Son passage express sur le banc du Stade Rennais a laissé des traces. Nommé le 11 novembre et remercié le 30 janvier, Jorge Sampaoli n’aura passé que quelques semaines en Bretagne. Un échec cuisant pour le technicien argentin, qui ne digère toujours pas son expérience en Ligue 1.

Dans un entretien accordé au quotidien Sport, l’ancien coach de l’OM n’a pas mâché ses mots.

«Nous sommes arrivés avec une très grande ambition. J’avais aussi la possibilité d’aller au Genoa en Italie, mais j’ai vu en Rennes une équipe où nous pouvions mettre en place quelque chose avec de jeunes joueurs. Avec la possibilité de créer une équipe qui aurait une certaine liberté pour mettre en place un projet pour le moyen et le long terme.», a-t-il déclaré.

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Mais le rêve s’est vite effondré. En désaccord avec la direction, Sampaoli a préféré jeter l’éponge : «Le court terme a été difficile car l’équipe luttait pour se maintenir. Nous n’étions pas d’accord avec la direction ou les propriétaires du club sur le moyen terme. J’ai donc préféré partir.»

Depuis son départ, le Stade Rennais a retrouvé un équilibre sous Habib Beye et assuré son maintien. De quoi tourner définitivement la page Sampaoli

C’est une page monumentale de l’histoire récente de Liverpool qui se tourne. Ce lundi, le club de la Mersey a officialisé le départ en fin de saison de Trent Alexander-Arnold, enfant du club et figure emblématique des Reds. L’international anglais, en fin de contrat en juin, a confirmé la nouvelle sur le réseau X avec une lettre bouleversante adressée aux supporters.

«Après 20 ans passés à Liverpool, le moment est venu pour moi de confirmer que je partirai à la fin de la saison. C’est la décision la plus difficile de ma vie. Je sais que beaucoup d’entre vous se sont demandés pourquoi que je n’avais pas encore parlé ou ont été frustrés par ça, mais j’ai toujours eu l’intention de me concentrer sur l’intérêt de l’équipe, qui était d’obtenir le 20e titre. Ce club est toute ma vie – tout mon univers – depuis 20 ans. Depuis l’académie jusqu’à aujourd’hui, le soutien et l’amour que j’ai ressentis de la part de tous, à l’intérieur comme à l’extérieur du club, resteront à jamais gravés dans ma mémoire. J’aurai toujours une dette envers vous tous», écrit le joueur formé à l’académie du club.

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«Mais je n’ai jamais rien connu d’autre et cette décision vise à relever un nouveau défi, à sortir de ma zone de confort et à me dépasser, tant sur le plan professionnel que personnel. J’ai donné le meilleur de moi-même chaque jour passé dans ce club, et j’espère que vous aurez l’impression que je vous ai rendu la pareille pendant mon séjour ici. Du fond du cœur, je remercie tout le monde – mes entraîneurs, mes dirigeants, mes coéquipiers, le staff et nos incroyables supporters – pour ces 20 dernières années. J’ai eu la chance de vivre mes rêves ici et je ne prendrai jamais pour acquis les moments spéciaux que j’ai eu la chance de vivre avec vous tous. Mon amour pour ce club ne s’éteindra jamais», a-t-il ajouté.

Alors que Kylian Mbappé enchaîne les performances impressionnantes sous les couleurs du Real Madrid, certaines voix discordantes s’élèvent. C’est le cas de Jorge Sampaoli. L’ancien entraîneur de l’OM et du Stade Rennais a vivement critiqué les débuts de la star française en Liga.

Malgré un doublé décisif face au Celta Vigo et une course serrée pour le titre de Pichichi, Sampaoli reste sceptique :

«À Paris, il était décisif sur le côté gauche. Mais maintenant, il y a Vinicius à Madrid. Kylian Mbappé a vraiment l’air très mal à l’aise, très renfermé.», a-t-il déclaré.

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Dans un entretien accordé à Cadena Ser, le technicien argentin a poursuivi : «Il ne connaît pas le timing des attaques à ce poste. Il a marqué des buts importants mais ce n’est pas non plus le joueur que j’ai vu en France ou à la Coupe du monde au Qatar.»

Sampaoli n’a pas hésité à établir une comparaison audacieuse : «On parlait de Lamine Yamal, comparable à Lionel Messi pour ses qualités individuelles. Kylian Mbappé a un peu plus de mal. Je le compare davantage à Cristiano Ronaldo, un joueur qui pense toujours à lui et au but.»

Il était attendu, parfois critiqué, mais désormais applaudi. Arda Güler, le jeune milieu offensif turc du Real Madrid, a livré une prestation brillante face au Celta Vigo (3-2) dimanche soir en Liga, marquée par un but et une passe décisive. Une performance qui confirme sa montée en puissance au sein d’un effectif aussi riche que compétitif.

En conférence de presse, Carlo Ancelotti, fidèle à son franc-parler, a tenu à souligner les progrès réalisés par son protégé de 19 ans.

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«Je l’ai déjà dit : il faut d’abord goûter au banc pour être titulaire au Real Madrid. Il va s’améliorer dans les années à venir. Je pense qu’il a bien goûté le banc, ça ne l’a pas gêné et il a très bien progressé. (…) C’est la progression naturelle d’un joueur qui veut jouer à Madrid, qui a beaucoup de qualités, qui a beaucoup travaillé. Il est clair que le Güler d’aujourd’hui n’est pas celui de septembre. Il a changé son profil physique, a gardé sa qualité, c’est normal et naturel. (…) Il y a deux mois, j’ai donné un petit coup de bâton à ses proches et je pense que là je dois les féliciter parce qu’ils ont fait du bon travail avec lui», a déclaré l’entraîneur italien