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Scandale Diddy : Jennifer Lopez rattrapée par son passé

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Sean «Diddy» Combs, actuellement emprisonné au Metropolitan Detention Center de Brooklyn, fait face à de graves accusations fédérales, dont le racket et le trafic sexuel. Son procès, prévu pour mai 2025, devrait attirer une attention médiatique considérable, mais une vague de poursuites juridiques a également entraîné des implications pour Jay-Z (Shawn Carter), son ancien associé et collaborateur.

En effet, les deux hommes ont été accusés d’agression sexuelle envers une adolescente de 13 ans lors d’une fête en 2000, un événement qui pourrait obliger Jennifer Lopez à revenir sur son passé avec Combs.

Lopez, qui a été en couple avec Combs entre 1999 et 2001, a été vue à cette fameuse fête, et une photo réapparue montre une confrontation entre elle et Diddy dans une boîte de nuit après les MTV Video Music Awards de 2000.

Bien que Jennifer Lopez ait évité de commenter les accusations pesant sur son ex-compagnon, elle est désormais sous les projecteurs, d’autant plus que l’attention médiatique croissante autour de ce scandale pourrait l’amener à enfin s’exprimer publiquement.

Tout en étant occupée par sa carrière et son divorce avec Ben Affleck, Lopez reste pour l’instant à l’écart des querelles juridiques entourant Diddy.

Cependant, son implication, même indirecte, dans cet enchevêtrement de scandales pourrait l’amener à prendre une position sur ces événements, surtout si l’affaire prend une tournure judiciaire décisive.

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Real Madrid : les confessions d’Arda Güler sur Carlo Ancelotti

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Arda Güler, jeune prodige turc de 20 ans, vit actuellement une période brillante avec le Real Madrid. Après un début de carrière difficile, il a su inverser la tendance, décrochant plusieurs titularisations, dont celle du Clasico contre le FC Barcelone ce dimanche. En 2023, lorsqu’il devait choisir entre le Real Madrid et le FC Barcelone, Güler a opté pour la Maison Blanche, un choix qu’il ne regrette pas, comme il le confie dans une interview émouvante à The Players’ Tribune.

Son arrivée en Espagne a été un rêve devenu réalité. «Les offres de transfert continuaient d’arriver d’autres clubs. Mais je ne voulais rien entendre, sauf si elles me motivaient vraiment. Et puis, en juin, mon père m’a dit qu’il devait m’appeler pour me parler d’une nouvelle offre. Mon père m’a dit que c’était le Real Madrid. C’était mon quatrième rêve. Cela me semblait irréel que cela puisse arriver si vite. Cet été-là, mon père et moi avons eu de longues conversations pour savoir s’il était trop tôt pour partir. En réalité, c’était très compliqué, car nous avions tellement d’offres, et j’avais du mal à décider quoi faire.», raconte-t-il, se souvenant du moment où son père lui a annoncé l’offre du Real Madrid.

Mais c’est surtout sa première conversation avec Carlo Ancelotti qui l’a marqué. Le coach madrilène, en vacances, a tenu à rassurer son jeune protégé.

«J’ai eu un appel vidéo avec M. Carlo Ancelotti. Je n’oublierai jamais le moment où son numéro est apparu sur mon écran et où la vidéo se chargeait… Il était aussi en vacances. Le moment était tellement surréaliste que j’ai du mal à me souvenir des détails, mais je crois qu’il portait une chemise hawaïenne, des lunettes de soleil et même un cigare. Il m’a dit : « Arda, tu auras un bel avenir ici. »» Ce ne sera peut-être pas la première année, mais tu auras des opportunités. Quand Modric et Kroos seront trop vieux, on pourra te mettre au milieu de terrain. Puis il dit : «Arda, promets-moi de venir à Madrid. Promets-le, promets-le, promets-le.» J’ai dit : «Bien sûr, monsieur.» Il m’a dit : «Je te parlerai bientôt. Maintenant, je dois vraiment y aller avec ma femme.» En raccrochant, j’ai regardé mon père et nous avons convenu que si vous voulez faire quelque chose, faites-le en grand !», avoue-t-il.

Cette promesse, Güler l’a tenue. Présenté en grande pompe à Santiago Bernabéu, il confie avoir essuyé les larmes de sa mère, submergée par l’émotion.

«Quand on vous présente comme joueur du Real Madrid, c’est comme une cérémonie de mariage. Votre contrat est de six ans, mais l’idée est de rester pour toujours. J’étais assis à côté de mes parents, et quand maman s’est mise à pleurer, j’ai essuyé ses larmes et je l’ai embrassée sur la joue. Nous avions tant sacrifié pour être ici, et maintenant notre rêve était devenu réalité. J’étais trop pauvre pour incarner Alex Hunter sur PlayStation. Alors il fallait que je devienne lui, pour de vrai», glisse-t-il.

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Betis Séville : les révélations  touchantes d’Isco

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Disparu des radars après son départ du Real Madrid, Isco vit aujourd’hui une véritable renaissance au Betis Séville. À 33 ans, le meneur de jeu andalou, ancien pilier du milieu madrilène, a retrouvé sa magie, son sourire, et même le brassard de capitaine. Un retour au sommet qu’il raconte avec sincérité dans un entretien accordé à So Foot, entre introspection, passion retrouvée et rêves toujours vivants.

«Faire la victime ou se battre comme un champion»

La carrière d’Isco, qui semblait sur le point de s’éteindre après une expérience ratée au FC Séville et six mois d’absence des terrains, a pris un virage inattendu grâce à une introspection salutaire.

«Quand j’étais dans le dur, j’essayais de me trouver des excuses et des coupables. Puis j’ai réfléchi, j’ai fait une introspection. Dans la vie, tu as deux options : faire la victime ou te battre comme un champion», confie-t-il. Un tournant qui a permis à l’ancien prodige de Malaga de retrouver le goût du jeu, à travers un retour aux sources.

Le retour avec Manuel Pellegrini

C’est en retrouvant son ancien mentor, Manuel Pellegrini, qu’Isco a ravivé sa carrière. Le Chilien, qui l’avait façonné à Malaga, a de nouveau placé sa confiance en lui, et ce retour aux affaires n’a pas tardé à porter ses fruits.

«Je n’avais aucune expérience, mais il [Pellegrini] a tout de suite compté sur moi. C’est pour ça que je suis très content que nos chemins se soient de nouveau croisés. Il a déjà remporté un titre avec le Betis, et j’espère bien qu’il en soulèvera d’autres avec moi. J’ai envie d’entrer dans l’histoire du club avec lui», explique-t-il avec une humilité touchante.

Et cette relation fructueuse a mené le Betis Séville en finale de la Ligue Conférence, prouvant que, malgré les doutes du passé, Isco n’a rien perdu de son talent.

Son but aujourd’hui : écrire un nouveau chapitre glorieux de sa carrière, en savourant chaque instant passé sur le terrain.

Retour en Roja : un rêve à ne pas abandonner

Écarté de la sélection espagnole depuis 2019, Isco n’a pourtant jamais renoncé à l’idée d’un retour en Roja. Bien que la fracture de son péroné l’ait privé de l’Euro 2024, il n’a pas perdu l’espoir de revêtir à nouveau le maillot national.

«Je ne vais pas le nier, dans ma tête, je me suis toujours dit que mon histoire avec la sélection n’était pas terminée. Je ne sais pas si je vais avoir l’honneur de recevoir une convocation, mais aujourd’hui je me laisse guider par mes rêves», avoue-t-il avec une sincérité émouvante.

À 33 ans, et après une carrière marquée par des hauts et des bas, Isco ne perd pas de vue l’essentiel : le plaisir de jouer.

«Ce serait super de prolonger ma carrière comme celle de Joaquin au Betis ou comme Modric au Real. Tout ce que je désire, c’est que le feu intérieur qui m’anime ne s’éteigne jamais. Aujourd’hui, je savoure encore chaque toucher de balle, chaque seconde passée sur la pelouse. Le football a énormément changé et j’ai dû évoluer avec lui. Mais au fond, je reste un joueur de rue», confie-t-il, résumant à lui seul l’essence même de sa passion.

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Ballon d’Or : la grosse confidence de Mohamed Salah

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Mohamed Salah est en pleine lumière cette saison. En dépit d’une élimination prématurée en Ligue des Champions, l’attaquant de Liverpool brille sur le plan statistique, au point de figurer parmi les favoris pour le Ballon d’Or. Une consécration individuelle qui prend racine… dans un simple dîner.

«Cette fameuse année à Rome, j’étais au restaurant avec mon agent et il me dit : Si tu vas ailleurs, je suis sûr qu’un jour, tu pourras gagner le Ballon d’Or. Moi je me disais : Mais de quoi il parle, il est fou ou quoi ?», confie Salah à L’Équipe.

Touché par cette confiance qu’il n’avait pas encore en lui-même, Salah entame alors un travail intérieur.

«Je suis rentré chez moi et j’ai commencé à gamberger : « Pourquoi est-ce qu’il me dit ça, comment il peut voir cela en moi alors que moi je n’arrive pas à le voir ?  » Je ne sais pas pourquoi, ça a déclenché quelque chose en moi, j’ai eu envie de voir, moi aussi, cela en moi et j’ai commencé à lire des choses sur le développement humain. Cette conversation a été un déclencheur.», a-t-il ajouté.

Aujourd’hui, il est le troisième meilleur buteur de l’histoire de Liverpool, à quelques buts de Roger Hunt. Preuve qu’une seule phrase peut réveiller une légende en devenir.

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Barça : l’aveu de David Beckham sur Lamine Yamal

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Alors que Lamine Yamal s’apprête à défier le Real Madrid dans un duel décisif de la Liga, la légende britannique David Beckham a exprimé son admiration pour le jeune talent du FC Barcelone. En évoquant le prodige de 17 ans, Beckham n’a pas hésité à le comparer à l’un des plus grands joueurs de l’histoire du football : Lionel Messi.

Dans une intervention sur CBS, Beckham, désormais propriétaire de l’Inter Miami, a loué les qualités exceptionnelles de Yamal, allant même jusqu’à le qualifier de « plus proche » de Messi qu’il ait jamais vu.

«C’est le premier joueur que vous voyez et que vous pouvez… Je veux dire, on ne peut comparer personne à Messi, à mon avis… mais c’est la chose la plus proche que j’aie jamais vue», a déclaré Beckham, visiblement impressionné par le talent brut de Lamine.

Le jeune attaquant, qui brille depuis deux saisons avec le Barça, ne cherche pas à se montrer excessivement flamboyant malgré ses capacités athlétiques exceptionnelles.

Contrairement à d’autres jeunes talents, Yamal préfère se concentrer sur l’efficacité, délivrant des passes décisives et réalisant des performances décisives, comme ce match mémorable face à l’Inter Milan en demi-finale de Ligue des champions.

Beckham, qui connaît bien le football de haut niveau, a également tempéré sa comparaison, précisant que Yamal n’a pas encore atteint le niveau de Messi, mais qu’il pourrait y arriver un jour.

«Un jour, je pense qu’il pourrait être aussi bon que Lionel Messi. Ce n’est que tous les 20 ou 30 ans qu’un tel joueur apparaît», a-t-il ajouté.

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