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«S’il n’est pas là, c’est…», Fernandez doute de Deschamps sur Mbappé

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6 mois ago

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Pour la deuxième fois consécutive, Kylian Mbappé, capitaine emblématique de l’équipe de France et star du Real Madrid, ne sera pas sur la feuille de match des Bleus pour les prochaines rencontres contre Israël, le 14 novembre, et contre l’Italie, le 17 novembre. Cette absence répétée soulève de nombreuses questions quant aux raisons réelles de cette mise à l’écart, malgré les explications fournies par Didier Deschamps.

Ce jeudi, lors d’une conférence de presse, Didier Deschamps a tenté de dissiper les interrogations sur l’absence de Mbappé. «J’ai eu plusieurs échanges avec lui, j’ai réfléchi, j’ai pris cette décision pour ce rassemblement parce que je pense que c’est mieux comme ça», a déclaré le sélectionneur, insistant sur le fait que ce choix n’était pas lié à d’éventuels problèmes extra-sportifs.

Deschamps a également précisé que cette décision, bien qu’il l’assume pleinement, n’était pas nécessairement celle de Mbappé.

«Kylian voulait venir, ajoute le sélectionneur national. Ce n’est pas en lien avec les problèmes extra-sportifs, puisque présomption d’innocence prédomine. […] C’est ma décision. Je l’assume.», a affirmé le sélectionneur, renforçant ainsi le mystère autour de cette situation.

Pour Luis Fernandez, ancien entraîneur et international français, cette explication ne tient pas complètement. Lors d’une intervention sur RMC, Fernandez a exprimé son scepticisme.

«Il y a eu des échanges entre Kylian et le sélectionneur si j’ai bien compris. C’est sûrement dû à sa situation, le fait que ça ne marche pas aussi fort que par le passé et donc il veut peut-être rester à Madrid sans venir en équipe de France. Je pense que la décision a été prise comme ça, d’un commun accord avec le sélectionneur et le joueur», a-t-il avancé.

Fernandez est convaincu que cette absence découle d’une décision prise en commun par Mbappé et Deschamps.

Selon lui, il est inimaginable qu’un capitaine de cette envergure refuse d’accompagner son équipe nationale deux fois de suite, surtout dans des moments aussi cruciaux.

«Quand on peut être sélectionné, on ne refuse pas la sélection, il faut penser à tous ces joueurs qui n’ont pas pu être appelés. Le capitaine n’étant déjà pas là la fois précédente, il aurait pu faire le déplacement et être avec ses coéquipiers. C’est le leader, son leader. Ça me paraît un peu étrange.», a-t-il ajouté.

Pour Fernandez, cette absence pourrait révéler une phase de doute chez Mbappé, qui ne traverse peut-être pas sa meilleure période au Real Madrid.

«S’il n’est pas là, c’est que le joueur ne le souhaitait pas. Je pense que vu cette période qu’il traverse qui n’est pas la meilleure, une période de doute, il a peut-être voulu repousser.», a-t-il insisté.

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Sergio Agüero se confie : «Le PSG était un adversaire bizarre»

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13 heures ago

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mai 7, 2025

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Retraité depuis 2021 en raison de problèmes cardiaques, Sergio Agüero n’en reste pas moins un observateur passionné du football. Passé par l’Atlético de Madrid, Manchester City et le FC Barcelone, le champion de la Copa América 2021 a croisé plusieurs fois la route du Paris Saint-Germain, notamment en Ligue des Champions.

Dans un entretien accordé à L’Équipe, l’ancien buteur argentin a livré un souvenir assez particulier de ses confrontations avec le club parisien.

«Le PSG était un adversaire bizarre. Quand on les jouait, on devait être très attentifs, parce que lorsque tous leurs joueurs de devant étaient à 100 %, c’était vraiment compliqué. Mais on savait qu’ils souffraient toujours quand on avait le ballon et qu’on jouait dans leur camp.», a-t-il confié.

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La promesse de Lamine Yamal à Barcelone

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13 heures ago

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mai 7, 2025

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Malgré l’immense déception de l’élimination en demi-finale retour de la Ligue des Champions face à l’Inter Milan (3-4 après prolongation), le jeune ailier du FC Barcelone, Lamine Yamal, a tenu à s’adresser aux supporters avec des mots empreints de fierté, de détermination… et d’avenir.

Auteur une nouvelle fois de gestes de grande classe et de fulgurances techniques dignes des plus grands, le prodige formé à La Masia s’est imposé comme l’un des visages forts de cette campagne européenne.

Mais si les larmes n’étaient pas loin après le coup de sifflet final, le joueur de 16 ans a préféré parler au cœur des supporters, à travers un message fort publié sur ses réseaux sociaux.

«Nous avons tout donné. Cette année, cela n’a pas été possible, mais nous reviendrons, n’ayez aucun doute. Nous n’arrêterons pas jusqu’à ce que nous laissions ce club là où il mérite d’être, au sommet. Je tiendrai ma promesse et je l’apporterai à Barcelone, nous ne nous arrêterons pas tant que nous ne l’aurons pas obtenue, cette Ligue des Champions. Mais dimanche, c’est une autre finale et nous devons être tous ensemble», a-t-il déclaré.

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Aleksander Čeferin alerte sur le paradoxe du calendrier surchargé

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14 heures ago

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mai 7, 2025

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Dans une interview exclusive accordée à Marialuisa Jacobelli pour SportMediaset, Aleksander Čeferin, président de l’UEFA, s’est exprimé sur la nouvelle Coupe du Monde des Clubs et la saturation du calendrier footballistique.

«C’est difficile à dire, car la Coupe du Monde n’a pas encore commencé. D’un côté, il y a les joueurs qui se plaignent de la charge excessive des matchs. D’un autre côté, il y a des clubs – surtout les grands – qui veulent jouer davantage. Je ne sais pas si un tournoi qui se termine cinq semaines après la saison n’aura pas de conséquences sur la santé des joueurs. Nous verrons. Le calendrier est plein. Tellement plein que nous ne pouvons pas ajouter plus de matchs. Je suis d’accord. Mais la situation est paradoxale. D’un côté, les clubs veulent être durables et ont besoin de plus de matchs pour générer des revenus. D’un autre côté, les joueurs jouent trop et se blessent. Mais si les clubs étaient suffisamment solides financièrement pour payer tout, ils n’auraient pas besoin d’autant de matchs. C’est un cercle vicieux», déclare-t-il prudemment.

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Barça : «Toutes les décisions allaient contre nous», Hansi Flick

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14 heures ago

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mai 7, 2025

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Le rêve européen du FC Barcelone s’est envolé ce mardi au bout d’un scénario épique, face à une Inter Milan renversante (3-3, 3-4 a.p.), en demi-finale retour de la Ligue des Champions. Une élimination qui laisse un goût amer à l’entraîneur blaugrana Hans-Dieter Flick, frustré par l’arbitrage de Szymon Marciniak.

«Je ne veux pas parler de l’arbitre, mais toutes les décisions 50-50 tournaient en leur faveur. Nous avons tout donné, mais à la fin, c’est comme ça et c’est ce qui m’a rendu un peu triste», a déclaré le technicien allemand, visiblement affecté, au micro de Movistar+.

Deux décisions majeures ont cristallisé les critiques : le penalty accordé à Lautaro Martínez pour un contact litigieux avec Cubarsí, et l’action sur Lamine Yamal, initialement sanctionnée d’un penalty avant que la VAR ne transforme la faute en simple coup-franc, sans expulsion pour Mkhitaryan.

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