurs capables de faire des pirouettes. Je veux des joueurs capables de dépasser les adversaires», a conclu Ferdinand.

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Samir Nasri sur Lionel Messi : «C’était le seul joueur qui…»

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Durant sa carrière, Samir Nasri a affronté les plus grands : Cristiano Ronaldo, Xavi, Iniesta, Robben ou encore Ibrahimovic. Pourtant, un seul nom continue de le hanter : Lionel Messi. Dans un entretien accordé à L’Équipe, l’ancien milieu de terrain d’Arsenal a évoqué, sans détour, la terreur que lui inspirait l’Argentin lors de leurs confrontations en Ligue des champions.

«Le joueur le plus fort contre lequel j’ai joué ? Lionel Messi», tranche Nasri. Et pour cause : deux éliminations consécutives d’Arsenal par le Barça de Messi (2009-10 et 2010-11), avec notamment un quadruplé de La Pulga au Camp Nou.

Nasri ne cache pas l’admiration teintée de crainte qu’inspirait La Pulga, même chez les meilleurs professionnels.

«Il nous a mis quatre buts avec Arsenal et on a perdu 4-1 au Camp Nou. J’ai joué contre tous les plus plus gros et c’était le seul à instiguer la peur en face. Je voyais mes défenseurs, les milieux à vocation défensive, le gardien, le coach… Tu fais des plans anti-Messi… Il y a cette crainte-là. À chaque fois qu’il touchait le ballon, il se passait quelque chose. Honnêtement, 2008-09, 2009-10, 2010-11, il était injouable. Vraiment. En plus, on tombait chaque année contre eux.», a-t-il ajouté.

Face à un Barça alors à son apogée, Nasri se souvient d’un Messi injouable, bien aidé par un collectif millimétré.

«Même quand tu faisais tout bien, tu le fermais, tu essayais de l’emmener sur son pied droit… Il avait même les contres favorables. Le système du Barça était fait pour le mettre dans les meilleures conditions. Il y avait Daniel Alves qui montait beaucoup sur le côté droit, qui nous faisait beaucoup défendre, (Andres) Iniesta au milieu… C’était vraiment fort», a-t-il conclu.

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Sébastien Frey : «Si je stoppais Ronaldo, je pouvais…»

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Ayant passé la quasi-totalité de sa carrière en Italie, Sébastien Frey reste un nom respecté du football transalpin. Révélé à l’Inter Milan, le gardien français a eu la chance de côtoyer des légendes comme Roberto Baggio, Javier Zanetti ou encore… Ronaldo. Un souvenir impérissable pour l’ancien portier.

Critiqué en France pour avoir quitté Cannes très tôt, Frey a tenu bon et s’est imposé dans une Serie A alors très relevée.

«Je l’ai payé de ma personne. Quand j’ai signé à l’Inter à 18 ans, la presse française ne m’a pas épargné. On a dit que j’étais un mercenaire, que je partais seulement pour l’argent et que je n’allais pas y arriver. Quand j’ai commencé à gagner ma place en Italie, ç’a été une revanche personnelle énorme. Tous les grands champions comme Youri Djorkaeff, Ronaldo, Taribo West, Gianluca Pagliuca, Giuseppe Bergomi, Roberto Baggio, Javier Zanetti étaient encore à la Coupe du Monde 1998. Lorsqu’ils sont revenus, il y avait environ 3.000 spectateurs à chaque entraînement. Quand Youri est arrivé, les Français étaient fiers de parler du titre de Champion du Monde. Pour moi, une saison d’entraînement à l’Inter Milan correspondait à deux saisons pleines dans un autre club plus ordinaire.», a-t-il confié.

Mais au-delà des critiques, c’est l’expérience humaine et sportive qui a marqué le Tricolore, notamment sa confrontation quotidienne avec «Il Fenomeno»:

«Je le dis depuis toujours. Il était spécial, à part. C’était le meilleur de toute sa génération. C’était extraordinaire pour moi de me retrouver face à lui à l’entraînement. Sans parler des séances de coups francs avec Roberto Baggio et de tirs-au-but avec Youri Djorkaeff. J’étais jeune, je faisais du rab à la fin de chaque entraînement. C’était un plaisir de me retrouver face à eux. Magique. J’avais les meilleurs joueurs du monde en face de moi. Je me disais que si j’arrivais à stopper leurs tentatives, j’arriverais à m’interposer devant tout le monde.», a-t-il ajouté.

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Lionel Messi : «Ce but, je m’en souviens toujours»

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Lionel Messi, l’un des meilleurs joueurs de l’histoire du football, est autant apprécié pour sa capacité à délivrer des passes décisives que pour sa capacité à marquer des buts. Avec près de 900 buts inscrits dans sa carrière, l’Argentin a marqué l’histoire du football de manière indélébile. Pourtant, parmi toutes ses réalisations, Messi en a une qui reste gravée dans sa mémoire.

Dans une interview accordée à France Football en 2023, Messi a désigné son but contre le Real Madrid en demi-finale de la Ligue des champions 2011 comme étant son préféré.

«Je dis toujours que les buts importants sont les plus spéciaux. Avoir marqué en finale de Ligue des Champions et de Coupe du monde est forcément très spécial. Mais il y a un but dont je me souviens toujours et que j’apprécie vraiment étant donné sa symbolique. C’est celui que j’ai inscrit contre le Real Madrid lorsqu’on les a battus 0-2 au Santiago-Bernabeu en demi-finale de Ligue des Champions. Si je devais en choisir un, ce serait lui.»

Ce but d’anthologie, inscrit au Santiago-Bernabeu, reste dans les mémoires, tant pour sa beauté que pour son contexte historique.

Cependant, quelques années plus tôt, en 2009, Messi avait choisi un autre but comme étant son favori.

Lors d’une interview avec TyC Sports, il avait expliqué : «Comme je l’ai déjà dit, mon but favori est celui que j’ai marqué à Rome, en 2009, en finale contre Manchester United. Il nous a aidés à réaliser le triplé avec Guardiola, ce qu’on n’avait jamais fait. En plus de ça, il a parachevé un match spectaculaire.»

Ce but en finale de la Ligue des champions, qui a permis au Barça de décrocher un triplé historique, a également une place particulière dans le cœur de Messi.

Ainsi, bien que Messi ait inscrit de nombreux buts mémorables, c’est celui contre le Real Madrid en 2011, et celui contre Manchester United en 2009, qui demeurent les plus symboliques et les plus chers à ses yeux.

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