La vie mondaine et les affaires médiatiques de Wanda Nara viennent une fois de plus se heurter à la dure réalité judiciaire. L’animatrice et femme d’affaires argentine se retrouve au cœur d’un nouveau conflit légal, impliquant cette fois une saisie et une dette estimée à plusieurs millions de pesos envers une ancienne employée de maison.
Selon les révélations du journaliste Martin Candalaft dans l’émission DDM, l’affaire remonte à la collaboration de Wanda avec Daiana Victoria de Castelli, qui aurait travaillé pour elle pendant trois mois avant de porter plainte, craignant un licenciement imminent. La plaignante réclamerait pas moins de 15 millions de pesos pour ses services.
La défense de Wanda : «Elle travaillait pour Maxi, pas pour moi»
Face à ces accusations, Wanda a tenu à donner sa version des faits fin mai lors d’un échange avec Yanina Latorre.
«L’employée appartenait à Maxi, pas à moi. Elle s’occupait des garçons quand je me suis séparée, et ils allaient chez lui. Seulement, comme Maxi n’a pas de comptes en Argentine et qu’il est impossible de les saisir, ils s’en prennent à moi. Elle n’a jamais travaillé chez moi en Argentine. Ana (Rosenfeld) est au courant», a-t-elle assuré.
Wanda précise également que la femme de ménage aurait été employée pour entretenir une maison de Maxi Lopez à Puerto Madero, et qu’elle a partagé un temps la vie en Italie avec l’ex-footballeur.
«Je faisais le ménage dans une maison appartenant à Maxi à Puerto Madero et j’ai vécu avec lui en Italie pendant quelques mois. Je devrais déposer une plainte en Italie», a-t-elle ajouté, laissant entendre que le litige pourrait se déplacer sur le terrain international.
Une version contredite par de nouvelles révélations
Pourtant, le programme Intrusos a présenté une version des faits très différente. Selon leurs informations, Daiana de Castelli aurait bel et bien travaillé directement avec Wanda entre novembre 2024 et janvier 2025.
La fin de la collaboration se serait faite «d’un commun accord», avec la signature d’un document déposé au SECLO (Service de Conciliation du Travail Obligatoire).
Le problème ? Toujours selon Intrusos, cet accord prévoyait un paiement que Wanda n’aurait pas honoré : «Il était indiqué que Wanda devait payer 15 millions de pesos, mais elle ne les a pas versés. Elle n’a rien payé à la justice argentine», ont-ils affirmé à l’antenne.
Une addition qui pourrait s’alourdir
Si la justice tranche en faveur de l’ancienne employée, Wanda Nara devra non seulement régler la somme initiale de 15 millions de pesos, mais également assumer les intérêts, les frais judiciaires et autres charges liées à ce conflit du travail.
Et comme si cela ne suffisait pas, cette affaire vient s’ajouter à d’autres procédures similaires intentées par d’anciens employés, qui exigent également plusieurs millions de pesos.
Pour la star argentine, plus habituée aux tapis rouges qu’aux bancs des tribunaux, l’année 2025 s’annonce déjà comme un marathon judiciaire.
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