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Salaires en F1 : Max Verstappen écrase Lewis Hamilton en 2024

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L’aventure de Lewis Hamilton chez Mercedes s’est achevée début décembre au Grand Prix d’Abu Dhabi, marquant la fin d’une ère. Bien qu’il ait retrouvé le chemin de la victoire après deux années sans triomphe, notamment en Grande-Bretagne et en Belgique, sa dernière saison avec l’écurie allemande a été marquée par un salaire impressionnant, mais bien inférieur à celui de son rival Max Verstappen.

Selon Forbes, Hamilton a empoché 57 millions de dollars en 2024, se classant ainsi comme le deuxième pilote le mieux payé, derrière Verstappen qui a atteint les 75 millions de dollars.

Parmi ces 57 millions, 55 millions sont un salaire fixe et 2 millions en primes. Malgré ses victoires et trois podiums supplémentaires, ces primes restent étonnamment faibles pour un pilote de son calibre.

Pour 2025, les rumeurs annoncent une rémunération encore plus élevée pour Hamilton, avec un salaire fixe de 60 millions d’euros, sans compter les primes, ce qui pourrait faire grimper son revenu à 100 millions d’euros, le plaçant en tête des pilotes les mieux payés de l’histoire de la F1.

Toutefois, pour que ces chiffres se concrétisent, il faudra que Hamilton fasse ses preuves lors de la prochaine saison, marquée par une concurrence de plus en plus féroce.

La saison 2024 a vu Hamilton terminer 7e du championnat, avec 223 points, son plus mauvais classement en carrière.

Malgré cela, il a remporté deux Grands Prix et a monté trois fois sur le podium, confirmant qu’il reste un concurrent redoutable.

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Inter : «J’ai beaucoup pleuré ces derniers temps», Lautaro Martinez

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Touché à la cuisse gauche une semaine plus tôt, Lautaro Martinez n’aurait jamais dû fouler la pelouse face au FC Barcelone. Et pourtant, mardi soir, l’attaquant argentin était bien là, à Giuseppe Meazza, pour aider l’Inter Milan à décrocher une qualification héroïque pour la finale de la Ligue des Champions (4-3 a.p., 3-3 à l’aller).

En zone mixte, Lautaro a livré un témoignage bouleversant : «Nous avons beaucoup souffert, mais nous avons fait un effort collectif incroyable contre un adversaire très talentueux. J’étais dans un petit pétrin : je ne pouvais même pas lever ma jambe. J’ai passé les deux premiers jours après la blessure à Barcelone à la maison à pleurer. J’ai fait deux séances au cours de la semaine et j’ai essayé de récupérer. Un bandage serré et directement sur le terrain. C’est comme ça que je suis. Dans des jeux comme celui-ci, il faut être présent. J’ai pleuré avec ma femme et mes enfants à la maison, mais je lui ai promis que je serais là. Ma mère aussi était inquiète, elle m’a appelé toute la matinée, mais je n’ai pas répondu car elle souffrait beaucoup. Je ne suis pas bien physiquement, mais nous allons travailler sur ma récupération. J’ai beaucoup de choses à faire en ce moment : beaucoup de pression, beaucoup de réflexion, mais l’Inter améliore son niveau depuis des années. Nous devons être fiers : cette équipe ne baisse pas les bras, ce stade est incroyable.»

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Gerard Piqué n’exclut pas un avenir présidentiel au Barça

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Trois ans après avoir mis un terme à sa carrière, Gerard Piqué continue de suivre de près l’actualité du FC Barcelone. Issu d’une famille de socios impliquée depuis des générations, l’ancien défenseur central reste profondément attaché au club catalan.

Désormais concentré sur la Kings League, qu’il dirige avec ambition, Piqué reste souvent évoqué comme un potentiel futur président du Barça.

Une perspective qu’il ne rejette pas totalement, tout en soulignant que le moment n’est pas encore venu.

«On me l’a souvent demandé mais la Kings League me demande beaucoup de temps. À court terme, non je n’ai pas en tête d’être président du Barça ou être impliqué d’une quelconque manière. Si un jour je veux me lancer là-dedans, il faut faire ça bien. Dans le futur, je ne sais pas mais je sais que j’ai toujours eu envie d’aider le club d’une manière ou d’une autre. Le club m’a tout donné et j’aimerai lui rendre cela», a-t-il confié à RMC.

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Marcus Thuram se confie : «Mon père me faisait……»

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Chez les Thuram, l’éducation ne s’est jamais faite dans la dentelle. Et si certains auraient pu en sortir meurtris, Marcus Thuram, aujourd’hui attaquant à l’Inter Milan et vice-champion du monde, y voit au contraire une immense chance. Dans un entretien récemment accordé, le fils aîné de Lilian Thuram s’est confié avec émotion et humour sur les méthodes peu conventionnelles de son père.

Lilian Thuram, connu pour son franc-parler et son engagement, a toujours su manier la moquerie et la pression psychologique pour forger le caractère de ses fils, Marcus et Khéphren.

«Quand on était petits et qu’on jouait avec papa, il nous mettait une pression psychologique très forte. Il nous charriait, il nous chambrait, il nous engueulait. C’est marrant, je viens de penser à ce truc, je n’ai jamais parlé de ça, je n’y avais même jamais réfléchi, je m’en rends compte tout juste. Mais le fait de nous faire ça, ça nous a préparés à tout ce qu’on vit maintenant», raconte Marcus.

Ce climat de tension ludique, mais intense, a façonné les deux jeunes garçons, les préparant à la dure réalité du football de haut niveau.

«J’ai la chance d’avoir cette éducation. Mon père a aussi connu cette vie, cette pression. Depuis petit, on nous a inculqué tout ça. Le fait d’être très serein, très calme, ne pas laisser des choses extérieures nous affecter», explique Marcus.

Parmi les souvenirs marquants, il raconte comment son père trichait volontairement pendant leurs jeux, non pas par esprit de compétition, mais pour enseigner une leçon.

«Par exemple, si je loupais une action, il se moquait de moi. Ou sinon, quand je jouais contre lui, il trichait, il faisait des petits trucs pour déstabiliser et pour faire comprendre qu’au final, c’est toi et toi-même. Tout ce qui se passe autour, il ne faut pas y prêter attention. Le plus important, c’est de se concentrer sur soi-même. Tu sais, ces petits trucs qu’il nous faisait, ça m’a marqué. Mon pied tremblait, mon cœur battait fort, j’étais petit», a-t-il ajouté.

Une pédagogie brute, parfois déstabilisante, mais toujours ciblée. «Mon père me chambrait, j’avais des émotions, je paniquais, il y avait tout un truc. Plus il nous faisait ça, plus on s’habituait à vivre avec ça. Quand tu es petit et que ton père te fait la misère, oui, ça te travaille. Cette éducation fait qu’aujourd’hui, Khéphren et moi, quand on entre sur le terrain, on est sereins.», a ajouté Marcus.

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Le témoignage puissant sur Lionel Messi à Miami : «Il a fait de nous…»

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Depuis l’arrivée de Lionel Messi à l’Inter Miami, le club floridien a basculé dans une autre dimension. Un an après ce transfert historique, Josef Martínez, ex-coéquipier de l’Argentin, est revenu sur les coulisses de cette révolution dans le podcast La Vinotinto.

«Lorsque la signature de Messi a été officialisée, nous sommes passés de la pire équipe du Real Madrid en MLS. Avant le premier entraînement de Messi, même les gens sur Instagram ne nous connaissaient pas, même les journalistes du club n’étaient pas présents», a confié l’international vénézuélien.

Martínez se souvient du premier entraînement de Messi : «Dehors, il y avait mille journalistes, alors qu’avant nous n’en avions vu qu’un, et il y avait 50 000 personnes au premier entraînement. La situation a changé du jour au lendemain.»

Mais le moment le plus marquant pour lui reste les débuts de la Pulga : «Le jour qui m’a le plus impressionné, ce sont les débuts, quand Busquets, Messi et moi sommes entrés en jeu, ce fameux but sur coup franc. Derek Jeter était là, Serena Williams, et même LeBron James. Si ces gens sont allés le voir, imaginez à quel point il est fantastique. Même ma mère ne voulait pas aller aux matchs avant, et à l’époque, tout le monde voulait y aller», a-t-il conclu.

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