Yanina Latorre a de nouveau fait polémique en commentant le conflit entre Wanda Nara et Mauro Icardi autour de la garde de leurs filles, Francesca et Isabella. Alors qu’elle soutenait auparavant Wanda, la panéliste l’accuse désormais d’avoir «utilisé ses filles comme monnaie d’échange» dans ce litige.
Mère de cinq enfants, Wanda fait face à des difficultés juridiques, notamment concernant la pension alimentaire qu’elle doit encore verser. Lors de son intervention dans l’émission «Sálvese Quien Pueda», Latorre a pointé du doigt les multiples complications juridiques auxquelles Wanda est confrontée, ainsi qu’un refus apparent d’assumer ses responsabilités.
«Elle a tout contre elle. Elle croit qu’il y a une conspiration judiciaire contre elle, mais elle ne se demande pas si tout va mal parce qu’elle agit mal», a-t-elle déclaré, rappelant que la femme d’affaires doit une importante somme au titre de la pension alimentaire.
Yanina Latorre a aussi évoqué les tentatives infructueuses de Mauro Icardi pour reprendre contact avec ses filles. D’après elle, les mineures auraient refusé de répondre aux sollicitations paternelles.
«Le ministère des Tutelles n’oblige pas les enfants à parler s’ils ne le souhaitent pas. Mauro a tenté de les contacter, mais l’avocat de Wanda a clairement indiqué qu’il n’y aurait aucun contact tant qu’elle n’aurait pas rempli ses obligations financières et suivi une thérapie», a-t-elle précisé.
Cette situation a provoqué l’indignation de la panéliste, qui a vivement critiqué tant Wanda Nara que son équipe juridique. «Je ne pense pas qu’il soit juste de confondre paternité et argent. Le lien avec les enfants est une chose, et l’argent en est une autre. Wanda n’est peut-être pas entièrement responsable, et l’avocat l’induit en erreur… mais malgré tout, elle ne devrait pas empêcher les contacts», a-t-elle affirmé sans détour.
En guise de conclusion, Yanina Latorre a dénoncé la dérive que représente ce conflit familial devenu spectacle public. «Cela ne peut pas devenir un système de récompenses et de punitions : « Si vous ne payez pas, vous ne verrez pas vos filles. » Le ministère des Tutelles travaille avec des professionnels sérieux ; ce n’est pas ainsi que cela fonctionne. Pendant ce temps, tout est publié sur les réseaux sociaux comme si c’était un spectacle», a-t-elle conclu, visiblement agacée par cette médiatisation.